Depuis 24 ans, la Cité de l’espace, à Toulouse, rassemble touristes et passionnés pour rendre la connaissance spatiale accessible à tout public.
Depuis 24 ans, la Cité de l’espace, à Toulouse, rassemble touristes et passionnés pour rendre la connaissance spatiale accessible à tout public.
Lundi 27 septembre, les étudiants de l’ISCPA se sont rendus à la Cité de l’espace dans le cadre du Tour E-media, pour en apprendre plus sur le fonctionnement de ce site pédagogique, vitrine de l’aérospatiale.
Le Tour E-media continue pour les étudiants de l’ISCPA Toulouse, avec la visite de la Cité de l’espace ! L’occasion d’interviewer Florence Seroussi, Responsable Relations Presse et Publiques, sur son implication au sein du parc.
La Cité de l’espace à Toulouse, premier site européen dédié au spatial, a reçu ce lundi 27 septembre les étudiants de l’ISCPA pour une visite privée dans le cadre de la deuxième semaine du Tour E-media.
Depuis le mois de février 2020, l’Aérochrome est un lieu dédié à la démocratisation de l’art urbain. Avec l’aide de la mairie, il tente de se défendre financièrement pour que les Blagnacais s’intéressent au « street art ». Tel est le nouveau défi de l’association CISART. Permettant aux artistes d’exprimer et partager leurs talents, l’association toulousaine CISART est chargé du bon fonctionnement de l’Aérochrome.
Directeur de l’association Cisart’ et bénévole à l’Aérochrome de Blagnac, Julien Duron est revenu sur sa vision du street art et son rôle d’ « incubateur » de talents.
Le graffiti, art qui se démocratise depuis peu, se développe aujourd’hui dans la ville de Blagnac grâce à l’Aérochrome ouvert en février 2020. L’ouverture de cette structure permet de donner un nouveau dynamisme culturel à cette ville. En effet, ce nouveau mouvement d’art urbain se déploie à Blagnac.
Visite à l’Aérochrome, un hangar où les façades sont graffées, accueillant des artistes, des « street artists », pour qu’ils viennent exprimer leur talent sur les murs de béton.
L’Aérochrome, situé à Blagnac depuis 1 an et demi, est un local où les graffeurs s’expriment librement. Julien Duron, à l’origine de l’initiative, s’est confié sur sa vision du street art, dans l’après-midi du lundi 27 septembre. Il exprime ses craintes par rapport au futur de cet art.