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Les coulisses de la plus grande chaîne sportive française : L’Équipe  

Les coulisses de la plus grande chaîne sportive française : L’Équipe  

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La chaîne L’Équipe est la première chaîne gratuite de diffusion sportive en France. Pendant de la version papier, elle propose informations, débats et couverture d’événements en tout genre.

Du journal sportif l’Auto-Vélo à la chaîne l’Équipe

L’histoire débute lors de l’année 1900 avec un quotidien imprimé sur papier jaune dénommé l’Auto-Vélo, un journal diffusant exclusivement de l’information sportive au grand public. Mais, à la Libération, en 1944, le journal est interdit, accusé de collaboration durant la Seconde Guerre mondiale. Cependant, le quotidien fait son grand retour en 1946, sous un tout nouveau nom : L’Équipe.

Quelques décennies plus tard, en 1997, le journal lance sa propre chaîne de télévision dédiée à l’actualité sportive en continu : L’Équipe TV. En 2012, il fait son apparition sur la TNT gratuite, portant ainsi le numéro 21. Enfin, en 2016, la marque opte pour un dernier changement de nom : la chaîne l’Équipe. Celle-ci se réinvente alors une fois de plus et adopte une nouvelle stratégie pour chaque support (site internet, presse papier et chaîne de télévision). Elle se met à produire les nombreuses émissions que nous connaissons aujourd’hui comme L’Équipe choc ou L’Équipe du soir. À l’heure actuelle, la chaîne couvre l’actualité d’une quarantaine de sports différents.

L’art de l’orchestration : la production télévisée

L’élément central est l’impressionnant plateau de 104m2 entouré de 18 écrans montés sur roulettes qui se déplacent selon les émissions diffusées. L’ambiance peut ainsi être changée facilement entre les programmes grâce aux jeux de lumière. De quoi permettre à l’équipe de tournage de changer les décors durant les quelques minutes de publicité. 

Par ailleurs, un véritable travail d’orfèvre a lieu en régie de production avec plusieurs rôles complémentaires. Nous retrouvons là, le chef d’édition qui dirige les éléments-clés de l’émission, tels que la musique ou les génériques. Le chargé de production s’occupe quant à lui de la gestion des flux externes, notamment les images de reporters sur le terrain. L’ingénieur du son, lui, veille à la qualité sonore lors des diffusions en direct ou en différé. Et pour finir, toutes les caméras sont pilotées par le réalisateur depuis la régie, laissant ainsi le présentateur et ses invités seuls sur le plateau pour leur permettre de vivre pleinement leur émission. 

 

https://youtu.be/q70Qma5xR-I

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Le Zénith de Paris : Un Monument Musical au Cœur de la Capitale

Le Zénith de Paris : Un Monument Musical au Cœur de la Capitale

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Le Zénith de Paris est, depuis 1984, un pilier de la scène française. Avec sa capacité de 6 300 spectateurs, ce lieu emblématique joue un rôle central dans le monde de la musique.

Un héritage culturel

Construit en 1983 par les architectes Jean Claude Morel et Philippe Chaix à l’initiative du ministre Jack Lang, le Zénith ouvre ses portes en 1984. Dans un premier temps, cette salle de spectacle construite dans le quartier parisien de La Villette était prévue pour une durée de 3 ans. Grâce à son succès, elle donnera finalement naissance à 16 autres zéniths partout en France.

En outre, ce lieu a très vite été considéré comme une destination de choix pour les amateurs de musique. Cette réputation a alors poussé de nombreux artistes à y performer, donnant lieu à des concerts mémorables comme lors de l’inauguration des lieux le 12 janvier 1984 avec Jacques Higelin, Renaud et Charles Trenet ou encore le concert de Johnny Hallyday quelques mois plus tard.

Une scène pour tous les styles 

Le Zénith de Paris ne se limite pas à un genre musical particulier. Il offre une toile de fond à une diversité de styles, allant de la pop au rock, du hip-hop à l’électro. Sa polyvalence a permis à une multitude d’artistes de se produire devant un public français enthousiaste.

En outre, le Zénith accueille fréquemment des événements spéciaux tels que des cérémonies de remise de prix, des défilés de mode et des événements caritatifs, renforçant ainsi son rôle central dans la vie culturelle parisienne.

scene zenith de la villette
Les gradins du Zénith de Paris vus depuis la scène.

Hugo/Saïd/Lilia/Gaspard (groupe J5)

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Occitanie et réseaux sociaux : à la découverte d’une région connectée

Occitanie et réseaux sociaux : à la découverte d’une région connectée

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La région Occitanie a reçu les étudiants de l’ISCPA  le 20 septembre 2023 pour découvrir l’étendue de ses actions. L’un de ses objectifs : diffuser des informations essentielles au travers des réseaux sociaux. Les professionnels composant le service d’informations digitales nous ont délivré leurs astuces concernant leur gestion.  

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« Valoriser le territoire et le faire connaitre », l’équipe réseaux sociaux de la Région Occitanie nous délivre ses objectifs

« Valoriser le territoire et le faire connaitre », l’équipe réseaux sociaux de la Région Occitanie nous délivre ses objectifs

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La Région Occitanie à diverses missions et objectifs visant à transmettre des messages notamment sur leurs réseaux sociaux. Nous sommes donc allés à la rencontre d’Élisa Tamalet (community manager de la Région Occitanie), Guillaume Clouté (alertant community manager à la Région Occitanie) et Laëtitia Gaubert (community manager de Carole Delga, présidente de la Région), afin d’en savoir plus sur leurs travails.

 Comment gérez-vous vos réseaux sociaux ?

« Nous utilisons 4 réseaux sociaux. Facebook est notre réseau social principal où nous comptabilisons le plus d’abonnés, nous en comptons 175 000. C’est un réseau social sur lequel nous pouvons communiquer sur un ton plutôt informel pour interpeller nos abonnés, ainsi nous pouvons valoriser le territoire et le faire connaître. Nous faisons deux posts par jour ainsi que quelques republications. Ensuite, sur LinkedIn nous nous intéressons aux sujets économiques et au développement durable entre autres. Nous comptons 117 900 abonnés, et nous faisons un post par jour. Aussi, nous sommes sur X (anciennement Twitter), qui nous permet de faire passer des messages institutionnels, comme des discours d’élus par exemple. Nous comptons sur ce réseau 82 000 abonnés, et nous postons 2 fois par jour tout en faisant des retweet. Enfin nous utilisons Instagram pour valoriser les territoires, sur ce réseau social nous comptons 99 000 abonnés et nous diffusons 1 information par jour (post ou story). » nous racontent Élisa Tamalet et Guillaume Clouté.

Pourquoi n’êtes-vous pas sur TikTok ?

« La problématique de cette application c’est qu’elle utilise un système d’incarnation, nous nous sommes donc posé la question mais nous  considérons que nous ne pouvons pas incarner La Région, de plus notre ligne éditoriale ne correspond pas à cette application et son contenu. Cependant, Carole Delga (la présidente de la Région Occitanie) possède un compte TikTok car elle incarne parfaitement la présidence de la Région. »  nous explique Élisa Tamalet.

Qu’est ce qu’une journée type pour vous ?

« Nous avons du travail de veille en permanence sans pour autant nous installer dans une routine, pour ma part je passe en moyenne 14 heures par jour sur le téléphone. » affirme Laëtitia Gaubert. « Nous sommes en lien avec l’actualité de la région évidemment pour diffuser des messages chaque jour sur l’ensemble de nos réseaux. Et également, nous répondons aux messages privés et aux commentaires. » précise Élisa Tamalet

G2 – ISCPA Toulouse – TE WIERIK William, LOIZON Théo, DJAOUTI Meïssa, LAVIT-TERRAL Léna, RIOT Clémence, DURO FRANCO Flavie

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La Coupe du monde, un évènement au-delà du sport.

La Coupe du monde, un évènement au-delà du sport.

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Rencontre avec plusieurs responsables et conseillers des services de Région Occitanie. Zoom sur les actions de la Région pour l’organisation de la Coupe du monde.

Sur quels réseaux sociaux peut-on suivre la Région pour avoir les dernières informations sur la Coupe du monde ?

Elisa Tamalet, responsable des réseaux sociaux : « La région est sur 4 réseaux sociaux : Facebook, LinkedIn, Instagram et Twitter.
Pour Facebook, on est proche des 165 000 abonnés, pour cette plateforme on essaye de toucher le grand public, on fait 1 à 2 publications par jour.
Pour LinkedIn, on est à 118 025 abonnés, on cherche à valoriser les artisans, les commerçants, tout ce qui nous permet de valoriser les gens autour. On fait 1 post par jour.
Pour Instagram, le nombre d’abonnés est de 99 531, on essaie de toucher un public plus jeune, on veut valoriser notre territoire en leur proposant de belles images. On fait 1 à 2 posts par jour.
Pour Twitter, on a 82 699 abonnés, l’objectif sur cette plateforme est de toucher le maximum d’institutions possibles. On essaie d’avoir des messages plus consistants, plus précis. On fait 2 posts par jour. »

Comment avez-vous organisé la Coupe du monde de rugby ?

Nicoleta Popa, responsable de service déléguée Campagnes de Communication : « Pour l’organisation de la Coupe du monde de rugby, ce n’est pas la Région qui s’en occupe au départ.  Un comité d’organisation élabore le calendrier du tournoi. Après les régions se mettent en accord avec les organisateurs pour connaître les mesures à prendre et à respecter. »

Mis à part l’organisation de la Coupe du monde, qu’avez-vous mis en place pour informer les gens sur la Coupe du monde ?

Ludovic Amar, responsable de la stratégie digitale/ Sud de France : « Le village rugby a été mis en place dans la métropole, on a aussi le film sur la campagne de rugby, ce film est toujours disponible sur le site de la Région en français, en français sous-titré anglais et japonais pour pouvoir toucher le maximum de personnes. »

« La Coupe du monde touche sur les plans local, national et international. » Nina Camberoque, responsable service Production Audiovisuelle et Iconographique. 

Avec la Coupe du monde de rugby, est-ce que vous vous attendiez à une certaine affluence sur la Région ?

Ludovic Amar confie : « Je ne pourrai pas vous répondre précisément, ce n’est pas moi qui m’occupe de la partie Coupe du monde, les chiffres exacts ne sont pas encore sortis mais personnellement. Je pense que la Coupe du monde attire les amateurs de rugby, c’est une bonne chose pour la Région. »

G8 Toulouse Joulin Thomas – Dartiguelongue Manon – Massin Salomé – Lechartier-Bonhoure Pablo – Ulmi Estelle

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Jean Etienne Celle : Une passion devenue profession

Jean Etienne Celle : Une passion devenue profession

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« Il faut être passionné, toujours prendre du plaisir. » Tels sont les mots encourageant Jean-Etienne Celle à propos de son métier de son métier de journaliste sportif. Jean-Etienne Celle est un ancien étudiant de l’USCPA, et désormais journaliste chez Auto Moto depuis trois ans. Nous avons pu parler de son parcours mais aussi de son amour pour le sport automobile qu’il l’avait poussé à se diriger vers le journalisme sportif. Il a notamment encouragé à l’ouverture de la profession aux femmes passionnées et déterminées !