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La communication un domaine NRJ’ique

La communication un domaine NRJ’ique

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Ce jeudi 19 septembre, nous avons pu rencontrer Charlène LOPEZ-VELASCO, chef de publicité chez NRJ Global Régions qui nous a exposé son métier et les missions qui gravitent autour de celui-ci. 

Le métier de chef de publicité est avant tout un métier de « commercial », puisque l’« on va démarcher les entreprises » afin de « découvrir leurs besoins ». 

Les rendez-vous obtenus se scindent en deux temps, il y a un premier rendez-vous appelé « R1 » qui permet de déterminer la problématique de l’annonceur, sa cible, sa clientèle, son budget et sa zone de challengisme. 

 Par la suite, il y aura un second rendez-vous permettant de venir apporter des réponses grâce à la culture média du professionnel, afin de diriger dans la bonne direction l’annonceur et répondre à sa problématique. 

Néanmoins, il existe une étape antérieure qu’on appelle « R0 » qui est la phase de prise d’informations au sujet de l’annonceur. En effet, il serait peu voire pas envisageable d’aller démarcher un potentiel client sans détenir des informations à propos de son domaine d’activités par exemple. 

Le chef de publicité est rémunéré en fonction de ses ventes, donc son but premier est de prospecter, d’aller chercher des annonceurs puisqu’il est assez rare que le cheminement se fasse dans le sens contraire. Souvent l’annonceur fera appel à une agence ou préfèrera se charger seul de la communication de son entreprise. 

Des techniques de vente toujours plus innovantes

En fonction du besoin du client qui est déterminé en partie grâce à la méthode S.O.N.C.A.S dont les lettres signifient une à une : sécurité, orgueil, nouveauté, confort, argent et sympathie. À l’aide de cette méthode, le chef de publicité peut dessiner les contours de la personnalité du client qui se tient face à lui et ainsi élaborer une stratégie en conséquence. 

Il faut également savoir que la mission du chef de publicité ne s’achève pas après l’obtention du rendez-vous, il faut, pour assurer d’une certaine fidélisation du client garantir un suivi personnalisé. Après lui avoir apporté des solutions quant au développement de sa marque, il faut parvenir à construire une relation de confiance dans le travail, ce qui peut éventuellement déboucher sur la vente de produits annexes. 

Pour effectuer ce métier, Charlène LOPEZ-VELASCO, s’est formée au sein du groupe IGS où elle a obtenu son BTS NRC (Négociation et Relation client). Elle a cumulé par la suite des expériences professionnelles et explique être formée « sur le tas ». C’est une autre vision de la formation qui apporte tout autant si ce n’est plus d’agilité dans l’exercice d’une telle fonction et Madame LOPEZ-VELASCO l’illustre parfaitement. 

Catégories Annonceur
Truchot-Prat & Brunon, les hommes de l’ombre du TFC

Truchot-Prat & Brunon, les hommes de l’ombre du TFC

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Martin Truchot-Prat, responsable communication et Julien Brunon, journaliste pour la section média du TFC, jouent un rôle déterminant dans le rapport du vestiaire avec les médias. Le responsable communication est l’interface entre les médias et le club, il s’occupe d’organiser un calendrier en fonction des demandes des médias, d’organiser des interviews et de contrôler les sorties médiatiques des joueurs. De son côté le journaliste est le relais entre le club, les joueurs et les supporters, il couvre autant le groupe professionnel que le centre de formation.

Des défenseurs en dehors du terrain

Outre leurs rôles d’attaché de presse et de journaliste, ils représentent un pare feu entre les joueurs et les médias parfois avides de déclarations malvenues ou de réactions incontrôlées. Ils sont à l’écoute du vestiaire, conseillent les joueurs afin que leurs sorties médiatiques soient cohérentes avec l’image et les valeurs du club. De plus ils décident qui envoyer en interview en fonction de l’actualité des joueurs, leurs récentes performances et la demande des médias. Baptiste Reynet, le gardien du TFC, était par exemple dans les 3 nominés pour le titre de joueur du mois en Ligue 1. Il a reçu un fort engouement médiatique.

Tout cela pour préserver et protéger les joueurs d’un « badbuzz ». Ils peuvent encourager un joueur à se présenter face à la presse ou décider de le protéger en refusant une entrevue avec un média. Martin Truchot-Prat raconte que pour son premier match avec le groupe professionnel du TFC, Mathieu Gonçalves rate complètement sa prestation sur le terrain. Dès le retour au vestiaire, des médias veulent l’interroger. C’est alors que Martin Truchot-Prat rejoint le jeune joueur de 18 ans et lui demande s’il se sent prêt à affronter les journalistes. Ils décident de finalement se présenter devant la presse où grâce aux conseils avisés de son attaché de presse il a pu garder le recul nécessaire pour ne pas déraper malgré sa mauvaise performance.

Des membres de l’équipe à part entière

Au-delà d’une simple relation professionnelle, ils sont réellement proches des joueurs et œuvrent pour leur bien-être et leur confiance. Ils les accompagnent au quotidien et ce depuis leurs arrivés dans le centre de formation toulousain. Tout en protégeant le vestiaire ils aiguillent les joueurs sur le terrain médiatique.

Ils sont le liant dans cette relation indissociable entre le club, les joueurs et les médias. Ces actions qui peuvent paraitre anodine pour le grand public sont en réalité majeures dans le développement de jeunes joueurs et d’une relation saine entre le club et son effectif, participant à la renommée du centre de formation toulousain à l’international.

Jill – Emeline – Léa – Elisa – Marco – Eliot

Catégories Annonceur
La communication aux deux visages du Toulouse Football Club

La communication aux deux visages du Toulouse Football Club

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Depuis quelques années maintenant, le TFC s’est imposé comme un acteur majeur de la communication par sa présence sur les réseaux sociaux. Afin d’être en totale adéquation avec son public, aussi bien âgé que très jeune, le club met un point d’honneur à la qualité et à la diversité de son contenu.

Julien Brunon est journaliste pour le club toulousain. Tout au long de l’année, il est au plus proche des Violets, aussi bien sur le terrain que dans leurs moments privilégiés en vestiaires. Son rôle est d’alimenter le site Internet officiel du TFC, tout en assurant la relation entre les joueurs, les supporters et le club. « Comme les joueurs se livrent, on espère que nos informations sont un peu plus intéressantes », nous confie-t-il. Alors, dans ses articles, l’impartialité est de mise. « Nous, on ne va jamais noter un match, ni noter des joueurs. Notre rôle, c’est surtout de raconter des histoires. » Le journaliste se contente donc de relater les actualités marquantes du club et de réaliser de courts documentaires sur l’histoire des joueurs.

« L’idée est que nos contenus soient meilleurs que ceux que vont faire les [autres, N.D.L.R.] médias », assure Martin Truchot-Prat, le Responsable Communication du TFC. À la tête d’une équipe de trois communicants/journalistes, il veille à conserver l’image sérieuse du club et de ses joueurs, tout en misant sur une information forte et inédite.

L’émergence d’une seconde campagne de communication

Changement de plateforme, changement de ton. Avec un cumul de près d’un million de followers, le TFC se place dans le top 10 des clubs de Ligue 1 les plus suivis sur les réseaux sociaux, selon une enquête d’Iquii. Rémi Denjean, l’actuel Community Manager, a été à l’initiative de cette transition fructueuse. En fonction depuis bientôt une dizaine d’années, il a bien compris que la présence du club sur les réseaux sociaux était un atout non-négligeable pour développer sa popularité. La plupart des abonnés du TFC n’en sont même pas supporters !

La bonne recette, Rémi Denjean l’a trouvée : une présence assidue sur la plateforme Twitter pendant les matchs et des publications mêlant humour et autodérision. Entre autres exemples, nous retiendrons le photomontage de Cristiano Ronaldo portant le maillot violet ou la conférence de presse factice de l’humoriste Thomas Ngijol (Thomas Ntop) se faisant passer pour la nouvelle recrue du TFC aux côtés de Fabrice Éboué. Cette campagne du buzz permanent a permis au club de se voir décerner le prix de « club de plus drôle de France » par le magazine SoFoot en 2014.

Thomas ANDRÉ

Énora Le LOUARN

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

Kessy SOULAT

Mathis FESSARD

Catégories Annonceur
Julien Brunon, « relais entre le club du TFC et ses supporters »

Julien Brunon, « relais entre le club du TFC et ses supporters »

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Après avoir suivi un Bachelor en Journalisme à l’EDJ Nice de 2013 à 2015, Julien Brunon a intégré le Toulouse Football Club en tant que Journaliste Reporter d’Images, l’année même de la fin de son cursus scolaire.

Fort d’une expérience de cinq ans au sein de ce club professionnel, Julien Brunon possède une relation forte avec les joueurs et notamment avec les jeunes du centre de formation, ce qui lui est bénéfique dans le métier qu’il exerce.

Les médias peuvent parfois être difficiles à appréhender pour de jeunes footballeurs. Au TFC, Julien a la tâche de les accompagner au mieux pour qu’ils puissent être préparés à la complexité de ces exercices médiatiques. Entre autres, Julien Brunon a livré un exemple d’une expérience qu’il a vécue avec Issa Diop, ancien joueur du TFC : « Quand Issa était devant les médias, il n’était pas bien. On a travaillé avec lui en studio, pour faire quelques entraînements pratiques avec des questions et des réponses. […] Quand je vois Issa aujourd’hui en Angleterre (Diop évolue depuis 2018 à West Ham United, N.D.L.R), ce n’est plus le même homme. Il est devenu très à l’aise avec les médias. ». Le Toulouse Football Club étant une institution forte notamment sur l’aspect de la formation, le rôle de Julien Brunon auprès de ces jeunes est donc essentiel.

La protection des joueurs est une part importante du travail de Julien ainsi que des équipes de communication du club. Tous les matins, Julien passe en revue la presse sportive et les réseaux sociaux, afin d’être au courant de l’information qui circule au sujet du club. Cela permet de préserver certains joueurs qui peuvent par exemple être dans la tourmente et qui pourraient être déstabilisés par certains journalistes. Julien Brunon, doit également protéger des informations capitales, comme une blessure ou une composition d’équipe, et donc veiller à ce qu’elles ne soient pas divulguées.

Être journaliste d’un club, c’est posséder un contenu plus profond et qualitatif

Au vu de la proximité que possède Julien Brunon avec les joueurs, et de sa connaissance parfaite des caractères et personnalités de chacun, le contenu qu’il peut proposer aux supporters du club toulousain est, selon le Responsable Communication du club, Martin Truchot-Prat, « plus qualitatif qu’ailleurs ». L’atout de Julien réside surtout dans le fait qu’il côtoie les joueurs tout au long de l’année, mettant en confiance l’effectif. En travaillant en collaboration avec les salariés du club, les sportifs ne seront jamais mis en difficulté avec des questions dont ils ne souhaitent pas parler en public.

Être journaliste au sein d’un club de football comme le TFC permet également de « raconter des histoires », comme l’a décrit Julien Brunon. Certains joueurs sont suivis depuis leur plus jeune âge, pour ceux ayant été formés au club, d’autres depuis leur arrivée. Le journaliste a la possibilité de faire des sujets retraçant le parcours de chacun grâce aux images d’archives exclusives. Seul le média-club peut fournir ce que recherchent particulièrement les supporters, à savoir des documentaires qui retracent la carrière de leurs joueurs favoris.

Retrouvez notre visite en vidéo:

Thomas ANDRE

Mathis FESSARD

Luce RICHARDOT

Kessy SOULAT

Enora LE LOUARN

Salomé COUREAU

Catégories Agence
« M’enfermer dans un seul domaine, ce n’est pas dans mon tempérament »

« M’enfermer dans un seul domaine, ce n’est pas dans mon tempérament »

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Marie Viersou, 39 ans, travaille depuis 2012 dans l’agence toulousaine ICOM. Passionnée, elle nous raconte son parcours dans la communication, et son rôle actuel en tant que graphiste. C’est pendant son DUT Services et Réseaux de Communication que Marie s’est rendu compte que ce qui l’intéressait vraiment, « c’était la création».

Afin de se donner les moyens d’atteindre son objectif, elle met fin à sa licence en cours et reprend des études d’arts appliqués, qu’elle décide d’arrêter au bout de deux ans pour entrer directement dans le monde du travail. « Le meilleur outil qu’on puisse avoir, c’est de travailler.» Déterminée à intégrer le graphisme et la mode, Marie obtient un poste de styliste, chargée de communication et graphiste dans une entreprise de textile. « M’enfermer dans un seul domaine, ce n’est pas dans mon tempérament», nous confie-t-elle.

Aujourd’hui, voilà sept ans que Marie travaille au sein d’ICOM, avec laquelle elle partage des valeurs environnementales et sociales. Les excellentes relations qu’elle entretient avec ses collaborateurs ne sont que la consécration de la confiance qui règne au sein de l’agence de communication toulousaine.

Graphiste : un métier en constante évolution

ICOM a permis à Marie de s’intéresser à un aspect plus digital de la communication. Contrairement au graphisme print, qui se base sur la réalisation d’affiches, de logos ou de supports papiers, le graphisme digital se tourne davantage vers la création de pages, de sites internet ou d’images Twitter. Ce deuxième aspect du graphisme, qui s’est intensifié ces dernières années, attire particulièrement Marie, qui trouve « plaisir à concevoir des sites internet ».

Une journée de travail type chez Marie Viersou commence chaque matin par la distribution de nouveaux dossiers de clients. La plupart du temps, c’est ICOM elle-même qui va répondre à des appels d’offre. Mais, pour de plus petits projets, ce sont les demandeurs qui viennent démarcher l’entreprise. Le temps passé sur le projet dépendra de l’enveloppe budgétaire allouée. La plupart du temps, les clients laisseront son autonomie à Marie, qui sera amenée à concevoir entièrement l’aspect visuel de la communication demandée. « C’est toujours bien d’avoir du challenge», sourit-elle.

Thomas ANDRÉ

Énora Le LOUARN

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

Kessy SOULAT

Mathis FESSARD

Catégories Agence
La communication au sens propre

La communication au sens propre

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Installée à Toulouse depuis 1985, l’ICOM est une agence de communication qui vise à promouvoir l’image d’une entreprise ou d’une organisation vis à vis de ses clients ou partenaires. Ces actions ne sont pas destinées à promouvoir un produit ou un service, mais à sensibiliser les salariés au travail responsable et au développement durable.

ICOM travaille aussi sur des actions de communications externes axées sur la protection de l’environnement. Ces projets, regroupés sous un programme appelé « Alchimie », sont réalisés et co-créés avec les entreprises demandeuses. De la création à la réalisation, les clients sont donc invités à participer aux différentes étapes de production, facilitant ainsi la phase de validation du projet. Par la même occasion, ils sont sensibilisés aux réflexes responsables, allant du simple tri des déchets à une manière plus écologique de produire.

Une entreprise responsable

Être une entreprise responsable passe d’abord par un code éthique stricte, notamment dans le choix de sa clientèle. Ainsi, ICOM choisit de travailler avec des entreprises ou des organismes qui partagent ses valeurs sociales et environnementales. Par exemple, l’agence toulousaine travaille souvent avec la chaîne de magasins nationale Biocoop, qui vend des produits bio et issus du commerce équitable.

Mais ICOM ne promeut pas seulement des valeurs responsables, elle est aussi une entreprise responsable. Cela passe par un engagement écologique à différents niveaux, qui commence par la gestion de leurs locaux. En effet, ces derniers sont entièrement constitués de bois et chauffés à l’énergie géothermique, qui fait partie des énergies renouvelables et propres.

Marie Viersou, Graphiste-Print au sein d’ICOM, dit adhérer totalement, à l’instar de tous ses collègues, aux valeurs véhiculées par l’agence. Cette image positive semble d’ailleurs être un gage de qualité qui a séduit nombre d’entreprises, dont les organismes publics, qui ont de nombreuses fois fait appel à cette communication verte.

Retrouvez notre visite en vidéo:

 

Thomas ANDRÉ

Enora Le LOUARN

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

Kessy SOULAT

Mathis FESSARD

Catégories Autre
Les pieds dans le sable, la tête dans l’avenir e-media

Les pieds dans le sable, la tête dans l’avenir e-media

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Les informaticiens ont un nom pour tester la robustesse de leur production avant de la mettre en service : sandbox (« bac à sable »). On imagine volontiers les (futurs) utilisateurs avec leur pelle et leur seau tester la résistance de leur château aux premiers assauts de la marée montante.