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L’équipe de JCDecaux nous livre les étapes de leur collaboration avec leurs annonceurs

L’équipe de JCDecaux nous livre les étapes de leur collaboration avec leurs annonceurs

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Le 25 septembre 2023, JCDecaux a ouvert ses portes aux étudiants de l’ISCPA Toulouse pour découvrir l’entreprise. Au cours de cette visite, Arnaud Perey responsable région et Virginie Boix cheffe de publicité ont  répondu à nos questions sur le fonctionnement des collaborations.

 Quelles sont les étapes principales d’une collaboration avec vos annonceurs ? 

Soit nous allons vers l’annonceur pour lui proposer nos services, soit il fait appel à nous directement ou via une agence notamment sur les très gros clients. Il y a effectivement plusieurs étapes. L’entreprise va nous présenter et nous parler de ses besoins en termes de communication : ses besoins d’image, de notoriété, quel est l’objectif de sa prise de parole. Suite à cela, nous allons travailler de notre côté et en fonction d’un budget que l’annonceur ou l’agence nous aura donné, nous allons lui apporter des propositions qui répondent à ses besoins .

Quels sont les éléments qui peuvent amener à une annulation de collaboration ?

Un annonceur signe un contrat et va annuler avant sa campagne par exemple. Nous avons en revanche des conditions générales de vente qui font qu’une campagne annulée la veille pour le lendemain n’est pas vraiment possible. Nous n’allons pas diffuser sa publicité si l’entreprise ne le souhaite pas mais en revanche il y aura un dédommagement. Un client se doit d’aller au bout de son contrat. Mais il est tout à fait possible de décaler la campagne si il y a un problème de timing par exemple. En général dans le processus tout va bien puisque nous avons des conditions générales de vente, notamment l’article 12 qui est inhérent à la résiliation des contrats. En fonction de la durée et entre le moment où l’annonceur souhaite annuler et la date de la campagne il y a ce que l’on appelle des pénalités. En fonction des enjeux de l’annonceur, soit nous sommes dans l’application stricte des conditions générales de vente, soit nous sommes dans la dimension « commerce, accompagnement, partenariat » et là on imagine les mécaniques qui permettent de discuter ou trouver un terrain d’entente.

Comment faites-vous pour rester au rang de leadership sur ce marché ?

Je vais vous faire une confidence, ce n’est pas la mienne mais celle de Jean-Charles Decaux aujourd’hui à la tête du groupe : la position de leader est la plus complexe. Quand on est challenger on voit où l’on va, c’est simple. En revanche, quand on est leader c’est nous qui écrivons la trace. Quand Jean-Charles Decaux crée le modèle économique en 1964, il est le premier à développer cette idée mais ça aurait très bien pu être quelqu’un d’autre. Nous devons nous inscrire dans cette continuité et essayer de trouver des solutions qui nous permettent de nous différencier. On a eu le vélo en libre service qui est un bon exemple, très innovant. Il y a énormément de travail pour savoir ce que va être la ville de demain .

Groupe 3- Clément Vigroux, Tom Perez, Elina Lacoste, Lucie Venceslau, Tess Beirao
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La communication d’une clinique expliquée par Anne Francou

La communication d’une clinique expliquée par Anne Francou

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Les étudiants en première année à l’ISCPA ont été reçus par Anne Francou, Directrice Communication Santé, dans le cadre du Tour E-Média, pour en savoir plus sur la communication de la clinique Saint-Exupéry.


Comment attirez-vous des clients dans votre clinique ?


« Dans la communication médicale, on ne va jamais parler de clients, on va parler de patients, dans la mesure où on n’est pas là pour « vendre » une prestation de santé, on n’en a pas le droit. Le conseil de l’ordre des médecins est vigilant sur le fait que dans notre communication, on ne mette pas en avant un médecin par rapport à un autre, on ne met pas en avant des tarifs. »


Quelle est la mission principale de la communication ?


« La mission principale de la communication va être orientée sur l’information, la précision, la vulgarisation, la fluidité, la clarté pour nos cibles. C’est différent de ce proposent la plupart des marques : viser l’attractivité, le prix etc… »


Avez-vous des concurrents ?


« En réalité, s’il y avait autant d’établissements de santé dans le public et dans le privé que ce dont la population française a besoin, peut-être qu’on rentrerait dans une concurrence. On est loin du compte, il y a vraiment de la place pour tout le monde, il y a encore des places vides. Vous avez peut-être essayé de prendre rendez-vous, vous voyez bien qu’il n’y a pas de créneaux, on va dire qu’à tous les niveaux, c’est un problème en ce moment et depuis déjà quelques années. »


Quelles cibles essayez-vous de toucher ?


« Il y a plusieurs cibles. La première, c’est le patient. Les patients, il faut savoir que ce sont des gens stressés parce qu’ils sont malades. Ils ont besoin de savoir ce qu’il va leur arriver, comment ils vont être accueillis. On a une autre cible, ce sont les professionnels de santé, tous les médecins, les autres établissements de santé. Ils ont besoin à tout moment de savoir où est-ce qu’ils peuvent orienter leurs patients. Troisième cible : les jeunes soignants. Le plus difficile, c’est le recrutement d’infirmiers et d’aides-soignants. »

Groupe 4 : Bernard Eva, Marra Lafon Roméo, Thedenat Louise, Le Bec Ronan, Dubois Clarence

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« Pas de publicité d’un point de vue publicitaire »

« Pas de publicité d’un point de vue publicitaire »

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La clinique Saint-Exupéry a ouvert une extension en avril 2020 afin de développer la pluridisciplinarité. Cette dernière a été améliorée jusqu’au début de l’année 2023.

Afin de toucher ses cibles, la clinique Saint-Exupéry a mis en place plusieurs stratégies de communication. Elle cherche à informer et à vulgariser les informations que ce soit sur son site, sur des livrets donnés à la patientèle ou sur Facebook. La moyenne d’âge des patients est de 75 ans.

Les professionnels de santé sont très présents sur LinkedIn. La clinique y met en valeur ses aménagements. L’objectif est de les inciter à rejoindre la clinique afin de pallier la pénurie de médecins.
Enfin, les jeunes soignants sont ciblés sur Instagram et TikTok. On met en avant des évènements comme « Solibikes » ou encore des interviews de soignants racontant des anecdotes drôles ou émouvantes à destination des jeunes infirmiers. Pour les attirer et remédier au manque d’infirmiers et d’infirmières dans les centres médicaux.

Autres moyens de mettre en avant la clinique

La clinique met aussi en œuvre des évènements comme un dépistage des reins gratuit sur la place Saint-Georges grâce à des prestataires freelance : un graphiste, un community manager, etc… Ceci a pour but de sensibiliser le grand public aux problèmes rénaux.
De surcroît, la chargée du service presse Laurence de Boério répond aux sollicitations médiatiques, à propos des futurs projets de développement de la clinique Saint-Exupéry.

Enfin, la clinique met en place de nombreux projets de développement depuis 2015 et le projet « Grand Format »

Groupe 4 Roméo Marra Lafon, Louise Thédenat, Eva Bernard, Clarence Dubois et Ronan Le Bec

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Saint-Exupéry : une clinique communicante

Saint-Exupéry : une clinique communicante

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Le jeudi 28 Septembre, Anne Francou, la Directrice Communication Santé de la clinique Saint-Exupéry, nous a livré son expérience. La communication d’une clinique a des objectifs différents qui visent non pas à valoriser ses services mais à rassurer les patients et à promouvoir les services de la clinique auprès des professionnels de santé.

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Saint-Exupéry : vers une clinique plus durable 

Saint-Exupéry : vers une clinique plus durable 

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Le 28 septembre 2023, la clinique Saint-Exupéry a ouvert ses portes aux étudiants de l’ISCPA Toulouse. Implantée depuis 1975 dans la périphérie toulousaine, la clinique ne cesse de se développer notamment sur le plan écologique. Découverte d’un espace de santé écoresponsable.

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Les actions de communication au sein de la clinique Saint-Exupéry

Les actions de communication au sein de la clinique Saint-Exupéry

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La clinique Saint-Exupéry, située dans le sud-est toulousain, a plusieurs missions, comme créer et alimenter le site internet ou encore gérer les réseaux sociaux de la clinique.

« Réduire le stress des patients »

L’un des principaux objectifs de la communication est de rendre l’environnement médical moins stressant. C’est pourquoi grâce au site internet de la clinique ou avec l’aide d’un livret d’accueil, les patients (dont la moyenne d’âge est de 75 ans) sont parfaitement informés. De plus, la clinique Saint-Exupéry possède un compte Facebook pour s’adresser à ses patients les plus âgés. 

Elle ne cible pas uniquement ses patients mais également d’autres personnes, comme les jeunes aides-soignants ou les jeunes infirmiers. En effet, il y a actuellement peu de jeunes formés aux métiers du soin. Anne Francou, qui coordonne toutes ces actions, nous a indiqué que la clinique est très souvent en sous-effectif, « de 2 à 10 personnes”. C’est pourquoi la clinique Saint-Exupéry possède des comptes Tiktok et Instagram, avec l’idée de lancer des campagnes de recrutement notamment ou communiquer sur des évènements solidaires tel qu’Octobre Rose. 

Innover tout en s’inspirant d’autres cliniques

Mais la clinique Saint-Exupéry regarde aussi ce que font les autres établissements de santés. En effet, grâce à son compte LinkedIn, elle peut intégrer une communauté professionnelle qui lui permet de voir les innovations d’autres cliniques, et donc de s’en inspirer. Ceci montre bien que la concurrence n’existe pas entre plusieurs cliniques mais qu’elles travaillent main dans la main.

Anne Francou possède donc quelques libertés au sujet de la communication de la clinique mais est tout de même soumise à plusieurs directives. Par exemple, la clinique n’a pas le droit de faire l’éloge d’un médecin sur ses réseaux sociaux puisque ce procédé est interdit par l’ordre des médecins.

ISCPA Toulouse – G2 William TE WIERIK, Theo LOIZON, Meïssa DJAOUTI, Léna LAVIT-TERRAL, Clémence RIOT, Flavie DURO FRANCO

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ITW AVEC ANNE FRANCOU : « Quand j’observe la communication des autres établissements, ça me nourrit ! »

ITW AVEC ANNE FRANCOU : « Quand j’observe la communication des autres établissements, ça me nourrit ! »

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Lors de notre visite à la clinique Saint-Exupéry située au sud de Toulouse, nous avons pu nous entretenir avec Anne Francou, la directrice du service communication de la clinique depuis trois ans. Nous avons pu en savoir plus à propos de son parcours et sur les objectifs de la clinique en termes de communication.

Anne Francou, directrice de la communication de la clinique Saint-Exupéry  © photo Flavie DURO FRANCO

« Quel est votre parcours ? »

« J’ai une double formation : une licence de physique-chimie et un master de psychologie avec une spécialité ergonomie de l’information. Je ne savais pas quoi choisir, je me suis dit que je voulais travailler donc j’ai postulé pour Bayard Presse Jeune afin d’expliquer les sciences aux enfants. J’ai travaillé pendant vingt-neuf ans pour BP. J’ai cumulé cet emploi avec un mi-temps de communication. Puis la communication a pris le dessus sur la presse. Une fois à Toulouse, je suis rentrée dans une agence : ICOM et cela m’a amenée à m’occuper de la communication de Saint-Exupéry. »

« Et quel est le rôle de la communication au sein de la clinique Saint-Exupéry ? »

« Pour la clinique Saint-Exupéry, l’objectif reste le même. Papier et digital, il faut partager des informations claires pour la patientèle. Le but n’est pas de faire de la publicité, mais d’être précis, on ne fait pas n’importe quoi en France lorsqu’on communique sur la santé. Pour m’occuper de cela, même si je reste seule au service communication, j’ai derrière moi une équipe complète avec des prestataires en freelance : un graphiste, un développeur web, un web designer, un community manager pour les réseaux sociaux ainsi qu’un chef de projet. »

« Pouvez-vous nous éclairer sur les cibles de vos campagnes de communication ? »

« Nous avons plusieurs cibles. Tout d’abord les patients, car ils sont généralement stressés, ils ont besoin de savoir ce qui les attend donc l’enjeu ici est de réduire leur stress. Nous ciblons également les professionnels de la santé comme les médecins venant d’autres établissements dans le but de diriger leurs patients vers la clinique, pour désengorger leurs services. Et enfin, nous visons les jeunes soignants tels que les infirmiers et les aides-soignants en sortie d’études afin de leur montrer qu’au sein de notre clinique, ils pourraient être avantagés en ce qui concerne le niveau de vie et de temps libre face à l’hôpital public. »

Vous êtes présent sur les réseaux sociaux, quelle audience souhaitez-vous viser ? 

« Sur LinkedIn, on souhaite évidemment viser une communauté professionnelle. On a très envie de savoir ce que font les autres cliniques, ça nous permet de voir ce qu’il se fait d’innovant. Moi, en tant que communicante, quand je vois des initiatives de communication des autres établissements, ça me nourrit, ça m’inspire. Mais il y a aussi une promotion de ce que l’on fait de bien. À ce jour, on ne peut pas se permettre de ne pas communiquer sur LinkedIn. Facebook, c’est pour les patients et professionnels plus âgés. Sur Instagram et TikTok, c’était vraiment dans l’idée de communiquer pour les jeunes soignants, car ils ne sont pas sur Facebook ni sur LinkedIn. L’idée, c’est que sur Instagram, on poste un contenu plutôt adapté aux jeunes alors que sur TikTok, l’idée était plutôt de créer une communauté petit à petit. TikTok, il n’y a que la clinique Saint-Exupéry qui a un compte sur Toulouse. On s’en sert pour montrer la qualité de vie au travail et les évènements solidaires. »

ISCPA Toulouse – G2 William TE WIERIK, Theo LOIZON, Meïssa DJAOUTI, Léna LAVIT-TERRAL, Clémence RIOT, Flavie DURO FRANCO

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ITW – UNE CLINIQUE SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

ITW – UNE CLINIQUE SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

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La clinique Saint-Exupéry, située à Toulouse, est l’une des rares cliniques présentes sur tous les réseaux sociaux : Facebook, Instagram, X (ancien Twitter), LinkedIn et même Tiktok. Une pratique de communication qui étonne, Anne Francou, la responsable de communication de la clinique, nous répond.