A l’occasion de la quatrième édition du Tour e-media, nous avons eu l’opportunité d’aller dans l’un des monuments historiques de Paris.
A l’occasion de la quatrième édition du Tour e-media, nous avons eu l’opportunité d’aller dans l’un des monuments historiques de Paris.
Construit sur le site d’une ancienne entreprise de pompes funèbres à Paris, le CentQuatre s’est imposé au fil des années comme un lieu de création incontournable de la scène artistique et culturelle de la région parisienne.
Situé au 5 rue Curial, au cœur du 19ème arrondissement de Paris, le CentQuatre a été inauguré voici 12 ans, et le bâtiment, quant à lui, a été construit en 1873.
Ce dernier y abritait à l’époque une usine de cercueils et de pompes funèbres. C’est une construction de l’ère industrielle et de type Eiffel avec une belle verrière pour toiture, similaire à celles présentes dans certaines gare de Paris.
En 1997, cet édifice a été classé comme monument historique de la Ville de Paris.
C’est déjà la quatrième édition du « Tour E-media » ! Comme leurs aînés désormais diplômés, les étudiants de 1ère année des différents programmes Bachelor de l’ISCPA vont commencer leur année avec un calendrier pas comme les autres.
Inaugurée en 1907, la Salle Gaveau a su s’imposer sur la scène musicale classique parisienne comme un salon incontournable. Nous avons eu la chance de visiter ce lieu magnifique et chargée d’histoire dans le cadre du Tour E-media 2020.
Aujourd’hui nous vous retrouvons à La Défense pour visiter l’exposition les Extatiques, celle-ci regroupe de nombreuses œuvres d’artiste différents et permet le temps d’un instant de s’évader du monde des affaires. Créé en 2018 sous la direction de Fabrice Bousteau cette exposition a connu un grand succès qui lui a valu 2 rééditions.
Rendez vous rue de Bercy, ou prend place l’illustre Cinémathèque française. Au menu du jour, une exposition sur Louis de Funès, artiste incontournable de son époque. Une visite rythmée par les multiples facettes d’un personnage hors du temps.
Décor psychédélique et musique apaisante,“Faire corps”, oeuvre de Claire B et Adrien M, plonge les visiteurs dans un monde de distorsion, teinté de noir et blanc.
Rendez vous à la Gaîté lyrique, dans le 3ème arrondissement de Paris. C’était anciennement le théâtre de la Gaîté, devenu en 2011 un centre culturel dédié aux arts numériques et aux musiques actuelles. Du haut de ses 18 mètres et s’étalant sur 11 000 m2, le bâtiment se compose de nombreuses infrastructures pouvant accueillir plusieurs événements simultanément. A l’instar de l’aspect spectaculaire, la Gaîté est considérée comme un véritable laboratoire pour étudier l’art, la technologie ou encore la société.
Dans le hall d’entrée, une grande croix formée de tableaux numériques. Sur cette croix des particules blanches divaguent dans un espace sombre. L’oeuvre s’imposant entre les balustrades d’escalier annonce la couleur de la visite. Une exposition aux tons neutres, “laissant une interprétation libre et imaginaire aux spectateurs” indique la guide.
Après avoir abandonné ses chaussures pour un sol moelleux, le chemin se poursuit à travers des créations interactives. En perpétuel mouvement, les oeuvres se succèdent, immisçant le public dans une rêverie numérique. Ce dernier découvre une exposition tout en contemplation et poésie, rythmée par les douces notes d’une musique de fond.
En levant la tête, on peut y trouver “L’ombre de la vapeur”, rappelant la forme du champignon qui se développe lors de la distillation du cognac. Puis la “Protéodie” au sol, avec ses capteurs de mouvements et de chaleur pour déplacer des particules durant sa balade. Enfin vient “L’oeuvre d’anamorphose temporelle”, qui crée un décalage de mouvement de quatre secondes.
Après deux mois de montage, le défi pour Adrien Mondot et Claire Bardainne est relevé. Rappeler cette corrélation avec le numérique et les mouvements du monde naturel, le vivant rejoignant l’inanimé. Conjointement, l’exposition donne l’illusion de pénétrer un univers hors du temps, entre émotion et sensation.
Bastien BONAME-Oceane DELMAS-Mathis MENU-Juliette SBRANNA
La Gaîté Lyrique propose depuis janvier 2020 l’exposition Faire Corps d’Adrien M & Claire B. Immersion dans cette exposition unique en son genre qui attribut un rôle central à ses spectateurs.
Située au cœur de Paris, dans le 3ème arrondissement, la Gaîté Lyrique est un établissement culturel incontournable de la capitale. D’une superficie de 11 000 m², l’endroit accueille des concerts de musiques actuelles, mais aussi des expositions dédiées aux arts numériques. En ce moment le lieu culturel héberge une exposition d’œuvres de la compagnie Adrien M & Claire B, spécialisée dans les arts visuels et le spectacle vivant, intitulée Faire Corps.
Cette exposition est un parcours interactif et ludique, dans lequel le spectateur devient acteur. En effet, l’œuvre principale de l’exposition, L’ombre de la vapeur, sollicite le spectateur et ses mouvements. Des capteurs infrarouges placés dans les salles de l’exposition détectent les mouvements des spectateurs. Grâce à quinze ordinateurs qui fonctionnent en temps réel grâce au logiciel eMotion (un logiciel de création d’animations conçu par Adrien M), chaque mouvement provoque un flux, faisant déplacer les points de lumière blanche projetés dans l’espace sombre. Comme le résume parfaitement Claire Bardainne, co-créatrice de l’exposition, il s’agit de « pénétrer dans un écosystème où le trajet du corps trace un trait de lumière blanche sur un décor noir ».
Le numérique au cœur de l’exposition
Pour Adrien Mondot et Claire Bardainne, créateurs de cette exposition, l’objectif est de questionner sur l’attention qu’on porte au numérique et de montrer comment le numérique peut nous mettre en mouvement. Les artistes ont conçu les œuvres en noir et blanc de manière à ne pas trop diriger le spectateur, pour le laisser circuler librement dans l’espace. Afin de créer une ambiance sonore autour de l’exposition, le duo a fait appel à la voix de Kyrie Kristmanson et à la musique envoutante d’Oliver Mellano. L’exposition Faire Corps d’Adrien M et Claire B, un événement à ne louper sous aucun prétexte, à contempler à la Gaîté Lyrique jusqu’au 3 janvier 2021.
J03 – Baptiste – Quentin – Brice – Antoine