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Transition écologique : « fil rouge » de la région Occitanie

Transition écologique : « fil rouge » de la région Occitanie

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La crise énergétique devient une priorité pour tous. L’équipe de communication de  la région Occitanie explique ses solutions et stratégies pour répondre au besoin de la transition écologique.

En 2021, la région rouge et or se veut plus verte que jamais. Son grand projet : une région à énergie positive. L’Occitanie a pour ambition, d’ici 2050, de couvrir ses besoins énergétiques par des énergies renouvelables. Ces changements nécessitent un investissement de la région et des habitants. Afin de les inciter à s’investir pour l’environnement, la région développe des stratégies de communication mettant en lumière des projets tels que Rénov’Occitanie. Ce projet accompagne les particuliers dans la rénovation de leurs biens. Il leur permet donc de réduire à la fois leurs consommations et leurs factures d’énergie. 

Pour la transition, tous les moyens sont bons

“La question de la transition écologique est un fil rouge, explique Franck Chaumont responsable du service de presse, (…) présente dans tous les champs d’action de communication”. Réseaux sociaux, journaux de la région ou vidéos de promotion… Les communicants utilisent tous les moyens à leur disposition.. Aujourd’hui, c’est 300 000 personnes qui suivent la Région Occitanie sur les réseaux sociaux et 3 millions d’exemplaires du Journal de ma Région qui sont tirés. « L’avantage, c’est que tout le monde a une boîte aux lettres » explique Michael Hugues, responsable du service publication et discours. Par ces biais, ils démontrent que la cause environnementale ne concerne pas que la Région.  Il s’agit aussi d’un projet auquel les occitans sont tous invités à participer.

Groupe 2 – ISCPA Toulouse

Tom PASSICOT / Maëwenn ESTINGOY / Alexandra DOUSSAT / Gabriel BETAILLE / Elise ARTIGAU / Marine CALONE / Erine BIBAS



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L’Occitanie, en avant le rugby !

L’Occitanie, en avant le rugby !

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La région Occitanie est régulièrement partenaire de grands évènements qui la rendent dynamique et attrayante. Dans quelques mois, la ville rose fera partie des villes hôtes de la Coupe du Monde 2023.  La région compte bien se démarquer !

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Nicoleta Popa : « On a totalement dû repenser nos façons de procéder après la fusion »

Nicoleta Popa : « On a totalement dû repenser nos façons de procéder après la fusion »

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Dans quel but avoir fusionné Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ? Qu’est-ce que cela a apporté à la presse régionale ?

Michael Hugues : « On a fusionné pour faire des économies de masse, et créer une puissance à l’échelle de l’Union Européenne. On a voulu créer une force de frappe plus grande pour récupérer le retard qu’on a avec des régions d’Espagne ou d’Allemagne, qui elles sont plus autonomes. Pour faire des économies on va passer une seule commande pour la région afin d’acheter du papier à imprimer en grosse quantité. Mais ce qui est aussi intéressant c’est l’augmentation de notre audience grâce à la fusion qui équivaut à 3 Million d’exemplaires sur le journal. »

Ces objectifs ont été atteints ?

Ludovic Amar : « Il y a des économies d’échelle qui ont dû être faites certes mais on sait très bien ce qui se dit en ce moment sur le budget, on essaye de réduire au maximum et de faire attention. »

Yannick Larguet : « Aujourd’hui on constate que lorsque la présidente de l’Occitanie s’exprime elle a plus de pouvoir et plus d’influence que les anciennes régions. On va chercher à déployer des aides pour les entreprises. Ou encore on va prendre à notre charge la fabrication de masques en période covid on a la capacité d’en fournir, d’en fabriquer davantage. On a une puissance financière qui est beaucoup plus grande. »

Comment vous êtes-vous adaptés aux problèmes qui dépendent des zones géographiques ?

Franck Chaumont : « Pour la presse, les éditions locales doivent écrire à 13 départements qui sont fondamentalement différents. Il ne faut pas oublier que l’Occitanie est une région aussi grande que l’Irlande. Ainsi le service de presse va se décomposer de 9 personnes, 5 à Toulouse et 4 à Montpellier. Des binômes des deux villes vont se créer afin d’avoir deux avis différents sur le même sujet.

Nicoleta Popa : « En effet on a totalement dû repenser nos façons de procéder on a dû revisiter nos politiques. On a favorisé la communication de manière transversale en maintenant une proximité. Ce qui n’est pas évident à cause de la grande zone géographique que couvre l’Occitanie. »

Est-ce que le coût de la fusion vous a freiné dans vos partenariats ?

Yannick Larguet : « Par rapport à l’organisation des partenariats on a un budget alloué en début d’année civile. Avant la fusion on ne connaissait pas le budget nécessaire au bon fonctionnement des collaborations de l’Occitanie. En revanche on se rend compte qu’on a subi des baisses de partenariats chaque année. Cette année c’est drastique on a des récurrents qui ont des super opérations et avec lesquels on adore travailler mais on est obligé de diminuer leur budget de -20 %. »

Quelle a été votre stratégie de promotion de la fusion ?

Yannick Larguet : « On a essayé de montrer qu’il y avait que des avantages à la faire. On a travaillé et communiqué sur le fait que ces deux régions étaient complémentaires, additionner nos forces pour faire une région plus forte. On a voulu créer l’adhésion à d’une identité et à une histoire unique qu’est l’Occitanie. »

Groupe 4 Luna GUTTIEREZ, Quentin TONEATTI, Salomé FERRÉ, Chloé GARUZ, Domitille PERPÈRE, Kalista NARBONNE.

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Les réseaux sociaux : L’atout de la Région Occitanie pour capter l’attention des jeunes.

Les réseaux sociaux : L’atout de la Région Occitanie pour capter l’attention des jeunes.

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Mercredi dernier dans l’hémicycle de la Région Occitanie, Aziz OULHIYANE, Responsable de l’animation des réseaux sociaux, a accepté de mettre en lumière tous les enjeux de son métier en répondant à quelques questions. Il les a partagés à tous les étudiants de première année de communication et de journalisme de l’ISCPA Toulouse.

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