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Une communication au service de son patrimoine

Une communication au service de son patrimoine

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Depuis la fusion en 2016 entre les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, la nouvelle région Occitanie, s’évertue à promouvoir son patrimoine par le biais d’une communication importante.

L’Occitanie, deuxième plus grande région de France possède de nombreuses caractéristiques qui font d’elle l’une, si ce n’est la région, la plus attractive du territoire français. D’une très grande superficie elle regorge de monuments et son poids démographique déjà très important ne cesse de croitre puisque chaque année elle attire 58 000 nouveaux habitants. Étant la première région dans le taux de création d’entreprises et dans la recherche avec près de 30000 chercheurs, elle dispose d’un dynamisme non négligeable incarné par la jeunesse de ses citoyens. En effet, un tiers des habitants de notre chère région a 25 ans ou moins ce qui positionne l’éducation comme le 1er poste d’investissement régional.  Mais ce qui fait la particularité de l’Occitanie c’est la diversité de son héritage. Comme le révèle l’UNESCO6 monuments Occitans sont classés dans la liste du patrimoine à protéger. 

Objectif ? Devenir une région du top 10 européen !

Pour promouvoir le patrimoine de la région, le conseil régional possède un pôle information qui gère les relations avec la presse, mais aussi les réseaux sociaux et les actualités sur le site web. En ce qui concerne l’évolution des moyens de communication, la région Occitanie gère parfaitement ces nouveaux outils. Sa ligne éditoriale repose sur une temporalité plus rapide, avec une actualité plus directe, et un ton plus léger que l’actualité institutionnelle. Cette information a pour but de valoriser les citoyens, mais surtout le territoire afin d’augmenter le tourisme par le biais de vidéos promotionnelles. L’idéal pour la région n’étant pas un tourisme de masse mais bien de qualité pour préserver l’environnement et ainsi s’inscrire dans la durée.

Ce pôle édite également un magazine, avec un format à temporalité plus longue. Ecrit par des journalistes il valorise la région et ses habitants, avec des portraits et des articles qui décryptent de manière plus approfondie les sujets. Ces deux formes de communication ne s’adressent pas au même public. Alors que les réseaux sociaux sont conçus pour un public plus jeune et connecté, le magazine, distribué dans 2,9 millions de boîtes aux lettres, s’adresse à tous et notamment aux populations plus âgées. 

L’ambition : depuis la fusion, l’Occitanie met tout en œuvre pour promouvoir son « nouveau » territoire et ainsi se créer une identité propre née du mariage de deux régions historiquement distinctes. 

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

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Nicolas Fouin, au service du digital

Nicolas Fouin, au service du digital

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Sopra Steria est une entreprise française de services du numérique et est le leader européen de la transformation digitale. L’entreprise se situe à Colomiers. Les  apprentis journalistes de l’ISCPA Toulouse ont ainsi pu échanger avec Nicolas Fouin, le responsable de Mobile Factory.

Nicolas Fouin a effectué une prépa pour intégrer l’école d’ingenieur ICAM (Institut Catholique d’Arts et Métiers) où il s’est formé sur un cursus de 5 années. Puis il a rejoint Sopra Steria en tant que stagiaire sur la technologie SAP, un logiciel qui a pour but de contrôler toutes les grandes fonctions de l’entreprise. Durant son stage, il a été chargé d’encadrer des ingénieurs indiens en faisant du codage afin de les aider. Tous ses efforts ont payés, puisqu’il est aujourd’hui à la tête de Mobile Factory depuis 4 ans.

Nicolas Fouin souhaite élaborer des «super projets »

Cependant son poste est exigeant. L’entreprise a développé des applications de banques (Be for bank, présente seulement en ligne) ainsi que des applications pour faciliter la façon de travailler d’ Airbus. Ainsi, il n’a pas le droit à l’erreur sous peine de perdre ses « gros » clients.  L’ingénieur est spécialisé dans les applications mobiles. Pour cela,  lui et ses coéquipiers se doivent d’avoir la capacité d’augmenter leur bagage technique. Il s’agit alors d’utiliser au maximum les nouvelles technologies, comme la X-réalité par exemple. En effet dans l’entreprise, Nicolas Fouin et ses collaborateurs consacrent 20% de leur temps à la veille ou encore à la Recherche et Développement.

En plus de ces efforts, il doit s’atteler au recrutement. Le digital manque de main d’œuvre. D’après ses propros, « il y a une pénurie sur le marché de l’ingénieurie informatique ». De plus, être ingénieur chez Sopra Steria, c’est également convaincre les clients et savoir gagner des contrats (perte d’argent sur un projet en vue de bénéfice sur le prochain). Une aisance orale est également requise. Pour cela, les employés peuvent solliciter un coach afin de développer leur posture de consultant. Cela aide à remporter plus facilement de futurs contrats.

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

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Pascal Pallas : dans la peau d’un rédacteur en chef

Pascal Pallas : dans la peau d’un rédacteur en chef

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Pascal Pallas est un parangon de dévotion. Journaliste de métier devenu rédacteur en chef, il officie depuis janvier 2015 à Actu Toulouse. Pédagogue, il détaille son parcours atypique, les multiples facettes de son poste et les défis auxquels le média qu’il dirige est confronté au quotidien.

Sans langue de bois, Pascal Pallas se qualifie lui-même de « très mauvais exemple ». En effet son parcours est inhabituel puisqu’il n’a jamais intégré d’école de journalisme. Pourtant il est aujourd’hui rédacteur en chef d’Actu Toulouse, un média jeune mais qui fait déjà figure de référence dans l’actualité locale de la Ville rose.

Pascal Pallas se rappelle de sa formation qui a débuté sur les bancs du collège durant « un stage, à 14 ans » qui lui a beaucoup plu. À partir de ce moment-là il s’est destiné à être journaliste, multipliant les piges dans « un quotidien local » et officiant « en correspondance en parallèle de (s)es études ».

« Aujourd’hui je n’écris quasiment plus »

De son propre aveu, le métier de journaliste a toujours été « une vocation ». Pourtant c’est aujourd’hui en tant que rédacteur en chef qu’officie Pascal Pallas. Bien loin de l’image d’Épinal que l’on peut se faire de ce métier, il explique qu’il est davantage un gestionnaire. Son but est de parvenir à « animer son équipe pour arriver à faire fonctionner son titre ».

Ainsi tous les jours, Pascal Pallas est confronté à de multiples difficultés. Un rédacteur en chef est en première ligne lorsque des lecteurs ont des remontrances à faire, « hier j’ai du gérer deux demandes de retrait d’article sur le web ! » s’exclame-t-il. Fidéliser un public dans le monde médiatique à l’ère des réseaux sociaux est essentiel. Pascal Pallas veille donc, chaque jour, à « faire en sorte que son équipe continue d’intéresser son lecteur ». Un travail prenant donc, même pour un passionné, mais captivant.

Faire vite, mais toujours bien

Un média comme Actu Toulouse fonctionne avant tout grâce à sa couverture quotidienne de l’actualité locale et régionale. Les réseaux sociaux ayant été un moteur de développement, il a fallu s’adapter à une nouvelle manière de traiter l’information. Il faut fournir beaucoup, continuellement, et ne rien omettre pour séduire le lectorat.

Pour autant, d’après Pascal Pallas « l’information doit prévaloir sur tout le reste ». La couverture de l’actualité parfois brûlante ne doit pas se faire au détriment de la véracité des faits. Comme il le dit si bien, être rédacteur en chef « c’est de la volonté », mais aussi beaucoup de passion. À mi-chemin entre les postes de community manager et de chef d’équipe, Pascal Pallas n’en demeure pas moins un journaliste passionné, ce qu’il a au fond toujours voulu être.

Groupe 5 ISCPA Toulouse : Léana, Loane, Liselotte, Enzo, Dorian et Jade

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Le Crédit Agricole : une communication audacieuse

Le Crédit Agricole : une communication audacieuse

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Banque nationale depuis 1894, le Crédit Agricole entretient une relation de proximité avec ses clients. Ils se tournent ainsi vers les nouvelles technologies tout en conservant un lien traditionnel avec ses
fidèles mais aussi ses futurs clients.

Grâce à l’innovation de la technologie, les réseaux sociaux ont pris une grande place dans le service communication du Crédit Agricole. Cette entreprise comporte 40 Community Manager dans chaque région de France, ce qui est une de leur force majeure.

Afin d’obtenir des informations, un robot a été mis en place sur le site internet du Crédit Agricole. Dans certaines agences, un autre robot avait été mis à disposition des clients lors de leur arrivées. Un moyen technologique crée dans le but de tenir les clients de la banque informés.

Une appli jeune a été crée pour que la banque puisse être proche de ses jeunes clients, afin de répondre plus facilement à d’éventuelles questions.

Différentes stratégies pour chaque réseau social

Développer le capital sympathie est un de leur but principal. Différentes stratégies de communication sont utilisées pour chaque réseau social. Facebook est le théâtre de jeux-concours et de posts sur l’actualité régionale. Sur Instagram et Snapchat, l’audience est limitée à un jeune public alors que sur Twitter, la partie communication est beaucoup plus concentrée sur le contact professionnel. La communication y est plus institutionnelle.

Un système est utilisé afin d’accéder au nombre d’interactions sur chaque réseau social, ce compte rendu est par la suite redirigé vers les supérieurs afin de leur faire comprendre l’influence des réseaux sociaux grâce à des chiffres concrets.

Une communication plus « traditionnelle »

Présent sur plusieurs événements, le Crédit Agricole permet aux start-ups mais également aux entreprises d’avoir une visibilité plus grande. La Tubecon et Le Bikini en sont des exemples. « Le village » et « Les cafés de la création » sont des créations locales du Crédit Agricole, élément essentiel à la relation client. Cela leur permet de développer la marque employeur et de fidéliser les clients. Des événements internes sont mis en place comme des inaugurations regroupant partenaires et clients. Des stands, des plaquettes, des flyers mais bien plus encore sont les atouts principaux d’une communication entre les clients potentiels et cette banque.

Un développement pour une meilleure relation client

Le Crédit Agricole n’est pas seulement une banque. Il agit également dans le secteur immobilier et dans le secteur de l’emploi. Les clients se sentent donc accompagnés. Les clients potentiels découvrent quant à eux une entreprise qui se développe constamment et qui est à l’écoute de ses clients.

Groupe 5 ISCPA Toulouse
Jade, Léana, Loane, Liselotte, Dorian, Enzo.

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Fanny Thévenoud : Une communicante au service de sa région

Fanny Thévenoud : Une communicante au service de sa région

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Suite au plan de fusion des régions en 2015 par F. Hollande, la région Occitanie né. Pour faire face à ce grand défi, la communication est alors un aspect essentiel. 

Cela fait maintenant 11 ans que Fanny Thévenoud oeuvre pour la région Occitanie. D’abord attachée de presse, elle est aujourd’hui en charge du pole information. Durant la fusion elle a dû faire preuve d’inventivité et de réactivité pour gérer au mieux les changements. « On avait l’impression de vivre de l’intérieur un moment historique. » Elle explique ainsi que sa première priorité fut de montrer que malgré la fusion, tout le système était opérationnel. Dans un second temps elle s’est attelée à une mission plus pédagogique en essayant d’expliquer au citoyens la force de cette nouvelle région afin qu’ils se l’approprie. Enfin, Fanny Thévenoud a oeuvré pour la valorisation les élus régionaux, leur travail, leurs votes etc.

Pour mener à bien ses missions, Fanny a bien compris l’enjeu du numérique. Elle se sert notamment de tous les réseaux sociaux, chacun ayant un but et un public visé différent. Instagram va par exemple servir à relayer l’identité visuelle de la région en faisant la publicité des plus beaux sites touristiques d’Occitanie tandis que Facebook aura un aspect plus conventionnel et que Twitter s’adressera aux jeunes. A Fanny Thévenoud d’adapter le ton en fonction, ce qui lui demande une grande polyvalence.

Ce travail est effectué dans une temporalité brève et concerne l’actualité « chaude ». Cependant, Fanny a aussi de plus longues échéances, comme celle de la parution du magazine de la région. Ce dernier, envoyé à chaque citoyens du territoire a notamment pour but de présenter des citoyens actifs de la régions comme des entrepeneurs engagés par exemple.

Une communicante proche des citoyens

Support favori de la communication car le moins coûteux, les réseaux sociaux sont essentiels mais il comportent des risques pour Fanny Thévenoud. Elle doit souvent faire face à des questions embarrassantes voir aggressives. Dans ces cas là, en bonne communicante elle gère la crise, s’informe, et répond afin de satisfaire le citoyen. Cependant, les réseaux  permettent aussi à Fanny Thévenoud de s’engager au plus près des citoyens. Dans le cadre du projet «  la région est à vous » elle se donne un délai de 15 jours pour répondre aux personnes contactant la région. Cela fait d’elle une communicante réactive. Elle a aussi compris que ce système lui permettait de toucher les jeunes qu’elle n’hésite pas à solliciter car selon elle « il ne faut surtout pas les infantiliser, ils ont beaucoup à apporter ».

Sa proximité des habitants d’Occitanie se traduit aussi dans ses partenariats. Par exemple, Fanny Thévenoud a beaucoup travaillé avec les agents d’office du tourisme de la région afin de mettre en place un grand plan de promotion touristique de la région, jusqu’à l’échelle internationale. Tout cela fait de Fanny une communicante engagée pour sa région et elle conclu ainsi : « quand on fait de la com pour quelque chose auquel on croit, je pense qu’on a l’impression d’avoir bien réussi « .

Groupe 5

Liselotte, Jade, Leana, Loane, Dorian, Enzo

crédit photo : Tour e-media 2018

Catégories Agence
Une start-up aux méthodes de travail innovantes

Une start-up aux méthodes de travail innovantes

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Une start-up se doit de se démarquer dans le secteur professionnel, pour cela la Mobile Factory a mis en place une méthode de travail originale. Celle ci se base sur l’accompagnement du client dans le processus de création d’application, ainsi que sur l’immersion des ingénieurs en entreprise.

La start-up la Mobile Factory interne au groupe Sopra Steria (entreprise de services numériques), développe des solutions informatiques pour accélérer le business de certaines entreprises. Les ingénieurs informaticiens confectionnent et développent des applications mobiles commandées par les clients. Ils collaborent notamment avec Airbus, mais aussi avec des groupes comme Mcdonald ou BforBank.

Des conditions de travail atypiques

L’équipe de la Mobile Factory évolue dans un environnement de travail épanouissant au niveau personnel et professionnel. En effet les ingénieurs disposent d’un coach en développement personnel qui les accompagne au quotidien pour les aider à progresser sur leur savoir être et leur posture professionnelle.

Une employée oeuvre également pour la bonne ambiance en organisant des soirées, barbecues et « chocoteck » (échanges entre les employés sur l’actualité technologique autour de chocolatines). De plus 20% du temps de travail des ingénieurs est consacré à des veilles et de la recherche en développement.

Un accompagnement dans le processus de création

Les ingénieurs de la Mobile Factory appliquent une méthode de travail basée sur l’accompagnement du client dans le développement d’une application. Chaque mois, le client observe l’avancée du projet et peut faire part de ses critiques constructives. Ceci pour optimiser le temps de travail et garantir la satisfaction du client.

D’autre part, lorsqu’ils reçoivent une mission, les ingénieurs s’immergent au sein de l’entreprise cliente pour mieux appréhender la conception du projet. En effet, début 2019, Airbus commande une application pouvant compresser en formant mobile les plannings de production des avions. L’équipe s’immergent alors dans l’entreprise pour mieux comprendre les tenants et aboutissants de la mission. Ceci leur a permis d’optimiser au maximum l’application et satisfaire à la fois les dirigeants et les employés.

Jill – Marco – Eliot – Elisa – Léa – Emeline

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Nicolas Fouin, un virtuose de l’informatique

Nicolas Fouin, un virtuose de l’informatique

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Nicolas Fouin, a un parcours scolaire impressionnant et une carrière passionnante. En effet depuis 2010, il travaille chez Sopra Steria, société digitale partenaire d’Airbus. En œuvrant pour une telle société, les challenges sont au rendez-vous et il a su les relever.

Nicolas Fouin a étudié à l’institut catholique d’Arts et Métiers (ICAM) de 2005 à 2010 afin de devenir ingénieur généraliste. Il fait sa dernière année en génie informatique et fini 3e sur une promotion de 100 ingénieurs. Il produira deux mémoires de fin d’études en 2009. Le premier avait pour sujet la robotisation d’un procédé industriel sur les portes d’avion des BOEING 787. Ce projet consiste à développer un programme pour les robots KUKA opérant dans les chaines de montages de ces dernières.

Le deuxième mémoire traite du développement d’une interface de travail collaboratif « Ruby on Rails ». Il a dû développer des « plugins » pour l’application web Redmine (outil web de travail collaboratif).

Enfin, pour son stage de fin d’études en 2010, Nicolas développe une application SAP (Systems, Applications and Products for data processing) pour Airbus. Ce genre d’application consiste à relier les différents services d’une entreprise (comptabilité, finances, marketing, ressources humaines…) sur la base d’une configuration client/serveur. Mais il ne s’arrête pas là puisque en 2013 il va créer une application pour la ville de Toulouse à l’occasion de « l’Open Data » organisé par celle-ci. L’application bus 31 qu’il réalise, est semblable à celle de Tisséo que l’on connait aujourd’hui.

L’aventure Sopra commence

Nicolas démarre sa carrière en tant que responsable de projet et consultant sur les applications SAP. Il travaille sur une autre application SAP pour Airbus destiné à la gestion des stocks de pièces détachées. Il a également pour mission d’encadrer un projet offshore en Inde avec quatre ingénieurs indiens. Il gère un autre projet SAP toujours pour Airbus mais autour des problématiques de « Big Data » spécifiques à l’A350.

En 2015 en acquérant le titre de chef de projet Mobile, il devient chef des applications mobiles. Il a sous sa responsabilité des équipes qui vont de 3 à 20 ingénieurs mobiles et est également « Scrum Master ». Un « Scrum Master », c’est selon l’expression de Nicolas « le collaborateur qui va repasser derrière votre travail pour vérifier que vous répondez bien aux attentes du client et qui va vous embêtez si vous n’avez pas fait correctement votre travail ». En 2015, il devient chef de la « Mobile Factory » chez Sopra. Désormais il manage une équipe entièrement dédiée à la création d’applications mobiles pour les clients.

Son rôle au cœur de la « Mobile Factory »

En travaillant dans cette division, il a eu l’occasion de mettre au point avec son équipe plusieurs applications mobiles principalement pour Airbus. Avec ses collaborateurs, il a par exemple dû créer une application afin que tous les employés puissent accéder au planning de la semaine plus facilement et de manière plus claire. Avec l’application FIP, « Future Integrated People » chaque employé a maintenant son planning accessible depuis son smartphone. Ce projet a rapporté 110.000€.

Un autre gros projet fut l’application « Pilot Training », prototype d’une version plus avancée à venir et réservée à Airbus. Cette application a été inventée pour les pilotes afin de leur permettre de s’entrainer entre deux vols sur des scénarios et actions récurrentes du métier. Si le prototype s’élève à seulement 25.000€, le contrat décroché avec Airbus par la suite, s’élève lui, à 1.300.000$.

Elisa – Léa – Eliot – Marco – Jill – Emeline

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Fanny Thevenoud, une directrice dévouée pour l’Occitanie

Fanny Thevenoud, une directrice dévouée pour l’Occitanie

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Au Conseil Régional d’Occitanie, le maître mot est l’investissement, Fanny Thevenoud, directrice adjointe de la communication en charge du pôle information en est le meilleur exemple.

Arrivée en 2009 en tant qu’attachée de presse au sein du Conseil Régional Midi-Pyrénées, elle prend en charge la réalisation des communiqués et dossiers de presse, organise les événements presse et y participe. Elle est ensuite promue au rang de responsable de service presse en 2015, elle s’occupe des relations de l’institution avec la presse en général. Cette fois-ci au nom de la toute nouvelle région Occitanie, née suite à la loi de 2015 relative à la délimitation des régions. Depuis 2017, elle occupe le rôle de directrice adjointe de la communication en charge du pôle information, ce nouveau poste implique des responsabilités plus fortes, elle gère les réseaux sociaux et le magazine « Le journal de ma région » (publié depuis mai 2016).

Un investissement de tous les jours 

« C’est à la fois l’expérience la plus difficile et la plus enrichissante » témoigne Fanny sur la rigueur que nécessite son poste. Ici avec l’exemple de la fusion des régions en 2015 où la communication a été laborieuse et le projet d’une ampleur inédite. L’équipe en charge de la communication avait peu de temps pour opérer des changements majeurs allant du simple changement de logo à la fusion des conseils régionaux. Elle exprime son implication par le fait qu’elle n’hésite pas à faire des horaires supplémentaires pour le bon fonctionnement de l’institution. Elle souligne d’ailleurs son désaccord avec certains employés qui refusent de s’impliquer au delà de leurs horaires établies. 

Un épanouissement professionnel

Au quotidien elle travaille avec une petite équipe de communicants, avec qui la cohésion est primordiale. Néanmoins cela n’a pas toujours été le cas, en effet lors de la fusion des régions, de nouvelles équipes ainsi qu’une réorganisation ont bouleversé l’équilibre du groupe. Cela lui a permis de repartir sur de nouvelles bases. Aujourd’hui, elle s’associe à Nina Camberoque, responsable du pôle image, qui lui présente des spots audiovisuels à publier sur les réseaux sociaux. Le travail en équipe lui a donné la chance de trouver une certaine satisfaction personnelle et de conforter son investissement quotidien. C’est en mettant sa fierté de côté que son expérience du travail de groupe a contribué à son dépassement professionnel.

Groupe 4 : Elisa – Léa – Emeline – Jill – Marco – Eliot

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Les jeunes, priorité de la région Occitanie

Les jeunes, priorité de la région Occitanie

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Cela fait maintenant quatre ans que la loi portant sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTRe) a été votée par le Parlement. Depuis le 7 août 2015, la nouvelle région Occitanie, fusion des anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, est devenue la deuxième plus grande région de France, mais aussi l’une des plus attractives pour les jeunes.

Selon Dominique Satge, conseillère régionale et élue de Haute-Garonne, la jeunesse et l’éducation sont les priorités de la région. C’est pourquoi la région en a fait un de ses premiers secteurs d’investissement du budget régional. En effet, avec un tiers de sa population ayant moins de vingt-cinq ans et deux pôles universitaire majeurs à Toulouse et Montpellier, il paraissait normal que la région Occitanie agisse en conséquence et soit à l’écoute des plus jeunes citoyens.

Les actions sont donc diverses. D’abord, la mise en place de conseils régionaux pour les jeunes, dans lesquels ces derniers désignent un élu qui les représentera. Ensuite, des maisons d’orientation, qui ont pour but d’aiguiller les jeunes vers des professions qui leurs conviennent, au moyen d’apprentissages ou de la construction de dix nouveaux lycées en Occitanie. Pour finir, la mise en place d’une Carte Jeune, qui permettra à ces derniers de disposer d’un budget destiné à la culture.

Du côté de la communication, aussi, tout est fait pour cibler les 15-25 ans, avec notamment une forte présence sur les réseaux sociaux et des campagnes axées sur la jeunesse. La prochaine à venir met d’ailleurs en garde contre le cyber-harcèlement.

Une région qui pense aussi au futur de ses jeunes

Outre l’éducation et la jeunesse, la protection de l’environnement est un secteur qui attire tout particulièrement l’attention des élus régionaux. Ce tout nouvel engouement fait suite à une prise de conscience générale l’année passée, qui s’est notamment fait entendre lors des tournées « la région est à vous », organisées par les élus et agents régionaux. Les politiques environnementales sont dorénavant « transversales à toutes les politiques régionales » affirme Dominique Satge.

En pleine transition écologique, l’Occitanie se tourne de plus en plus vers les énergies renouvelables. Elle fait construire des fermes éoliennes, investit dans les rénovations thermiques et dans des parcs photovoltaïques et favorise les transports en commun au sens large. De plus, la région participe aussi au projet Plan Littoral 21 Méditerranée, qui a pour but de préserver les richesses naturelles du littoral. Cet engagement de la région sur des questions écologiques devrait garantir aux jeunes citoyens et aux générations futures un avenir plus propre.

Retrouvez notre visite en vidéo :

Enora LE LOUARN

Thomas ANDRÉ

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

Kessy SOULAT

Mathis FESSARD