C’est dans une salle classée aux monuments historiques que la rencontre a eu lieu en ce jour. Nous parlons bien sûr de la Salle Gaveau. Pour découvrir les merveilles de ce lieu, nous vous invitons à lire la suite…
Dans le cadre du Tour E-Media, nous avons eu la chance de visiter le Zénith. Le Zénith est une des salles mythiques de Paris à la renommée mondiale. Les plus grands artistes s’y sont produits, allant de Johnny Hallyday à The Cure ou encore Rihanna.
Il représente un rêve, une idée folle pour de nombreux artistes. Nous nous sommes rendus au Zénith pour en découvrir les coulisses.
Nous avons eu l’occasion en ce jour de visiter la salle des Folies Bergère dans le 9e arrondissement de Paris.
Un petit point sur les Folies Bergère
Cette salle de spectacle mythique était autrefois un music-hall. Dans l’histoire, les salles de spectacle avaient toutes devant leur nom l’appellation « Les Folies » suivie de la rue où elle se trouve. La rue où elle se trouve est la rue Richer mais c’était également le nom d’une famille riche qui malheureusement n’autorisait pas l’utilisation de « Folie Richer ». Ils ont donc décidé de prendre une des rues aux alentours d’où le nom « Les Folies Bergère ».
Vous pourrez y trouver toutes sortes de représentation, tel que des pièces de théâtre, des spectacles de danse, du chant, mais aussi des événements: soirée dansante, cocktail, etc.
Si vous avez la chance d’y aller, vous pourrez y découvrir de magnifiques décors dans le style jazz/cabaret des années cinquante.
Ce que vous ignorez
Sous la grande salle, se trouvaient autrefois une boîte de nuit ainsi qu’une salle de danse du ventre où les hommes pouvaient fumer leur cigare tout en admirant les danseuses.
Une grande particularité qui caractérisait cette salle à l’époque était le manège suspendu au-dessus du public où des danseuses performaient. Pour des raisons de sécurité, il a été retiré. Cependant certains chevaux ont été conservés et enjolivent encore aujourd’hui la salle.
Elle a une capacité d’accueil de 1720 places avec une grande salle à l’entrée, autrefois utilisé comme restaurant.
Pour la petite histoire, une des places avait sa petite particularité, située à coté de la scène, elle est appelée la place de l’anglais. Celle-ci était réservée à l’année autrefois à un homme, un Anglais d’où son nom. Celui-ci, profitait de son emplacement pour observer sous les jupons des dames. Sans surprise, cette place n’est aujourd’hui plus disponible à la vente.
Qui s’est rendu aux Folies Bergère
Elle a accueilli de grands noms de l’époque comme Mistinguett, Charlie Chaplin, Joséphine Baker, Jean Gabin et bien d’autres encore.
Récemment, la salle a accueilli le show de Jean-Paul Gautier où la mise en scène et la décoration étaient spectaculaire à tel point que certains mannequins ont été laissés en place pour le plaisir des yeux de chacun.
Pour ainsi dire, cette salle est unique en son genre, si vous avez la chance d’assister à une représentation en ce lieu, vous ne serez pas déçu.
IC01 : Inès Lamnii, Marie Abu Amara, Nisrine Dabbarh, Margaux Ribes
Comment rendre la région Occitanie plus attractive ? Comment allier progrès et modernité avec environnement et écologie ? Telles sont les principales problématiques dont s’occupe François Carbonnel, Directeur adjoint de la communication et de l’information citoyenne de la Région Occitanie.
Karine Chapert, forte de 16 ans d’expérience au théâtre Sorano dont elle est actuellement secrétaire générale en charge de la coordination artistique et communication, revient sur son parcours professionnel.
Le théâtre Sorano de Toulouse s’efforce d’offrir à son public une programmation vivante et variée. Cependant, la crise sanitaire rend l’organisation de cette dernière complexe. Quels sont les projets mis en place par le théâtre à ce jour ?
« Notre projet artistique est un projet pluridisciplinaire avec l’accueil de compagnie de théâtre de danse, cirque, etc. », explique Karine Chapert, secrétaire générale de la communication et de la coordination artistique. L’objectif du théâtre est de pouvoir offrir une grande variété de spectacles. En découle une fréquentation d’un public éclectique. Des projets de médiation ont également été créés à la fois au sein du théâtre, mais aussi dans la ville. Le projet « Récréations » qui se faisait dans les cours d’écoles en est un exemple. Toujours d’après Karine Chapert « Ces projets ont remporté beaucoup de succès ».
En novembre, est prévue la cinquième édition du projet « Supernova ». Durant trois semaines, ce projet est dédié aux jeunes créations. Des projets culturels internationaux sont également mis en place. Prochainement, une compagnie belge est invitée à se produire sur scène. Ce genre de développement offre deux avantages : il donne non seulement une plus large visibilité pour ces troupes étrangères, mais aussi un choix plus large de représentations pour le public. Ces projets, bien que programmés et organisés, restent incertains au vu de la crise sanitaire actuelle.
Dès le 17 mars, le théâtre a dû annulé six spectacles. « Avec beaucoup de travail et d’organisation, nous avons obtenu le report de cinq d’entre eux. », confie Julie Guétrot, responsable du développement des publics. La priorité pour le théâtre, au début de cette crise, était de continuer de proposer du contenu au public. Ainsi, des représentations filmées ou encore des interviews de comédiens ont été mis en ligne sur le site du Sorano. Toujours selon Julie Guétrot « Nous voulions continuer à créer du lien avec les spectateurs. »
La première représentation, depuis le confinement en mars, aura lieu le mercredi 30 septembre. Il s’agit « d’Une Cérémonie » du Raoul Collectif. Un protocole est alors mis en place afin d’accueillir le public dans le respect des réglementations sanitaires en vigueur. Ces dernières sont d’après Karine Chapert « assez compliquées à mettre en œuvre. » Le public sera accueilli par groupes de dix avec un siège de distance entre chaque personne. À l’entrée du théâtre, trois files différentes seront mises en place (une pour la billetterie, une pour l’entrer dans la salle et une pour le bar s’il est ouvert). Et évidemment, du gel hydroalcoolique sera distribué. Ainsi, malgré l’épidémie actuelle, le théâtre Sorano, s’efforce d’entretenir ses projets culturels.
Groupe 5 – Alexandra Frenkel
Dans le cadre de l’ISCPA, une rencontre virtuelle a été organisée avec une représentante du théâtre Sorano. Karine CHAPERT, secrétaire générale de communication et coordination artistique, en dit plus sur ses stratégies de communication .
Ce jeudi 24 septembre, l’ISCPA a rencontré Karine Chapert, secrétaire générale du théâtre Sorano afin de mieux comprendre le fonctionnement de son service communication.
Comment avez-vous géré cette période de confinement en tant que secrétaire général du théâtre?
J’ai eu beaucoup de travail en distanciel, on a créé pas mal de choses pour éviter que le public ne s’intéresse plus au théâtre Sorano, on a conseillé des lectures, des pièces de théâtre, et des films à voir pour permettre au public de rester au contact de la culture et de la reprise du théâtre.
Allez-vous malgré la réouverture du théâtre continuer d’alimenter votre site internet comme vous l’avez fait durant le confinement?
Non, l’extension développée durant le confinement a été supprimée du site le 2 Juin. Néanmoins, elle est toujours présente dans le back office au cas où un problème apparaitrait empêchant le théâtre d’ouvrir ses portes. Cependant, il est vrai que pendant le confinement nous avons beaucoup alimenté le site. Cela a représenté une grosse masse de travail pour le service com.
Quels réseaux sociaux allez-vous chercher à développer dans le futur?
Sur les réseaux sociaux le théâtre cherche surtout à fidéliser le public existant plutôt que de chercher un nouveau public. Pour preuve, nous n’avons pas encore de publications sponsorisées sur les réseaux. Sur Twitter, nous annonçons les représentations et les spectacles proposés au public. Sur Facebook, cela va être surtout l’actualité du théâtre ainsi que la vie quotidienne de celui-ci. Sur Instagram, nous allons plus chercher à montrer les détails, les coulisses du théâtre à travers des stories. Tout cela pour faire découvrir le monde caché du théâtre Sorano. Le théâtre Sorano n’est pas présent sur Snapchat, le système des stories est déjà présent sur Instagram donc nous n’avons pas créé de compte.
Malgré les mesures de distanciation sociale, comment avez-vous prévu de gérer la communication du festival Supernova?
Nous nous sommes pas encore penchés dessus, en tout cas nous n’avons pas prévu d’avoir une communication de crise sanitaire. Ça ne servirait a rien d’apeurer le public avec une communication mettant en avant la crise « Covid », notre but est de faire revenir les gens au théâtre, c’est avant tout un moment de détente et de plaisir le théâtre. Pour le moment le dépliant est en cours de création et les affiches sont créées et en train d’être imprimées. Rien ne va changer au niveau de la communication par rapport à la rentrée du théâtre. Tous les spectateurs recevront un mail avec un récapitulatif des mesures barrières, qui doivent être appliqués au sein du théâtre.
