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La communication d’une clinique expliquée par Anne Francou

La communication d’une clinique expliquée par Anne Francou

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Les étudiants en première année à l’ISCPA ont été reçus par Anne Francou, Directrice Communication Santé, dans le cadre du Tour E-Média, pour en savoir plus sur la communication de la clinique Saint-Exupéry.


Comment attirez-vous des clients dans votre clinique ?


« Dans la communication médicale, on ne va jamais parler de clients, on va parler de patients, dans la mesure où on n’est pas là pour « vendre » une prestation de santé, on n’en a pas le droit. Le conseil de l’ordre des médecins est vigilant sur le fait que dans notre communication, on ne mette pas en avant un médecin par rapport à un autre, on ne met pas en avant des tarifs. »


Quelle est la mission principale de la communication ?


« La mission principale de la communication va être orientée sur l’information, la précision, la vulgarisation, la fluidité, la clarté pour nos cibles. C’est différent de ce proposent la plupart des marques : viser l’attractivité, le prix etc… »


Avez-vous des concurrents ?


« En réalité, s’il y avait autant d’établissements de santé dans le public et dans le privé que ce dont la population française a besoin, peut-être qu’on rentrerait dans une concurrence. On est loin du compte, il y a vraiment de la place pour tout le monde, il y a encore des places vides. Vous avez peut-être essayé de prendre rendez-vous, vous voyez bien qu’il n’y a pas de créneaux, on va dire qu’à tous les niveaux, c’est un problème en ce moment et depuis déjà quelques années. »


Quelles cibles essayez-vous de toucher ?


« Il y a plusieurs cibles. La première, c’est le patient. Les patients, il faut savoir que ce sont des gens stressés parce qu’ils sont malades. Ils ont besoin de savoir ce qu’il va leur arriver, comment ils vont être accueillis. On a une autre cible, ce sont les professionnels de santé, tous les médecins, les autres établissements de santé. Ils ont besoin à tout moment de savoir où est-ce qu’ils peuvent orienter leurs patients. Troisième cible : les jeunes soignants. Le plus difficile, c’est le recrutement d’infirmiers et d’aides-soignants. »

Groupe 4 : Bernard Eva, Marra Lafon Roméo, Thedenat Louise, Le Bec Ronan, Dubois Clarence

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Les actions de communication au sein de la clinique Saint-Exupéry

Les actions de communication au sein de la clinique Saint-Exupéry

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La clinique Saint-Exupéry, située dans le sud-est toulousain, a plusieurs missions, comme créer et alimenter le site internet ou encore gérer les réseaux sociaux de la clinique.

« Réduire le stress des patients »

L’un des principaux objectifs de la communication est de rendre l’environnement médical moins stressant. C’est pourquoi grâce au site internet de la clinique ou avec l’aide d’un livret d’accueil, les patients (dont la moyenne d’âge est de 75 ans) sont parfaitement informés. De plus, la clinique Saint-Exupéry possède un compte Facebook pour s’adresser à ses patients les plus âgés. 

Elle ne cible pas uniquement ses patients mais également d’autres personnes, comme les jeunes aides-soignants ou les jeunes infirmiers. En effet, il y a actuellement peu de jeunes formés aux métiers du soin. Anne Francou, qui coordonne toutes ces actions, nous a indiqué que la clinique est très souvent en sous-effectif, « de 2 à 10 personnes”. C’est pourquoi la clinique Saint-Exupéry possède des comptes Tiktok et Instagram, avec l’idée de lancer des campagnes de recrutement notamment ou communiquer sur des évènements solidaires tel qu’Octobre Rose. 

Innover tout en s’inspirant d’autres cliniques

Mais la clinique Saint-Exupéry regarde aussi ce que font les autres établissements de santés. En effet, grâce à son compte LinkedIn, elle peut intégrer une communauté professionnelle qui lui permet de voir les innovations d’autres cliniques, et donc de s’en inspirer. Ceci montre bien que la concurrence n’existe pas entre plusieurs cliniques mais qu’elles travaillent main dans la main.

Anne Francou possède donc quelques libertés au sujet de la communication de la clinique mais est tout de même soumise à plusieurs directives. Par exemple, la clinique n’a pas le droit de faire l’éloge d’un médecin sur ses réseaux sociaux puisque ce procédé est interdit par l’ordre des médecins.

ISCPA Toulouse – G2 William TE WIERIK, Theo LOIZON, Meïssa DJAOUTI, Léna LAVIT-TERRAL, Clémence RIOT, Flavie DURO FRANCO

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La data, l’outil primordial de BigHappy

La data, l’outil primordial de BigHappy

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Victor Gajan (au centre de la photo), Associé, Directeur  de l’innovation Data et du Marketing prédictif, dévoile au travers de cette interview comment BigHappy se sert des datas dans la communication proposée par l’agence.

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« La donnée c’est la connaissance »

« La donnée c’est la connaissance »

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Le co-fondateur et directeur d’innovation de BigHappy Victor Gajan (au centre de la photo), raconte l’origine et explique le fonctionnement de son agence de communication spécialisée dans la data à Toulouse.

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G8 Toulouse – Une agence toulousaine derrière la communication d’un géant du fast food

G8 Toulouse – Une agence toulousaine derrière la communication d’un géant du fast food

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Créée en 2019 par Anne Defrance, cette petite agence toulousaine de communication, de marketing digital et opérationnel se distingue par une caractéristique originale. En effet, elle ne s’occupe que de la marque McDonald’s et de ses 69 restaurants, situés dans le Sud-Ouest. Rencontre avec Anne Defrance et son équipe.

Pourquoi avoir choisi McDonald’s parmi tous les clients que vous auriez pu avoir? 

C’est simple, pendant 30 ans, j’ai été directrice marketing et communication chez McDonald’s. Il était donc évident pour moi de continuer l’aventure avec eux,  en tant que présidente d’A’Tout’Com. De même pour mon équipe, la majorité a travaillé pendant un temps pour la marque.

« Nous avons tous une relation particulière avec McDonald’s ». 

 

En quoi consiste votre travail pour la marque? 

Nous travaillons donc en relation avec 69 restaurants de la région toulousaine et du Sud-Ouest. On s’occupe de leur publicité lors d’événements ou encore de leurs réseaux sociaux. On personnalise notre travail en fonction du client et surtout en collaboration avec eux. Nous avons une relation de proximité avec tous nos clients. On a plutôt une fonction de consultant. 

 

Pouvez-vous nous donner des exemples d’événement avec la marque? 

On a participé à plusieurs événements. Par exemple, nous avons été en partenariat avec le Stade Toulousain. Nous avions mis en place trois activités lors de l’événement, comme le « Rugby Game », qui consistait à envoyer le ballon dans un gobelet McDonald’s.

 

Quelle a été votre plus grosse campagne? 

Je pense que la plus grosse campagne qu’on ait faite est la campagne « Sublime », en collaboration avec le bijoutier Marc Deloche. Nous avions organisé un concours, où nous avions fait gagner un collier pendentif frite d’une valeur de 15.000€.

Mais de manière plus habituelle, nous faisons des campagnes moins conséquentes. Actuellement, nous avons mis en place des minis ballons de rugby dans les menus Maxi Best Of.

« On fait des campagnes qui sont accessibles pour tous ».

 

À l’avenir, aimeriez-vous étendre votre carnet de contact avec d’autres marques?

Rien n’empêche à l’avenir de travailler avec d’autre clients. Je reste ouverte à toute proposition, mais personnellement je préfèrerai trouver une franchise ayant la même organisation que McDonald’s. Néanmoins, je ne pense pas travailler un jour pour Burger King, étant donné la relation de proximité que nous avons avec McDonald’s.

 

G8: JOULIN Thomas, MASSIN Salomé, LECHARTIER Pablo, ULMI Estelle, CLOU Éléane, DARTIGUELONGUE Manon

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Toulouse FM répond à nos questions sur sa publicité

Toulouse FM répond à nos questions sur sa publicité

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Comment Toulouse FM gère t-elle sa publicité et pourquoi est-elle une priorité ? 

Intervenant : Jean Marc POUGET chef de la publicité de Toulouse FM s’explique sur ce sujet. 

Quels sont les secteurs qui font le plus appel à vos services de publicité ?
« Nous avons deux secteurs qui communiquent, le plus ce sont l’automobile et la grande distribution. Pour l’automobile généralement c’est pour annoncer la sortie d’un véhicule ou même des portes ouvertes. Pour ce qui est de la grande distribution on retrouve généralement des publicités faisant la promotion des prix d’appels. »

Comment se passe votre démarche afin de trouver des annonceurs ?

« Tout d’abord on contacte toutes sortes d’entreprises. Par exemple, si l’on entend que l’ISCPA fait sa publicité sur une autre radio concurrente, nous allons les contacter pour leur proposer d’acheter une campagne publicitaire sur notre radio. Bien sûr ceci ne reste qu’un exemple.
Nous restons une radio locale, quelquefois il peut nous arriver que ce soient les entreprises qui nous appellent. »

Sponsorisez vous de grands évènements locaux ?

« Bien sûr cela nous arrive ! L’année dernière nous étions sponsor du Rose Festival. Nous faisions gagner des entrées à l’antenne à nos auditeurs. Et durant le festival, Toulouse FM était visible sur les panneaux indicateurs et sur les fonds de scène du festival. Ce genre d’événement sont une belle opportunité pour nous d’être visible. »

Pouvons nous considérer la publicité comme un élément majeur au sein de la radio ?

« Oui évidemment c’est la principale source de revenus pour notre radio, sans cela nous ne serions pas là (ahah). Plus sérieusement, la publicité est une priorité absolue car nous avons un cahier des charges à respecter et aussi évident que cela puisse paraitre chaque pub diffusée doit correspondre avec le contrat à respecter les entreprises. »

Toute ces réponses montrent donc l’importance de la publicité au sein de la radio. Sachant que Toulouse FM est la première radio toulousaine qui peut être écouté dans un rayon de 40km autour de Toulouse.

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G2 ITW – L’avenir de La Dépêche, raconté par Philippe Bernard

G2 ITW – L’avenir de La Dépêche, raconté par Philippe Bernard

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Rencontre avec Philippe BERNARD, secrétaire général de la rédaction de la Dépêche du Midi, l’une des presses quotidiennes régionales les plus importantes de notre pays, afin d’en savoir plus sur l’avenir du groupe. 

Quels sont les principaux objectifs de la Dépêche ? 

“Notre objectif principal est de couvrir toute l’Occitanie pour cela nous avons plusieurs types de journalistes et pour la plupart ils sont assez polyvalent, sportifs, spécialistes des fait divers, de la culture et du spectacle, ou encore économie et santé. De plus nous avons aussi à peu près 1300 correspondants locaux de presse, dans les communes et les cantons, ce ne sont pas de vrais journalistes mais ils nous permettent d’avoir des informations dans leur localité.

Est-ce que pour vous, conquérir la jeune génération en fait partie ?

“Non, on ne cherche pas à cibler les jeunes car nous savons que ceux ne sont pas nos principaux lecteurs. Nous savons qu’actuellement le public qu’il faut qu’on essaie de sensibiliser ce sont plutôt les personnes entre 45 et 50 ans. Car actuellement l’âge moyen de notre public est de 75 ans.

Quelles sont vos perspectives quant à l’avenir de la Dépêche ?

“Actuellement, les temps sont durs dans la presse. Le coût du papier est plus cher et donc sa diffusion baisse, 1 jour il n’y aura plus de papiers, les kiosques disparaissent également. Notre nombre d’abonnés à l’heure actuelle est de 70 000 pour le journal papier et 15 000 pour le numérique, 70% de notre diffusion s’effectue grâce à eux. À long terme, notre objectif est de transformer les abonnements presse papier en abonnements presse numérique. Je pense que l’avenir de la presse écrite est la presse numérique, c’est notre seul espoir. 

Quels sont vos prochains axes de développement, les réseaux sociaux en font-ils partie ? 

“Non les réseaux sociaux ne sont pas un axe de développement pour nous car notre audience ne les utilise pas. Cependant, nous avons remarqué que les personnes qui arrivent sur nos articles c’est souvent grâce à Google Actu et non pas grâce aux réseaux sociaux.” 

ISCPA Toulouse – G2 – William TE WIERIK, Théo LOIZON, Meïssa DJAOUTI, Léna LAVIT-TERRAL, Clémence RIOT, Flavie DURO-FRANCO