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Les stratégies de communication d’F3DF

Les stratégies de communication d’F3DF

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Florian BERTHELOT est  le responsable de développement et de la communication chez F3DF.  Lors du Tour E- média il nous présente les différents moyens de communication pour faire connaitre son entreprise.

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Sylvain Athiel, du rêve à la réalité de la radio

Sylvain Athiel, du rêve à la réalité de la radio

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Après avoir suivi une licence en Faculté de droit, Sylvain Athiel a enfin pu accomplir son rêve : travailler dans le monde de la radio. Fort d’une expérience de près de 30 ans dans les médias, il dirige le pôle Broadcast d’A2PRL qui appartient au groupe MédiaMeeting, ayant son siège social à Toulouse. Son activité ne se développe pas seulement dans la région toulousaine, puisque cette agence enregistre des flashs info pour la France entière ainsi que pour certains pays du monde.

D’un voyage à première vue anodin, en a un découlé une longue carrière médiatique. En classe de 6ème, Sylvain se porte volontaire pour partir en voyage dans la principauté d’Andorre. Son seul objectif : « échapper à une semaine cours ». Plusieurs visites différentes ont marqué cette excursion, mais seules deux d’entre elles ont bouleversé sa vie, celles des studios de Radio Andorre ainsi que de Sud-Radio. A ce moment-là, les radios privées étant interdites par l’Etat Français, les seules ondes pouvant être reçues provenaient de l’étranger. Le monde de la radio était méconnu des Français et d’autant plus par des jeunes comme Sylvain, âgés seulement d’une dizaine d’année. Sa passion pour ce domaine a vu le jour durant ce voyage et ne l’a jamais quitté depuis.

Ce métier n’étant que très peu répandu en France, ses parents étaient réticents à l’idée que leur fils développe cette passion. A défaut de pouvoir en faire immédiatement son métier, Sylvain Athiel cultivait secrètement sa passion, en créant son micro à base de « bout de bois et d’une balle de tennis », nous explique-t-il. Pendant cette période, il continue ses études, d’abord au collège, puis au lycée, avant de poursuivre en Faculté de Droit. Mais ce n’était pas sa passion. Il fallut attendre 1981 pour que l’Etat « libère les ondes » à des radios privées.

Une passion au service d’une profession

Sylvain Athiel intègre le monde des médias à travers Radio France dans un premier temps. En 1985, il devient animateur, puis producteur et responsable des programmes. C’est en 1993 qu’il quitte cette station pour se diriger, quelques années plus tard, sur RTL, où il devient le réalisateur de Nagui pendant deux ans. A la fin de ce contrat, Sylvain Athiel décide de retourner à Radio France et de créer simultanément la Radio Mouv’. Après quoi, il prend le temps d’écrire un livre « Conquérant des ondes ! », retraçant l’histoire de Radio Andorre.

Ce parcours atypique le mène, en 2014, à la direction l’Agence De Presse Radio Locale, plus communément appelé A2PRL. Il encadre aujourd’hui une équipe d’une trentaine de journalistes, seulement sur l’agence de Toulouse, qui enregistrent tous les jours environ 1.800 flashs d’actualités distribués dans toute la France selon les demandes des clients. Le groupe possède également ses propres radios, comme par exemple, Toulouse FM ou bien 47 FM.

Enora LE LOUARN

Thomas ANDRE

Mathis FESSARD

Kessy SOULARD

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

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A2PRL, ou « l’usine de l’information »

A2PRL, ou « l’usine de l’information »

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Chaque jour, les 200 journalistes qui composent la rédaction de A2PRL réalisent environ 1.800 flashs d’informations pour leurs quelques 170 clients. Ces radios, la plupart du temps locales ou régionales, décident d’externaliser ce service par manque de temps, de locaux ou de moyens, et c’est à l’agence toulousaine de satisfaire leurs demandes dans les temps impartis.

Il est environ 15h dans les locaux de l’A2PRL, l’entreprise que certains puristes appellent encore « AFP audio ». Tous les journalistes sont regroupés pour la conférence de rédaction. Le programme est chargé, comme toujours. Ils vont devoir, dans l’heure, écrire chacun environ cinq flashs info différents, tant dans le contenu que dans le ton adopté. Car chaque radio a des demandes qui lui sont propres, en fonction du public qu’elle vise ou du contenu qu’elle souhaite diffuser.

Mais le travail ne réside pas seulement dans l’écriture. Car chaque journaliste est aussi une voix de radio. Une fois leur travail terminé, les journalistes envoient leurs flashs à un serveur intelligent, qui va les redistribuer sur des prompteurs, à l’intérieur de salles d’enregistrement. À ce niveau, en l’espace d’une quinzaine de minutes, ils doivent enregistrer leurs cinq flashs, pour qu’ils soient immédiatement transférés aux clients. La moindre erreur de diction peut leur faire perdre énormément de temps.

La fabrique de radios « clé en main »

Mais A2PRL ne se contente pas de proposer du contenu personnalisé à ses clients. En cas de demande, elle a la possibilité de créer ce que Sylvain Athiel, le directeur de l’entreprise, appelle une « radio clé en main ». Le client choisit son type de musique, les informations qu’il souhaite diffuser ou les messages à faire passer aux employés, et les équipes de la rédaction s’occupent de A à Z de la conception. Entre autres exemples, l’A2PRL s’est déjà occupé de Radio Mousquetaires (la radio d’Intermarché) ou Carglass Radio.

« Je résumerai notre entreprise en un mot : la rigueur », explique Sylvain Athiel. Dans sa rédaction, tout se joue au millimètre et à la seconde. Les journalistes sont rapides, efficaces et, chose importante, ils n’ont aucun accent. Cette qualité a permis à l’entreprise de se hisser comme le leader de son marché.

Il y a quelques années pourtant, Sylvain Athiel a eu peur que l’ascension de la vidéo ne signe le déclin de la radio. Il s’était trompé, et a d’ailleurs ouvert une nouvelle agence à Paris depuis. Il est d’ailleurs rassuré que les entreprises géantes comme Apple, Google ou Amazon aient basé leur avenir sur l’audio, avec les nouveaux assistants vocaux HomePod, Google Home et Alexa.

Retrouvez notre visite en vidéo :

Thomas ANDRÉ

Énora Le LOUARN

Luce RICHARDOT

Salomé COUREAU

Kessy SOULAT

Mathis FESSARD

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Notre rencontre avec l’agence  Abrasive

Notre rencontre avec l’agence Abrasive

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Ce mercredi 18 septembre, nous sommes partis à la rencontre de cette agence de communication basée sur les relations presse. Cette agence est composée de 4 femmes dont Anne Chadan et Karine Michaud qui nous ont fait découvrir leur parcours.

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L’Agence Anouk Déqué à la pointe de l’évolution technologique

L’Agence Anouk Déqué à la pointe de l’évolution technologique

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Depuis la création de l’agence Anouk Déqué Communication en 1989, la dirigeante ayant attribué son nom à la société ne cesse d’adapter ses services aux nouveaux outils de la communication. De la création de la Social Room au développement de l’extranet, l’entreprise suit l’évolution technologique.

Avec l’arrivée d’internet, la façon de communiquer a beaucoup évolué. Autrefois le rapport entre les communicants et les médias était plutôt de nature physique « On était plus dans la vie réelle » nous dit Marie Charrière, directrice associée. Cependant, grâce à l’évolution du digital, ce métier est devenu de plus en plus riche.
L’évolution technologique dans l’agence s’est faite progressivement, notamment avec les organismes dits « pige presse » qui ne géraient pas suffisamment bien le côté régional et le côté local. « Anouk a développé un outil extranet. Celui-ci permet d’agrémenter les versions PDF des articles ou les reportages avec des scripts télés ou radios qu’ils envoient à leurs clients sous formes de revues de presse quotidienne » explique Marie Charrière. Actuellement, cette technologie est une exclusivité de l’agence.

La relation entre l’agence et ses clients.

Agence spécialisée dans les Relations Presses et Publics, cette dernière ne cherche pas à faire de publicité. Entièrement dédiée à l’influence, le but premier est d’aider les entreprises à se développer en choisissant le moyen le plus adapté à leur besoin.
Cependant, la façon de communiquer avec ses clients dépend du secteur. S’adresser à un journaliste, à une entreprise ou encore à un influenceur ne se fera pas de la même manière. Tout dépendra de leurs attentes en terme de développement.
Disposant d’un riche carnet d’adresses passant par les banques, la gastronomie, l’industrie, l’immobilier ou encore l’évènementiel, l’agence ne cesse de multiplier ses contacts au niveau national mais aussi en Europe.
L’avantage avec les métiers du secteur de la communication nous dit Anouk Déqué, c’est qu’on n’a « pas le temps de s’ennuyer, c’est un métier qui varie sans cesse et qui permet de nous  renouveler ».

Groupe 1 : Emma, Bastien, Eléonore, Floriane, Manon, Théo

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Il y a de l’image à la radio

Il y a de l’image à la radio

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La présence du web et des images étant en constante évolution, la radio tente d’y trouver sa place par de multiples techniques, mais la pratique fait débat.

Faut-il que la radio soit filmée ? La question suscite l’intérêt, et deux écoles semblent s’opposer. L’histoire de la radio ayant débuté en 1840, les premières critiques de réfractaires se recentrent évidemment sur la dénaturation que provoque la présence de l’image en radio. Le média s’en voit symboliquement modifié et perd en crédibilité.

Mais à l’inverse, pour d’autres, il apparaît que les avantages de cette nouvelle pratique soient nombreux. L’auditoire s’en voit élargi notamment auprès des jeunes, tout comme les heures d’activités du média. Des collaborations et des emplois émergents, et le média s’adapte à la vague web. De plus, cela crée une réelle complicité entre l’animateur et son public.

C’est donc actuellement que le virage est en train de se prendre pour les principales radios, telles qu’NRJ avec ses émissions d’animations comme « Manu dans le 69 » ou encore Skyrock avec son « Planète rap », mais cela en change profondément leur manière de travailler.

Une véritable mise en scène de la radio

Ces changements modifient le cœur même de la manière de travailler derrière un micro. Le journaliste, l’animateur doit désormais faire attention à ces gestes ou ces regards, un vrai mécanisme de spectacle se met en place, certaines critiques évoque la « radio spectacle » qui devient scénarisée.

Mais au-delà de ces détails le travail évolue, de nouveaux objectifs apparaissent. Le public peut notamment interagir directement avec l’émission depuis internet. Il n’a jamais été aussi facile de créer et de participer à du contenu sur les ondes, un simple smartphone suffit. Les radios doivent alors communiquer et entretenir cet auditoire qui interagit avec cette nouvelle radio.

Une stratégie web complète

Nous avons parlé précédemment des nouvelles équipes formées par l’image en radio, et par la transition web en général. Ses équipes sont en effet multiples, mais toutes possèdent au centre de leur travail, la communication. Aujourd’hui, une radio ne s’écoute pas seulement le matin en partant et le soir en rentrant.

Charlène LOPEZ-VELASCO chef de publicité notamment dans ce domaine, nous confie en effet que « la radio est le théâtre de l’imaginaire. Il existe une véritable identité sonore ». C’est en cela que réside le nouveau défi des radios actuelles. Il faut savoir se faire entendre, mais aussi se faire voir. Les radios utilisent en particulier les réseaux sociaux, Instagram, Twitter, Facebook, qui sont parfaits pour cibler leurs utilisateurs, mais ils ne sont pas les seuls. Les publicitaires, les sites internet, les abonnements musicaux y participent également.

Ainsi, l’utilisation de l’image en chaque sens de son terme, est en train de s’établir dans la radio. Cela permet une large diffusion du média, qui rajeunit et fidélise son audimat. C’est dans le souci de se démarquer, et le besoin de se maintenir que ce phénomène est apparu. Les ondes devant concurrencer ces nouveaux médias toujours plus accessibles et innovants.

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« M’enfermer dans un seul domaine, ce n’est pas dans mon tempérament »

« M’enfermer dans un seul domaine, ce n’est pas dans mon tempérament »

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Marie Viersou, 39 ans, travaille depuis 2012 dans l’agence toulousaine ICOM. Passionnée, elle nous raconte son parcours dans la communication, et son rôle actuel en tant que graphiste. C’est pendant son DUT Services et Réseaux de Communication que Marie s’est rendu compte que ce qui l’intéressait vraiment, « c’était la création».

Afin de se donner les moyens d’atteindre son objectif, elle met fin à sa licence en cours et reprend des études d’arts appliqués, qu’elle décide d’arrêter au bout de deux ans pour entrer directement dans le monde du travail. « Le meilleur outil qu’on puisse avoir, c’est de travailler.» Déterminée à intégrer le graphisme et la mode, Marie obtient un poste de styliste, chargée de communication et graphiste dans une entreprise de textile. « M’enfermer dans un seul domaine, ce n’est pas dans mon tempérament», nous confie-t-elle.

Aujourd’hui, voilà sept ans que Marie travaille au sein d’ICOM, avec laquelle elle partage des valeurs environnementales et sociales. Les excellentes relations qu’elle entretient avec ses collaborateurs ne sont que la consécration de la confiance qui règne au sein de l’agence de communication toulousaine.

Graphiste : un métier en constante évolution

ICOM a permis à Marie de s’intéresser à un aspect plus digital de la communication. Contrairement au graphisme print, qui se base sur la réalisation d’affiches, de logos ou de supports papiers, le graphisme digital se tourne davantage vers la création de pages, de sites internet ou d’images Twitter. Ce deuxième aspect du graphisme, qui s’est intensifié ces dernières années, attire particulièrement Marie, qui trouve « plaisir à concevoir des sites internet ».

Une journée de travail type chez Marie Viersou commence chaque matin par la distribution de nouveaux dossiers de clients. La plupart du temps, c’est ICOM elle-même qui va répondre à des appels d’offre. Mais, pour de plus petits projets, ce sont les demandeurs qui viennent démarcher l’entreprise. Le temps passé sur le projet dépendra de l’enveloppe budgétaire allouée. La plupart du temps, les clients laisseront son autonomie à Marie, qui sera amenée à concevoir entièrement l’aspect visuel de la communication demandée. « C’est toujours bien d’avoir du challenge», sourit-elle.

Thomas ANDRÉ

Énora Le LOUARN

Luce RICHARDOT

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Kessy SOULAT

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La communication au sens propre

La communication au sens propre

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Installée à Toulouse depuis 1985, l’ICOM est une agence de communication qui vise à promouvoir l’image d’une entreprise ou d’une organisation vis à vis de ses clients ou partenaires. Ces actions ne sont pas destinées à promouvoir un produit ou un service, mais à sensibiliser les salariés au travail responsable et au développement durable.

ICOM travaille aussi sur des actions de communications externes axées sur la protection de l’environnement. Ces projets, regroupés sous un programme appelé « Alchimie », sont réalisés et co-créés avec les entreprises demandeuses. De la création à la réalisation, les clients sont donc invités à participer aux différentes étapes de production, facilitant ainsi la phase de validation du projet. Par la même occasion, ils sont sensibilisés aux réflexes responsables, allant du simple tri des déchets à une manière plus écologique de produire.

Une entreprise responsable

Être une entreprise responsable passe d’abord par un code éthique stricte, notamment dans le choix de sa clientèle. Ainsi, ICOM choisit de travailler avec des entreprises ou des organismes qui partagent ses valeurs sociales et environnementales. Par exemple, l’agence toulousaine travaille souvent avec la chaîne de magasins nationale Biocoop, qui vend des produits bio et issus du commerce équitable.

Mais ICOM ne promeut pas seulement des valeurs responsables, elle est aussi une entreprise responsable. Cela passe par un engagement écologique à différents niveaux, qui commence par la gestion de leurs locaux. En effet, ces derniers sont entièrement constitués de bois et chauffés à l’énergie géothermique, qui fait partie des énergies renouvelables et propres.

Marie Viersou, Graphiste-Print au sein d’ICOM, dit adhérer totalement, à l’instar de tous ses collègues, aux valeurs véhiculées par l’agence. Cette image positive semble d’ailleurs être un gage de qualité qui a séduit nombre d’entreprises, dont les organismes publics, qui ont de nombreuses fois fait appel à cette communication verte.

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