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Actu Toulouse : un journal régional au service des occitans

Actu Toulouse : un journal régional au service des occitans

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Actu Toulouse est une filiale du groupe Ouest France, née en 2015. Elle est une des branches du groupe actu.fr, implanté dans plusieures régions françaises. Il possède actuellement 90 journaux dont 14 gratuits.

Suite à un sondage auprès des lecteurs, le rédacteur en chef d’Actu Toulouse, Pascal Pallas, s’est rendu compte que ce que les gens attendaient de son journal était avant tout un aspect utile. En effet, les toulousains et habitants des environs sont à la recherche d’un journal pratique, leur délivrant des informations fraîches et qui concernent leur quotidien. Pascal Pallas explique que les articles type « bons plans » sont toujours très bien acceuillis, comme par exemple l’ouverture d’un nouveau restaurant.

Dans le but de servir la région, Actu Toulouse s’attèle à faire remonter les informations principales aux médias nationaux. En effet ses derniers sont principalement basés sur Paris et ont tendance à oublier les provinces. Pascal Pallas et son équipe leurs communique donc l’actualité régionale et s’engage ainsi à faire exister les provinces souvent oubliées de la capitale. Cela contribue à réaliser une des ambitions du rédacteur en chef « informer le mieux possible ».

Un journal polyvalent qui a réussi sa transition numérique

Afin d’être accessible au habitants occitans partout et en tout lieu, Actu Toulouse s’est très vite orienté vers la production web. Même si Pascal Pallas estime avoir raté le virage de la production de vidéo, le journal est cependant très bien référencé sur le web. Ce moyen de communication permet aux journalistes de fournir en moyenne un article toutes les quarante cinq minutes. Si l’information nécessite d’être constamment vérifiée, parfois même en se rendant sur place, le numérique à amplement facilité le travail de rédaction et de publication, permettant de répondre au désir d’immédiateté des lecteurs.

Internet a aussi permis l’émergence des réseaux sociaux et ces derniers sont très utiles dans le milieu journalistique. Actu Toulouse s’est d’ailleurs lancé très tôt et cela lui a permis de se classer en tête des journaux les plus suivis (parmi son groupe). Sur ses six millions de lecteurs, 80% consultent leurs actu via mobile. Ce qui n’est pas étonnant puisque Actu Toulouse se caractère par un lectorat relativement jeune (41,6% ont moins de 35 ans).Les journalistes oeuvrent donc afin d’alimenter ces réseaux avec notamment un post Facebook par heure.

Actu Toulouse est donc un journal très polyvalent puisque présent sur tous les fronts. Il est ainsi au service de ses lecteurs mais aussi de sa région en faisant émerger l’actualité régionale auprès des services d’information nationaux.

Groupe 5

Jade Loane Léana Liselotte Dorian Enzo

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Sébastien Marcelle, d’ingénieur à journaliste

Sébastien Marcelle, d’ingénieur à journaliste

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Sébastien Marcelle, est aujourd’hui éditeur et co-responsable du secteur web au sein du journal régional la Dépêche du Midi. Tout au long de sa carrière, il a tenté de lier sa passion journalistique avec son cursus scientifique.

A 21 ans, Sébastien Marcelle conclu ses études avec une maîtrise de Biologie des populations et des écosystèmes. Il tombe sur une annonce de journaliste agricole, à Paris. Ayant toujours eu cette passion pour la presse, il se dirige dans cette voie, obtenant alors un CDD. La révélation se fait. « Apprendre en permanence, ça m’a tellement plu », confie-t-il. Il passe donc un master en journalisme et commence sa carrière en écrivant pour des magazines scientifiques. Pendant deux ans, il se lance en tant que pigiste pour différents journaux. Ce n’est que plus tard, qu’il se fait embaucher dans des éditions régionales. Depuis 2003 il travaille à la Dépêche du Midi.Sébastien Marcelle se voit évoluer encore quelques années dans la presse, sans pour autant que celle ci soit nationale ou internationale.

« Les doigts dans la prise »

Au début de sa carrière, Sébastien Marcelle travaille sur  la presse papier. Comme beaucoup, le jeune journaliste constate que le web prend de plus en plus de place dans le monde journalistique. Malgré les difficultés, le basculement du papier à l’écran est plutôt fluide. Pour lui, le web a un côté plus réactif de part son instantanéité, du fait que la plupart des gens regardent l’actualité sur le web. En effet, la presse papier observe une baisse du lectorat alors que les fréquentations web se multiplient. La fonction qu’occupe Sébastien Marcelle est parfois stressante et déstabilisante, « nous ne savons plus sur quel pied danser » ajoute-t-il. Le choix des publications peut s’avérer difficile en fonction du public visé, tout en respectant la ligne éditoriale du journal. Pourtant, cette effervescence contribue à alimenter quotidiennement sa passion. Mais lui, il est plutôt papier, « ça me manque » lâche t-il…

G1 : Théo, Bastien, Manon, Emma, Eléonore, Floriane

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Portrait : Pascal Pallas, un parcours de vocation journalistique

Portrait : Pascal Pallas, un parcours de vocation journalistique

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Détails d’un itinéraire atypique, celui de Pascal Pallas, rédacteur en chef et éditeur d’Actu Toulouse.

« C’est de la volonté, c’est tout. » Annonce ainsi Pascal Pallas, en réponse à la question du financement des médias. A la tête de la rédaction d’Actu’ Toulouse, filiale du groupe Actus, se dresse un rédacteur au parcours pas comme les autres. Se considérant comme « un très mauvais exemple », ce journaliste toulousain décrit son métier avec passion. Ayant suivi des études supérieures d’Histoire, Pascal Pallas a rejoint le monde du journalisme de manière originale. N’étant passé par aucune école, il parvient à devenir pigiste à la Dépêche du Midi, puis rédacteur en chef d’Actu’ Toulouse. Ce dernier s’est peu à peu construit un réseau solide, attaché à sa région mais aussi et surtout à ses valeurs, qu’il ne saurait ignorer.

Pour Pascal Pallas, son parcours est marqué par l’humilité, valeur qu’il décrit comme intrinsèque au métier de journaliste. Garant d’une information utile, pratique et surtout « concernante », ce dernier aime à rappeler que « la vérité peut attendre cinq minutes ». N’écrivant aujourd’hui quasiment plus, monsieur Pallas dirige maintenant une équipe de près d’une dizaine de journalistes. Fidèle à ses valeurs, il entend bien se différencier d’autres médias, en gardant toujours à l’esprit son humilité si caractéristique.

Le travail de rédacteur en chef

En tant que Rédacteur en chef d’actualité Toulouse et éditeur pour Public’hebdos, Pascal Pallas gère ses équipes avec foi et passion. Attaché à sa région, il ne souhaite pas travailler autre part, et préfère être au plus près de son public toulousain. Bénéficiant ainsi d’un réseau efficace, il est capable d’agir avec un coup d’avance, contrairement à d’autres médias moins ancrés en Occitanie. Cependant, il ne faut pas croire que monsieur Pallas est enchainé aux acteurs économiques de sa région. Il conserve ainsi une indépendance, laissant une grande marge d’action à ses équipes.

Disposant de moyens de financement alternatifs (publi-reportages, organisation d’évènements…), il se libère de toute attache politique ou financière. Enfin, Pascal Pallas est un journaliste réaliste : conscient du défi numérique de demain, il reconnaît les faiblesses de son journal. Abandon du journal papier, écologie, dépendance au web, tels sont les défis auxquels Pascal Pallas doit faire face tous les jours.

 

Retrouvez notre visite d’un jour en vidéo :

Groupe G6 : Justine Cazaux, Léa Duvaleix, Coralie Nzue Nzengue, Lucas Laberenne, Vincent Pellegrino, Virgile Guilhamet

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De la Légion étrangère au Conseil départemental, le parcours inédit de Serban Iclanzan 

De la Légion étrangère au Conseil départemental, le parcours inédit de Serban Iclanzan 

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Le Mercredi 25 Septembre, les étudiants en journalisme et en communication de l’ISCPA ont rencontré le Directeur de l’hebdomadaire juridique, La Gazette du Midi. 

« Soyez cultivés, soyez éduqués », Serban Iclanzan débute son discours avec des mots très forts et percutants qui saisissent son auditoire.

Durant cette matinée, l’homme revient sur son parcours militaire, professionnel et politique. Un mot : étonnant.

Diplômé de l’Université du Capitole en droit, Serban Iclanzan pousse sa formation jusqu’à l’obtention d’une maitrise en droit international et européen, l’équivalent du master 1 aujourd’hui. En 1999, il obtient son DEA en Sciences Politiques, Relations internationales et Défense.

Quand il arrive en première année de doctorat il fait ce qu’il appelle un « pont orientation » et décide de faire un choix pour « donner un sens à sa vie », il s’engage alors pour 5 ans aux cotés de la légion étrangère.

Le temps passe et d’autres envies d’avenir se font ressentir, il décide alors de quitter l’armée pour construire plus sereinement sa future famille.

Pour ce faire il cherche un emploi, et pendant plus d’un an sera confronté à la dure réalité du monde du travail.

C’est en tombant sur un site répertoriant toutes les annonces récentes qu’il tombe sur celle qui changera sa vie. Il postule et est rappelé. Durant l’entretien téléphonique, il devra tenir près de 9 minutes sans même savoir à quel poste il prétendait, tant il avait envoyé des CV à plusieurs entreprises.

C’est finalement pour le poste de chargé d’affaires au sein de la Gazette du Midi que sa candidature est retenue. C’est donc en 2006 qu’il intègre le journal et qu’il exerce le métier de chargé d’affaires dont la mission principale est la vente d’annonces du journal.

En 2011, une opportunité se présente à lui, le directeur de la Gazette s’en va et il devient alors son successeur légitime.

« De l’ombre à la lumière »

Avec sa nouvelle fonction, Serban Iclanzan a également des idées, des projets pour la Gazette tout en souhaitant respecter son histoire. Il fait grandir le journal grâce à sa vision unique.

En dehors de cette fonction de directeur, il est aussi expert près la Cour d’Appel de Toulouse, traducteur et interprète, ce qui lui a permis de découvrir un autre univers en étant au plus près de ses acteurs.

Bien qu’il ait quitté la légion étrangère, son « coeur y est resté » et il est aujourd’hui officier de réserve à l’état-major à la brigade de parachutisme.

Et en 2015, il s’intéresse à la politique mais pas en observateur, il s’engage sous l’étiquette Les Républicains et est élu conseiller départemental.

Serban Iclanzan est un homme en perpétuel mouvement, toujours à la recherche d’un nouveau moyen de s’interroger, de s’informer et de se cultiver. Un homme qui sait provoquer son destin et qui pousse la jeunesse à en faire tout autant.

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Une NRJ débordante !

Une NRJ débordante !

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Dans la journée du Jeudi 19 Septembre, Stéphane Camin et Charlène Lopez-Velasco, journaliste et chef de publicité chez NRJ, ont présenté aux étudiants de première année de Journalisme et de Communication les dessous de leurs métiers et l’esprit d’entreprise. 

La radio privée NRJ anciennement « Nouvelle Radio Jeune » a su depuis 1981 s’imposer parmi les groupes privés les plus influents en France. On comprend le succès de la radio quand on est face à des professionnels qui font vivre l’entité grâce à leur passion. 

C’est le cas notamment de Stéphane Camin, journaliste radio chez le groupe NRJ depuis bien 23 ans, dont l’énergie n’a pas pris une ride. 

Souriant et dynamique, c’est à travers le conte de ses expériences que Stéphane Camin transmet l’amour qu’il a pour son métier, qui exige un rythme de vie effréné mais garantit des rencontres uniques. 

En effet, le journaliste radio se lève chaque matin aux aurores (4 heures du matin !) pour rejoindre le studio radio, sélectionner les informations qu’il souhaite mettre en lumière, et les réécrire pour les rendre à la fois concises et intéressantes. Le public auquel il s’adresse se situe entre 15 et 35 ans, l’information se doit alors d’être captivante. 

Lorsqu’il passe à l’antenne, il n’y est que pour 2 minutes et 50 secondes, et ne doit pas se trouver en dehors de ce champ. 

Toutes ses interventions se font en direct, alors pas droit à l’erreur ! 

Quand sa matinée d’information est terminée, il entame une autre partie de son métier, celle de reporter donc il se rend sur le terrain pour récolter témoignages et informations.  

« Quand on entend « NRJ » on pense radio. Radio oui, mais pas uniquement.» 

Charlène Lopez-Velasco, chef de publicité au sein de la régie publicitaire locale du groupe NRJ l’explique très bien. 

Les techniques de communication locale de la régie du groupe NRJ ne se concentrent pas toutes autour de la radio. 

La mission principale du chef de publicité est d’entendre les besoins de son client et d’établir par la suite une stratégie commerciale adaptée à ceux-ci. Les supports publicitaires pour répondre aux demandes des clients sont divers. Peuvent être utilisés : des liens sponsorisés, la promotion des ventes, la création d’évènements parallèles, l’animation de points de vente et également des passages publicitaires en radio. 

NRJ Global Régions proposent à la fois des solutions nationales et régionales, et ces solutions peuvent être digitales, évènementielles ou en radio c’est au chef de publicité de déterminer quels outils utiliser ou même combiner pour la réussite du projet de son annonceur. Le chef de publicité doit porter la casquette de démarcheur, de commercial mais aussi de conseiller, puisqu’il accompagne son client du début à la fin de sa campagne mais même après la fin de celle-ci afin de garantir. 

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J4 – L’extravagant palais

J4 – L’extravagant palais

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A l’occasion du Tour E-Media, nous avons eu hier l’opportunité de visiter l’Accor Hôtel Arena, guide à l’appui, situé 8 boulevard de Bercy dans le 12ème arrondissement de Paris. Une visite de plus de 2 heures dont nous vous dévoilons les coulisses.