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Toulouse FM répond à nos questions sur sa publicité

Toulouse FM répond à nos questions sur sa publicité

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Comment Toulouse FM gère t-elle sa publicité et pourquoi est-elle une priorité ? 

Intervenant : Jean Marc POUGET chef de la publicité de Toulouse FM s’explique sur ce sujet. 

Quels sont les secteurs qui font le plus appel à vos services de publicité ?
« Nous avons deux secteurs qui communiquent, le plus ce sont l’automobile et la grande distribution. Pour l’automobile généralement c’est pour annoncer la sortie d’un véhicule ou même des portes ouvertes. Pour ce qui est de la grande distribution on retrouve généralement des publicités faisant la promotion des prix d’appels. »

Comment se passe votre démarche afin de trouver des annonceurs ?

« Tout d’abord on contacte toutes sortes d’entreprises. Par exemple, si l’on entend que l’ISCPA fait sa publicité sur une autre radio concurrente, nous allons les contacter pour leur proposer d’acheter une campagne publicitaire sur notre radio. Bien sûr ceci ne reste qu’un exemple.
Nous restons une radio locale, quelquefois il peut nous arriver que ce soient les entreprises qui nous appellent. »

Sponsorisez vous de grands évènements locaux ?

« Bien sûr cela nous arrive ! L’année dernière nous étions sponsor du Rose Festival. Nous faisions gagner des entrées à l’antenne à nos auditeurs. Et durant le festival, Toulouse FM était visible sur les panneaux indicateurs et sur les fonds de scène du festival. Ce genre d’événement sont une belle opportunité pour nous d’être visible. »

Pouvons nous considérer la publicité comme un élément majeur au sein de la radio ?

« Oui évidemment c’est la principale source de revenus pour notre radio, sans cela nous ne serions pas là (ahah). Plus sérieusement, la publicité est une priorité absolue car nous avons un cahier des charges à respecter et aussi évident que cela puisse paraitre chaque pub diffusée doit correspondre avec le contrat à respecter les entreprises. »

Toute ces réponses montrent donc l’importance de la publicité au sein de la radio. Sachant que Toulouse FM est la première radio toulousaine qui peut être écouté dans un rayon de 40km autour de Toulouse.

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LA DÉPÊCHE: LA FIN DU JOURNAL PAPIER ? G1 TOULOUSE

LA DÉPÊCHE: LA FIN DU JOURNAL PAPIER ? G1 TOULOUSE

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La Dépêche crée en 1870, est l‘un des plus anciens journaux de la presse quotidienne régionale. Le journal imprime 13 éditions chaque jour et les fait parvenir à ces 70 000 lecteurs mais ce lectorat est largement dépassé par les 15 millions d’audiences web du média. 

L’actualité régionale et locale est le cœur de la ligne éditoriale de La Dépêche. Mais pour toucher un lectorat plus large les sujets nationaux et internationaux sont traités. Le média cible principalement des lecteurs installés dans la vie de plus de 40 ans plutôt que les jeunes qui ont plus le réflexe de s’informer sur le Web.

Afin d’attirer ces lecteurs du papier, les équipes de la Dépêche ont ouvert le chantier de la transformation de leurs rotatives et ont investi 1 à 2 millions d’euros pour les renouveler. Cela leur permet ainsi, depuis une semaine, d’imprimer  entièrement en couleur pour la première fois depuis sa création, sans augmenter le prix du quotidien qui est l’un des moins chers de France à 1,20 euros l’unité.

La Dépêche a également mis en place un système d’envoi de courrier; celui de venir directement déposer le journal chaque jour dans les boîtes aux lettres de ces lecteurs abonnés sans crainte de retard ou de non réception.

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G1 ITW- LA DÉPÊCHE EN PERTE DE VITESSE ? TOULOUSE

G1 ITW- LA DÉPÊCHE EN PERTE DE VITESSE ? TOULOUSE

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La dépêche est la plus ancienne presse quotidienne régionale lancée en 1870 à l’instar du Figaro. Lors de notre visite à la rédaction de Toulouse, nous avons pu interroger Bernard Philippe, journaliste et secrétaire général de rédaction de la Dépêche, à propos de la stratégie qu’emploie ce média papier afin de perdurer. 

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La dépêche, vers un nouveau lectorat ? G2 ARTICLE

La dépêche, vers un nouveau lectorat ? G2 ARTICLE

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La dépêche, vers un nouveau lectorat ?

Le deuxième journal de France en termes d’audience numérique a su faire peau neuve depuis 2019. Même si le papier fait vivre, l’audience numérique se développe depuis quelques années et a su s’installer dans le quotidien.

Crédit photo / Meïssa DJAOUTI

L’avenir de la presse écrite se trouve dans le numérique, d’après Philippe Bernard, face à l’augmentation du papier et aux autres coûts. Pourtant, une problématique se pose, le lecteur moyen de La Dépêche est âgé de soixante-quinze ans et de cette manière moins sensible à la presse numérique.

Il y a l’urgence de remplacer la presse papier par la presse numérique, des stratégies pour cibler des lecteurs plus jeunes sont mis en place. Cependant, les plus jeunes ne sont pas le lectorat visé en priorité même s’ils ne sont pas écartés de l’agenda.

« Un jour ou l’autre, il n’y aura plus de journaux papiers, mais malgré tout le papier ne va pas disparaître demain » Philippe Bernard, secrétaire général de la rédaction à la Dépêche lors de notre visite le 25/09

Les éditions papier demeure la première source de revenu de la presse régionale comme pour la dépêche du midi et ils ne veulent pas abandonner leur lectorat papier. La crise du COVID-19 a fragilisé la presse papier, mais a rendu la presse numérique plus accessible, entre octobre 2019 et octobre 2020 le nombre de lecteurs sur le site de la dépêche a connu une augmentation de 138%.

De plus, abonnement numérique au prix de dix-neuf euros par mois a été mise en place, le prix est pour l’instant fixe face à l’inflation galopante.

ISCPA Toulouse – G2 William TE WIERIK, Theo LOIZON, Meïssa DJAOUTI, Léna LAVIT-TERRAL, Clémence RIOT, Flavie DURO FRANCO

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G2 ITW – L’avenir de La Dépêche, raconté par Philippe Bernard

G2 ITW – L’avenir de La Dépêche, raconté par Philippe Bernard

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Rencontre avec Philippe BERNARD, secrétaire général de la rédaction de la Dépêche du Midi, l’une des presses quotidiennes régionales les plus importantes de notre pays, afin d’en savoir plus sur l’avenir du groupe. 

Quels sont les principaux objectifs de la Dépêche ? 

“Notre objectif principal est de couvrir toute l’Occitanie pour cela nous avons plusieurs types de journalistes et pour la plupart ils sont assez polyvalent, sportifs, spécialistes des fait divers, de la culture et du spectacle, ou encore économie et santé. De plus nous avons aussi à peu près 1300 correspondants locaux de presse, dans les communes et les cantons, ce ne sont pas de vrais journalistes mais ils nous permettent d’avoir des informations dans leur localité.

Est-ce que pour vous, conquérir la jeune génération en fait partie ?

“Non, on ne cherche pas à cibler les jeunes car nous savons que ceux ne sont pas nos principaux lecteurs. Nous savons qu’actuellement le public qu’il faut qu’on essaie de sensibiliser ce sont plutôt les personnes entre 45 et 50 ans. Car actuellement l’âge moyen de notre public est de 75 ans.

Quelles sont vos perspectives quant à l’avenir de la Dépêche ?

“Actuellement, les temps sont durs dans la presse. Le coût du papier est plus cher et donc sa diffusion baisse, 1 jour il n’y aura plus de papiers, les kiosques disparaissent également. Notre nombre d’abonnés à l’heure actuelle est de 70 000 pour le journal papier et 15 000 pour le numérique, 70% de notre diffusion s’effectue grâce à eux. À long terme, notre objectif est de transformer les abonnements presse papier en abonnements presse numérique. Je pense que l’avenir de la presse écrite est la presse numérique, c’est notre seul espoir. 

Quels sont vos prochains axes de développement, les réseaux sociaux en font-ils partie ? 

“Non les réseaux sociaux ne sont pas un axe de développement pour nous car notre audience ne les utilise pas. Cependant, nous avons remarqué que les personnes qui arrivent sur nos articles c’est souvent grâce à Google Actu et non pas grâce aux réseaux sociaux.” 

ISCPA Toulouse – G2 – William TE WIERIK, Théo LOIZON, Meïssa DJAOUTI, Léna LAVIT-TERRAL, Clémence RIOT, Flavie DURO-FRANCO

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La Poste, bien plus que la simple distribution de courriers

La Poste, bien plus que la simple distribution de courriers

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La Poste est aujourd’hui bien plus qu’un opérateur de services postaux et s’est transformée avec l’avancée du digital. 

La société française La Poste, actuellement sous la direction de Philippe Wahl, descend des relais de poste qu’avait créé en son temps Louis XI pour communiquer avec ses vassaux. Au fil des siècles, le service postal a bien évolué, et en 1991, La Poste est devenue une entreprise publique autonome. 

Une société qui a su se réinventer 

Dans les années 1990-2000, avec l’émergence du digital et l’ouverture à la concurrence, La Poste a dû faire face à une baisse importante du volume de courrier et de fréquentation de ses guichets physiques, entraînant ainsi la fermeture de nombreux bureaux. La société a dû en effet s’adapter aux besoins et aux défis actuels avec un nouveau plan stratégique lancé en 2014. La Poste s’est donc transformée et a diversifié ses activités, principalement dans les quatre secteurs suivants : service courrier-colis, grand public numérique, services financiers et express. En outre, depuis quelques années, La Poste propose des services innovants et utiles tels que le portage de repas, de médicaments, de courses alimentaires, mais aussi des cours pour le code de la route, des veilles pour les personnes âgées, du recyclage… de quoi en faire une société au service de tous, qui participe au bien de l’ensemble de la société. 

Un groupe d’envergure nationale, mais pas que… 

Si La Poste est aujourd’hui dans les classements des cinq plus grands acteurs médias France, c’est aussi l’un de ses plus grands employeurs, avec près de 238 000 collaborateurs. La société qui est le premier acteur européen dans le colis express, s’est également développée hors de l’Europe notamment via le e-commerce ainsi que par le développement de hubs et de dépôts dans le monde. Ce dernier est désormais présent dans plus de 50 pays sur les cinq continents. Malgré certains facteurs géopolitiques ou économiques actuels complexes, La Poste a vu en 2022 son chiffre d’affaires augmenter et a réalisé plus de 44% de celui-ci à l’international. 

Anouk Primault-Charlety, Emilie de Jaham, Stella Dalla Giovanna,  Eva Jacinto

 

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LE CRAYON, UN MEDIA FAIT PAR LES JEUNES POUR LES JEUNES

LE CRAYON, UN MEDIA FAIT PAR LES JEUNES POUR LES JEUNES

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Le Crayon Média a été fondé en janvier 2020 par quatre jeunes entrepreneurs. Leur but : créer du contenu en ligne sur des sujets politiques et de société à destination d’un public jeune.

Un média non traditionnel

Le groupe Le Crayon est composé de trois pôles : le Surligneur qui est une agence de relations presse, le Pinceau, une agence spécialisée dans la création de contenu sur les réseaux sociaux et le Crayon, un média digital. Tous, ont un même but : rester “FOCUS”, ce qui signifie « Follow One Course Until Success ». Une devise qui décrit l’état d’esprit et la manière de travailler. Le Crayon utilise différentes plateformes, étant présent principalement sur YouTube, mais aussi sur Instagram et TikTok. YouTube leur a même décerné un trophée argenté pour avoir dépassé le seuil des 100 000 abonnés.

Photo Antonin le Crayon Média

Sur cette plateforme, le Crayon s’engage à créer de longues vidéos qui peuvent parfois durer plus d’une heure où se concentrent des sujets de société précis, tels que le féminisme, les violences policières, les JO 2024, l’immigration et pleins d’autres encore. Sont également utilisés Instagram et TikTok pour publier du contenu sur l’actualité, chaque jour sous forme de petites vidéos de maximum trois minutes, ce qui permet d’être plus impactant et d’avoir plus de retours. De nos jours, le jeune public regarde des vidéos de courtes durées qui vont à l’essentiel, c’est pourquoi le média cherche à développer ces réseaux sociaux en plus de YouTube.

En quête d’innovation

Le Crayon est un média en développement qui essaie de se démarquer des autres et donc de créer différents formats de vidéos. Chaque lundi matin, toute l’équipe se réunit pour discuter des futurs projets et de nouvelles idées. Par exemple, elle crée des concepts comme des débats en invitant des politiciens à l’image de l’ancien ministre des Transports, Jean Baptiste Djebbari, des acteurs, des humoristes ainsi que des influenceurs comme Tibo InShape. Le but est de récolter diverses opinions de plusieurs personnalités publiques en publiant des débats, interviews, enquêtes et autres concepts afin de partager plusieurs façons de penser.
Le Crayon a déjà beaucoup de succès, plus de 500 000 abonnés et 40 millions de vues par mois sur ses différents supports, mais cherche encore à grandir. Il se démarque des médias traditionnels par les plateformes utilisées et la volonté de réintéresser les gens à l’information.

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LE ZÉNITH DE PARIS, LA SALLE DERRIÈRE LE MYTHE

LE ZÉNITH DE PARIS, LA SALLE DERRIÈRE LE MYTHE

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De la musique à l’humour en passant par l’art, des spectacles pour tout le monde sont proposés au Zénith de Paris.

Photo Zénith intérieur

Un succès sans pareil

Le Zénith est né à l’initiative du ministère de la Culture du début des années 1980. Le ministre emblématique Jack Lang, avait pour projet de créer une salle de concert pouvant accueillir un large public, remplaçant le pavillon de Paris. À l’origine construit pour être éphémère, le Zénith de Paris ouvre ses portes en 1984 pour finalement ne jamais les refermer. La salle, premièrement conçue pour accueillir des concerts, récolte un tel succès qu’elle continue encore aujourd’hui de recevoir les plus grands artistes.

Avec ses 6 800 places maximum, dont 4 500 en gradins, et ses deux régies, le Zénith est dans le top cinq des plus grandes salles parisiennes. Il offre également la possibilité d’être loué pour des évènements d’entreprises ou d’écoles comme des séminaires et des remises de diplômes.

Du fait de sa grande capacité, le Zénith de Paris a également pu s’adapter à la crise sanitaire qui a touché le monde en 2020 en permettant de séparer de plusieurs sièges les participants des différents évènements pour lesquels la salle a été louée. L’activité a donc été ralentie, mais n’a jamais été arrêtée, contrairement à celle d’autres lieux culturels.

Un concept avant tout

Aujourd’hui, le Zénith est une marque déposée et certains artistes choisissent de faire une tournée des Zéniths, en passant par plusieurs des 17 existants en France. Une telle tournée constitue un réel avantage pour les artistes, car les plans de feux – le réglage des lumières – peuvent rester les mêmes d’une salle à une autre, ce qui fait gagner un temps précieux aux équipes techniques.

En plus de cette marque déposée, le Zénith de Paris a créé une architecture nouvelle pour les salles de spectacles, entraînant la construction d’une série de 16 salles similaires et purement françaises. Les critères sont simples : proposer une salle d’au moins 3 000 places et être modulable.

Depuis son inauguration par Renaud et Jacques Higelin en 1984, cette salle mythique et innovante de la capitale a su attirer les plus grands artistes tels qu’Amy Winehouse, Rihanna, Pharrell Williams, la Sexion d’Assault ou encore Sting. Le Zénith en accueillera encore beaucoup d’autres dans les prochaines années.