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A2PRL, ou « l’usine de l’information »

A2PRL, ou « l’usine de l’information »

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Chaque jour, les 200 journalistes qui composent la rédaction de A2PRL réalisent environ 1.800 flashs d’informations pour leurs quelques 170 clients. Ces radios, la plupart du temps locales ou régionales, décident d’externaliser ce service par manque de temps, de locaux ou de moyens, et c’est à l’agence toulousaine de satisfaire leurs demandes dans les temps impartis.

Il est environ 15h dans les locaux de l’A2PRL, l’entreprise que certains puristes appellent encore « AFP audio ». Tous les journalistes sont regroupés pour la conférence de rédaction. Le programme est chargé, comme toujours. Ils vont devoir, dans l’heure, écrire chacun environ cinq flashs info différents, tant dans le contenu que dans le ton adopté. Car chaque radio a des demandes qui lui sont propres, en fonction du public qu’elle vise ou du contenu qu’elle souhaite diffuser.

Mais le travail ne réside pas seulement dans l’écriture. Car chaque journaliste est aussi une voix de radio. Une fois leur travail terminé, les journalistes envoient leurs flashs à un serveur intelligent, qui va les redistribuer sur des prompteurs, à l’intérieur de salles d’enregistrement. À ce niveau, en l’espace d’une quinzaine de minutes, ils doivent enregistrer leurs cinq flashs, pour qu’ils soient immédiatement transférés aux clients. La moindre erreur de diction peut leur faire perdre énormément de temps.

La fabrique de radios « clé en main »

Mais A2PRL ne se contente pas de proposer du contenu personnalisé à ses clients. En cas de demande, elle a la possibilité de créer ce que Sylvain Athiel, le directeur de l’entreprise, appelle une « radio clé en main ». Le client choisit son type de musique, les informations qu’il souhaite diffuser ou les messages à faire passer aux employés, et les équipes de la rédaction s’occupent de A à Z de la conception. Entre autres exemples, l’A2PRL s’est déjà occupé de Radio Mousquetaires (la radio d’Intermarché) ou Carglass Radio.

« Je résumerai notre entreprise en un mot : la rigueur », explique Sylvain Athiel. Dans sa rédaction, tout se joue au millimètre et à la seconde. Les journalistes sont rapides, efficaces et, chose importante, ils n’ont aucun accent. Cette qualité a permis à l’entreprise de se hisser comme le leader de son marché.

Il y a quelques années pourtant, Sylvain Athiel a eu peur que l’ascension de la vidéo ne signe le déclin de la radio. Il s’était trompé, et a d’ailleurs ouvert une nouvelle agence à Paris depuis. Il est d’ailleurs rassuré que les entreprises géantes comme Apple, Google ou Amazon aient basé leur avenir sur l’audio, avec les nouveaux assistants vocaux HomePod, Google Home et Alexa.

Retrouvez notre visite en vidéo :

Thomas ANDRÉ

Énora Le LOUARN

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

Kessy SOULAT

Mathis FESSARD

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L’homme de l’ombre des médias du Tef’

L’homme de l’ombre des médias du Tef’

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En visite au Stadium Municipal de Toulouse, rencontre avec Martin Truchot-Prat, le responsable communication et presse du TFC. Le Nantais d’origine, formé au management du sport, a présenter le rôle qu’il occupe depuis 6 ans au sein du club de la ville rose.

Martin est l’un des nombreux maillons forts de la grande famille du TéFéCé. Son rôle est d’établir la politique globale de l’entreprise afin que les médias parlent le plus souvent du club et en bien si possible !  Martin s’occupe de toutes les sollicitations médiatiques que reçoivent ses joueurs, qu’elles soient pour la presse écrite, la radio ou la télévision. Aucune de celles-ci ne se feront sans son accord. De même, il essaie d’établir chaque semaine un calendrier des sorties dans la presse en fonction de la forme physique des joueurs.C’est lui qui va organiser toutes les interview prévues. Martin est également la liaison entre les médias et les joueurs de la ville rose. Avec son collègue journaliste au sein du club Julien Brunon, ils doivent promouvoir la marque TFC dans son intégralité et non pas juste l’équipe première à travers des sujets qu’ils choisissent notamment sur la fondation TFC ou le centre de formation du club. Et donc essayer de rendre la marque la plus cohérente possible par rapport aux objectifs fixés en début de saison.

Sa responsabilité : si un joueur est amené à répondre à un média, et qu’il commence à dire des choses qu’il ne faut pas dire, le problème viendra aux oreilles de Martin et non pas à celles des joueurs  Pour éviter ces problèmes, Julien Brunon et Martin Truchot-Prat mettent en place des formations pour les jeunes joueurs afin de leur permettre de bien répondre aux différentes sollicitations médiatiques. Le dernier exemple en date est celui du jeune Mathieu Gonçalves, 18 ans,qui pour sa première en Ligue 1 au Parc des Princes, n’a pas été au niveau attendu comme d’ailleurs l’équipe entière avec un score large en leur défaveur (4-0).

« Je me rends dans la zone mixte du Parc où beaucoup de journalistes me demandent de parler avec Gonçalves. C’est son premier match, il n’a jamais encore été confronté à la presse, en plus de très mal vivre je pense le fait d’avoir marqué contre son camp. Imaginez-vous à sa place, le mec a mis un but contre son camp, il lit les réseaux sociaux, c’est dur. Donc je vais voir le joueur, on en discute un peu, et à la fin on a pris la décision ensemble d’aller voir les médias. Il a réussi à avoir un discours que vous entendez tous les dimanches, mais certains le disent mieux que les autres. Il a réussi à affronter les médias, et aujourd’hui tout le monde dit : « le gamin il a fait une bourde, mais il s’assume ». Et ça c’est super important. On a réussi à lui donner confiance et il a réussi à affronter ça. »

« Moi mon rôle c’est de filtrer les relations entre les médias et les joueurs. »

Chaque jour est différent pour lui, et ce métier imprévisible ne lui permet pas de se projeter sur ce qu’il fera le lendemain. Chaque jour, vers 10h, il commence à accueillir les journalistes pendant l’entraînement. Il fait beaucoup de relationnel, discute avec eux. Il n’assiste pas aux entraînements, contrairement à son collègue journaliste Julien Brunon, sauf lorsque celui-ci est ouvert aux médias, mais intervient à la fin pour encourager les joueurs à se rendre aux différentes sollicitations médiatiques.

Les jours de matchs sont eux réglés comme des horloges, et c’est lui qui, aux mi-temps et fins de matchs, va chercher les joueurs qui se rendent en interview. « Le journaliste nous demande souvent un joueur, souvent celui qui a réalisé une mauvaise performance. Moi mon rôle c’est de filtrer les relations entre les médias et les joueurs, le club. Donc c’est important de connaître les joueurs. Il y a des joueurs qui aiment bien les médias, d’autres moins. C’est à nous de connaître les comportements et de nous adapter »

Groupe 2 – Sarah- Carla-Romain-Eliot-Yohan

Catégories Media
Pauline Guerguil, ancienne élève de l’ISCPA

Pauline Guerguil, ancienne élève de l’ISCPA

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Pauline est actuellement journaliste à l’agence de presse pour les radios locales (A2PRL), spécialiste des contenus audios à destination de la radio, appartenant au groupe Mediameeting, une start-up toulousaine.

Passionnée de foot, elle possède un bachelor en journalisme qu’elle a obtenu dans notre chère école de l’ISCPA Toulouse. Pauline ne s’est pas arrêtée en si bon chemin puisqu’elle a également un master de journaliste sportif décroché à l’Institut Européen de Journalisme à Paris. La jeune femme travaille ici depuis 2 ans et demi à la suite d’un stage effectué en seconde année au sein de l’école. L’occasion pour elle de nous rappeler que les stages sont très formateurs et peuvent avoir un rôle très important à jouer dans nos futures carrières. Le stage a pu lui montrer les réelles attentes du monde professionnel à savoir le rythme de travail très dense et compliqué à gérer par rapport aux différents horaires qui changent de manière radicale. En effet à l’agence les journalistes peuvent travailler à partir de cinq heures du matin jusqu’à midi, on les appelle les matinaliers ou l’après-midi de midi à dix-neuf heures. Mais la radio ce n’est pas que parler nous prévient la jeune toulousaine, il y a une partie écriture et rédactionnelle très importante pour confectionner les flashs.

«Elle en avait le talent, et surtout la volonté»

Ces mots sortis de la bouche de Sylvain Thiel, directeur de l’agence de presse pour les radios locales, ne peuvent que faire plaisir à Pauline. Mais tout ne lui a pas été servi sur un plateau d’argent. En arrivant, elle avait malgré elle, ce fameux accent toulousain cher aux habitants de la ville rose mais qui peut-être un léger handicap quand on sait que les journalistes de l’agence doivent communiquer pour un public issu de toute la France. Aujourd’hui avec «l’industrialisation des flashs infos», Pauline et sa trentaine de collègue doivent réaliser, fournir et communiquer. Pour Pauline c’est souvent le matin, elle regarde les radios qu’elle doit faire et le nombre de flashs. S’en suit la recherche des informations locales, puis nationale et enfin sportive. Tout cela à vitesse grand V et à recommencer jusqu’à la fin de son service.

Groupe 2 – Sarah Caron – Yohan Lemaire – Carla Tarantino – Romain Agard – Elioth Salmon

Catégories Agence
L’Agence Anouk Déqué à la pointe de l’évolution technologique

L’Agence Anouk Déqué à la pointe de l’évolution technologique

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Depuis la création de l’agence Anouk Déqué Communication en 1989, la dirigeante ayant attribué son nom à la société ne cesse d’adapter ses services aux nouveaux outils de la communication. De la création de la Social Room au développement de l’extranet, l’entreprise suit l’évolution technologique.

Avec l’arrivée d’internet, la façon de communiquer a beaucoup évolué. Autrefois le rapport entre les communicants et les médias était plutôt de nature physique « On était plus dans la vie réelle » nous dit Marie Charrière, directrice associée. Cependant, grâce à l’évolution du digital, ce métier est devenu de plus en plus riche.
L’évolution technologique dans l’agence s’est faite progressivement, notamment avec les organismes dits « pige presse » qui ne géraient pas suffisamment bien le côté régional et le côté local. « Anouk a développé un outil extranet. Celui-ci permet d’agrémenter les versions PDF des articles ou les reportages avec des scripts télés ou radios qu’ils envoient à leurs clients sous formes de revues de presse quotidienne » explique Marie Charrière. Actuellement, cette technologie est une exclusivité de l’agence.

La relation entre l’agence et ses clients.

Agence spécialisée dans les Relations Presses et Publics, cette dernière ne cherche pas à faire de publicité. Entièrement dédiée à l’influence, le but premier est d’aider les entreprises à se développer en choisissant le moyen le plus adapté à leur besoin.
Cependant, la façon de communiquer avec ses clients dépend du secteur. S’adresser à un journaliste, à une entreprise ou encore à un influenceur ne se fera pas de la même manière. Tout dépendra de leurs attentes en terme de développement.
Disposant d’un riche carnet d’adresses passant par les banques, la gastronomie, l’industrie, l’immobilier ou encore l’évènementiel, l’agence ne cesse de multiplier ses contacts au niveau national mais aussi en Europe.
L’avantage avec les métiers du secteur de la communication nous dit Anouk Déqué, c’est qu’on n’a « pas le temps de s’ennuyer, c’est un métier qui varie sans cesse et qui permet de nous  renouveler ».

Groupe 1 : Emma, Bastien, Eléonore, Floriane, Manon, Théo

Catégories Media
Sylvain Athiel et la relation client

Sylvain Athiel et la relation client

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Rencontre toulousaine avec Sylvain Athiel, clé de voûte de la relation client du groupe Mediameeting. Il est également en charge de la direction de l’A2PRL (agence de presse pour les radios locales).

Au sein du groupe Mediameeting, Sylvain Athiel occupe le rôle primordial de la relation avec le client. Il s’occupe également du lien entre les requêtes de ce dernier et les différentes étapes de la création de la future radio. Il les accueille dans les locaux de la société et les accompagne dans la création de radios d’entreprises. Celles ci sont destinées uniquement aux salariés et aux clients de ces sociétés. Par exemple, le groupe Quick/Burger King s’est adressé à Mediameeting pour créer sa radio privée diffusée dans les 400 restaurants de la marque. Il propose à ses clients la possibilité de personnaliser entièrement leurs radios: présence de flashs info, style musical, chroniques spéciales… Pour Sylvain Athié, élaborer une relation de proximité et de confiance avec ses client est primordial. Il garantit que les radios d’entreprises « sont crées à Toulouse, par Mediameeting ».

Un acteur engagé dans tous les aspects de la création d’une radio

Une fois la radio créée, il dirige les entreprises vers l’agence de presse dont il est le directeur général: l’A2PRL. Cette agence de presse dédiée à la radio (équivalent de l’AFP pour les journaux) est en charge de la rédaction et de l’enregistrement de flashs d’information élaborés à partir de la presse du jour. En plus de radios personnalisées au goût du client, Mediameeting est en mesure de mettre au point de nouveaux émetteurs radio notamment grâce a son pôle recherche et développement, « une fierté » pour Sylvain Athiel. Ces innovations sont essentielles car les espaces dans lesquels les radios seront diffusées peuvent être très différents.

G1-Manon,Théo, Bastien, Emma, Floriane et Eléonore

Catégories Media
Mediameeting : développer les ondes radios

Mediameeting : développer les ondes radios

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Il y a une dizaine d’années, la start-up toulousaine Mediameeting innove et développe la radio d’entreprise. Cela permet de créer sur des ondes spéciales, une radio propre à de grandes entreprises comme Intermarché ou Carglass. Mediameeting est également fondatrice de radios locales comme Toulouse FM ou Gold à Bordeaux.

Le 1er septembre 2008, Mediameeting lance la radio Toulouse FM. Elle crée l’agence de presse A2PRL (Agence de Presse Pour les Radios Locales). Cette dernière lui permet de recueillir les informations locales. « Nous avons des journalistes qui nous informent en temps réel » déclare Sylvain Athiel, directeur du pôle broadcast de Toulouse FM. A2PRL travaille avec 200 radios régionales en France mais aussi en Suisse, en Belgique et Outre-Mer. Leur travail consiste à enregistrer des flashs infos dans le but de les transmettre aux radios pour qu’elles les diffusent. Pour Sylvain Athiel, c’est une « usine, dans le bon sens du terme » puisqu’elle produit environ 1850 flashs infos par jour. Pauline Guerguil, journaliste pour A2PRL, explique qu’elle réalise entre 15 et 25 flashs infos durant sa journée, ce qui correspond à 3 par heure.

La radio d’entreprise, une création de Mediameeting

Mediameeting  collabore avec des entreprises comme Intermarché ou Burgerking pour créer leur radio. Ces radios personnalisées sont construites « avec tous les vrais ingrédients d’une radio classique ». Notamment des flashs infos, des offres d’emploi ou de la musique. Elles sont destinées aux salariés, « par exemple, entre 7h et 9h, on ne parle qu’aux employés » dit Sylvain Athiel. Ces radios participent à l’information et à la bonne humeur des employés, « elles cultivent leurs intérêts ». Ces radios sont imaginées par les équipes de Développement. Elles doivent correspondre à un acabit particulier « par exemple, pour Carglass, il fallait une radio pouvant résister aux objets lourds, avec des boutons facilement accessibles… ».

G1- Emma –Théo – Eléonore– Bastien –Manon- Floriane

Catégories Media
Pauline Guerguil : de la radio de l’école à la radio régionale

Pauline Guerguil : de la radio de l’école à la radio régionale

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Rencontre avec Pauline Guerguil, journaliste chez A2PRL et ancienne étudiante à l’ISCPA de Toulouse. Son parcours scolaire ainsi que professionnel font d’elle une source d’inspiration pour tous les aspirants journaliste sportif et plus particulièrement pour ceux dont le cœur bat pour la radio.

Titulaire d’ une licence de philosophie obtenue à l’institut catholique de Toulouse  en 2014 Pauline Guerguil intègre la même année l’ISCPA, pour un bachelor journalisme de 3 ans qu’elle termine en 2017. Passionnée de football et de radio, elle a pour projet de travailler comme journaliste sportif, à la radio évidemment.

Entre temps , le 21 mars 2015 elle remporte l’élection de miss TFC et a alors la chance de représenter le club pendant 1 an et d’être ainsi témoin de nombreuses rencontres sportives. Comme elle l’explique dans une interview donnée au site officiel du TFC cette expérience a été remplie de belles rencontres et d’émotions. Durant ses études elle effectuera un stage à A2PRL qui ne fera que confirmer sa vocation de journaliste radio. Elle complète donc ses études par un master en journalisme sportif qu’elle effectue à l’institut Européen de Journalisme et qu’elle obtient avec succès en 2018.

Quand la passion devient une carrière

Après ses études, Pauline commence à travailler en à A2PRL où elle avait effectué son stage. Elle devient donc journaliste radio et commence sa carrière dans une équipe dynamique qui lui permet de vivre sa passion. En effet, fan de foot, elle est souvent chargée de rédiger des flashs sur le sujet. Cependant le métier n’est pas facile puisqu’elle doit rédiger entre 15 et 25 flashs par jour et… corriger son accent toulousain !

Les flashs sont des posts de 2 minutes qu’elle rédige avant de les enregistrer dans une des salles radio des locaux de A2PRL.Ils seront ensuite envoyés à différentes radios dans toute la France, d’où l’obligation de corriger son accent. Si l’on fait bien les calculs, cela revient à rédiger entre 3 et 5 flashs par heure et à les enregistrer dans le même temps Ses journées sont donc rythmées par les conférences de rédaction (2 par jour, à 10h et 15h) et les flashs qu’elle doit enregistrer quotidiennement. Quoiqu’il arrive, 3 minutes avant la fin d’une heure, le logiciel de la radio enregistre le flash et l’envoie à toutes les radios. La marge d’erreur est donc très limitée. Pour autant, Pauline Guerguil est épanouie dans son métier et ne perd pas une occasion de transmettre sa passion en échangeant avec les étudiants de son ancienne école en visite sur son lieu de travail.

Pauline replonge alors dans ses années étudiantes . L’ISCPA a été pour elle une très belle expérience qui lui a permis de toucher à tous les métiers du journalisme sans oublier le stage à A2PRL qui lui a ouvert les portes de l’entreprise. Pauline illustre très bien la réussite des étudiants de l’ISCPA et incarne parfaitement l’épanouissement que ressentent les personnes travaillant au sein de A2PRL. Car le métier de journaliste comme celui de communiquant est avant tout une affaire de passion.

Groupe 4 : Léa – Jill – Eliot – Marco – Elisa – Emeline

Catégories Annonceur
Journalisme et communication, relation indispensable au TFC

Journalisme et communication, relation indispensable au TFC

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Après la visite du Stadium, enceinte du Toulouse Football Club présidé par Olivier Sadran, rencontre et échange avec deux personnes importantes présentes au cœur du TFC : Martin Truchot-Prat, responsable communication et presse et Julien Brunon, journaliste reporter d’images au sein du club.  Malgré la différence de leur travail, c’est l’union des responsabilités de chacun qui va permettre une jonction parfaite entre les joueurs, le club et les médias.

La coordination de ces deux professionnels est en effet indispensable. Ce sont les deux seuls qui traitent directement avec les joueurs afin de gérer leur relation avec le monde médiatique. Martin Truchot-Prat et Julien Brunon conseillent et accompagnent les joueurs dans leurs rapports aux médias, ce qui crée une relation de confiance entre eux. Dans un même temps, ils apportent à la presse ce dont elle a besoin : interview des joueurs les plus en forme, afin que le club reste visible aux yeux du grand public et répondent aux attentes de la sphère footballistique (interviews, reportage, article, etc…) tout en gardant une bonne relation avec les médias (Cf L’EQUIPE et le PSG en 2018). Ils sont ainsi la voix médiatique du club.

De ce fait, Martin Truchot-Prat et Julien Brunon veillent à tout ce qu’il se dit et à tout ce qui est posté, dans un cadre de protection des joueurs, sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook,…). Ainsi, Julien et Martin vont mettre en avant les joueurs du moment – joueur ayant marqué lors du dernier match par exemple. Dans le même temps, ils vont préserver les joueurs qui sont dans une mauvaise période parce que blessés ou auteurs de prestations décevantes …

Deux métiers complémentaires… mais différents

En tant que journaliste reporter d’images, Julien Brunon s’occupe du site internet où il communique les informations officielles du club. Il s’agit pour lui de satisfaire le public et les supporters du club en répondant en toute transparence aux questions qu’ils se posent. En effet, les journalistes du TFC détiennent les véritables informations, fiables et surtout officielles du club. Cependant, des journalistes se présentent fréquemment pour obtenir des informations par rapport aux joueurs et aux nouveautés du club : ils sont alors accueillis par Martin Truchot-Prat.

De plus, le responsable de la communication conduit les joueurs jusqu’aux interviews, il les aiguille au maximum pour les aider à affronter les médias avec tact. Très présent auprès des joueurs, Martin Truchot-Prat organise  à leur attention plusieurs événements comme des shooting photos par exemple. Pour les joueurs, Martin Truchot-Prat est un repère essentiel dans leur vie professionnelle.

 

Groupe 2 : Carla Tarantino, Sarah Caron, Romain Agard, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

Catégories Media
Mediameeting, groupe multitâches

Mediameeting, groupe multitâches

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Dans le monde de la radio d’entreprise française, il est le maître.  Sylvain Athiel, directeur d’A2PRL (Agence de Presse Pour les Radios Locales) présente son expérience. Mediameeting, c’est six radios dont Toulouse FM et Gold FM, une agence de presse (A2PRL) qui travaille pour tout le territoire francophone (Suisse, Belgique, DOM-TOM,…) et plus de 200 salariés basés à Toulouse. Une agence est aussi installée à Paris. C’est ainsi la première « Voice Business Company » française.

Le groupe crée des radios privées pour des entreprises : les chefs de projet sont au contact des gros clients : Carglass (Radio Carglass), Burger King ou encore Intermarché. Nous avons pu voir que les radios étaient destinées aux salariés (de sept heures à neuf heures par exemple), dans une optique de management, mais aussi pour les clients une fois qu’ils ont accès à l’entreprise (promo, jeux, musiques…).

En 2014, Médiameeting a encore évolué en achetant l’agence de presse A2PRL, ancienne AFP audio.Elle conçoit et réalise des flashs qui sont vendus à d’autres radios. C’est ainsi que 1850 flashs sont envoyés, soit plusieurs flashs par jour par journalistes, non pas seulement à Toulouse FM mais aussi à 160 autres radios.. L’agence s’adapte aux pôles locaux (L’alsace par exemple) mais aussi au pôle national. Un travail qui ne s’arrête jamais : « sept jours sur sept, 24 heures sur 24 », nous confie son directeur Sylvain Athiel.

Toulouse FM, leur poids lourd

Radio incontestable de la région toulousaine, elle est apparue en septembre 2008 sous l’égide de Médiameeting. C’est la plus grosse radio que possède ce groupe, elle qui est la voix de la ville rose depuis maintenant dix ans. En effet, Toulouse FM est en croissance constante à tous niveaux et notamment pour son effectif  qui compte aujourd’hui 200 collaborateurs. C’est une radio indépendante et bien évidemment commerciale avec des ventes de publicités.

 

Groupe 2 : Carla Tarantino, Sarah Caron, Romain Agard, Yohan Lemaire, Elioth Salmon