Le 28 septembre 2020 lors du Tour E-Media, le journaliste de La Tribune Toulouse, Pierrick Merlet a accepté une interview avec des étudiants de première année de l’ISCPA. Il explique le fonctionnement et l’avenir du journal.
Le 28 septembre 2020 lors du Tour E-Media, le journaliste de La Tribune Toulouse, Pierrick Merlet a accepté une interview avec des étudiants de première année de l’ISCPA. Il explique le fonctionnement et l’avenir du journal.
Ancien élève de l’ISCPA et journaliste au sein de la rédaction du journal économique La Tribune Toulouse depuis 3 ans, Pierrick Merlet nous a fait part, lors d’une rencontre, de l’évolution du média depuis son passage au numérique, mais également des projets innovants.
« Le numérique a sauvé la Tribune », Pierrick Merle journaliste chez La Tribune Toulouse, a précisé la stratégie en interne de ce journal en ce qui concerne l’aspect numérique. Cette rencontre a eu lieu à l’occasion du #TourEmedia2020.
En décembre 2011, « La Tribune »est repris par Jean Christophe Tortora. Ayant soif d’innovations et de projets avec son nouveau poste de président, il donne une réelle accélération au développement de celui-ci. Même si « La Tribune » n’a jamais eu trop de succès dans les kiosques, car son public âgé de 18 à 40 ans utilise majoritairement un téléphone pour s’informer. Internet offre des avantages indéniables. Autrement dit l’audience est en hausse sur le site de « La Tribune » et ce malgré le passage récent au tout payant, car semble t-il les lecteurs sont prêts à payer pour obtenir des contenus à forte valeur ajoutée. La Tribune obtient une hausse de 20% à 25% d’audience chaque année. Selon Pierre Merlet : « le contenu appelle l’audience ». C’est une véritable plus value qui va permettre au titre d’accroître son audience.Par exemple, ils ont décidé de mettre fin à l’hebdomadaire pour adopter une formule « print » bimensuelle, pour que les journalistes se concentrent davantage sur le numérique. En France, le numérique joue un rôle majeur dans les ventes d’aujourd’hui car des millions d’internautes sont connectés tous les jours.
Pendant le confinement le numérique s’est révélé à son apogée en ce qui concerne les visites. Cette période de confinement a posé problème au niveau de la communication car le travail en distanciel, ne colle pas au fonctionnement type start-up de « La Tribune ». La rédaction étant composée de cinquante journalistes, ils ont toujours eu l’habitude de discuter et de partager beaucoup de choses directement entre eux. Ce manque de communication a rendu leur travail encore plus compliqué et Pierre Merlet de conclure « Je n’ai jamais autant travaillé que pendant le confinement. »
Groupe 11
La chaîne de télévision Vià Occitanie a pour vocation de couvrir tous les événements de la vie locale afin de mettre en avant les habitants de la région. Mais comment procède-t-elle pour être totalement ancrée au sein de son territoire ?
Sophie Arutunian, aujourd’hui responsable pédagogique de la filière journalisme du campus ISCPA, a débuté sa carrière en tant que journaliste, métier qu’elle a exercé pendant près de 10 ans, notamment dans la presse économique.
Journaliste animée par des thématiques telles que la place des femmes dans les médias ou l’esprit critique des jeunes, Sophie Arutunian confie vouloir se saisir de son nouveau poste de responsable pédagogique à l’ISCPA pour transmettre aux étudiants des valeurs chères à ses yeux.
Dans le cadre du « Tour-e-media », une rencontre a été organisée avec Sophie ARUTUNIAN, responsable pédagogique de l’ISCPA. Elle évoque ses engagements vis-à-vis du féminisme et son désir de transmettre son savoir-faire que ce soit au niveau professionnel ou associatif.
Après un parcours professionnel diversifié dans le journalisme, Sophie Arutunian partage son expérience en tant que journaliste économique. Impliquée dans plusieurs projets autour du féminisme et de l’éducation aux médias, elle revient également sur les engagements qui lui tiennent à cœur.
Dans un entretien, Marie Zamaroczy, directrice de clientèle pour le groupe M6 et RTL, nous dévoile les conséquences de la crise sanitaire au sein des studios RTL2 et Fun Radio.