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« Accompagner des moments de vie » : la stratégie du Crédit Agricole

« Accompagner des moments de vie » : la stratégie du Crédit Agricole

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De l’importance de l’accompagnement : La stratégie déployée par le Crédit Agricole afin de porter les projets de ses clients.

Comment favoriser l’inclusion numérique ? Quels moyens mis en place pour alléger l’empreinte carbone ? Telles sont les questions que se posent tous les jours le pôle communication du Crédit Agricole toulousain.  Sorte de « start-up » dans l’entreprise, cette petite équipe de sept personnes étudie les différents moyens de rendre « visible » leur banque, et ce sur de nombreux plans. Mais plus qu’une question de visibilité, c’est avant tout sur la problématique de l’accompagnement que se joue la partie, comme en témoigne Cécile Lehoux, chargée de la communication digitale du groupe : « Nous souhaitons avant tout accompagner des moments de vie ».

Déployant un panel d’offres diverses, le Crédit Agricole est ainsi en mesure de proposer des aides au changement de voiture, ou encore à l’implantation de panneaux photovoltaïques. Si ce virage est avant tout une prise de conscience générale des banques, le Crédit Agricole se veut être le plus compétitif, ancrant son agence dans une dynamique régionale. S’épanchant sur des problématiques numériques, écologiques ou encore générationnelles, la force de ce groupe réside dans sa capacité à jouer sur de nombreux tableaux. Ainsi, des offres d’accompagnement sont mises à disposition des jeunes afin d’ouvrir leur premier compte en banque, de même que des formations sur le numérique sont proposées aux plus âgés, désireux de réduire la fracture numérique. Le Crédit Agricole s’immerge réellement dans la vie de ses clients.

Une banque tournée vers demain

La banque souhaite en effet également assurer l’avenir de ses clients. C’est ainsi qu’elle va par exemple mettre en place des tremplins musicaux, ou encore des programmes tels que “le sport comme école de vie”. L’un va permettre une visibilité nouvelle à des artistes régionaux, l’autre éduquer et professionnaliser des dizaines de jeunes au cœur de leur passion.  

La jeunesse n’est cependant pas la seule bénéficiaire des accompagnements d’avenir. C’est pourquoi elle a fait le choix de placer ces dernières années un budget de plus de 500 000€ sur la préservation d’agences en zone rurales, qui sont petits à petits écrasées et délaissées par l’étalement urbain. Le climat est aussi un cheval de bataille très actuel. Elle s’y engage par l’intermédiaire de campagnes de communication importantes ou de financements associatifs. Le Crédit Agricole ne veut donc pas seulement agir dans la vie de sa clientèle, mais également dans son futur.  

Bien entendu, ces actions ne sont pas pour du bénévolat, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’une banque. Malgré tout, il apparaît que tous les acteurs de ces processus sont gagnants. L’entreprise va bénéficier d’une forte visibilité, une amélioration de son image et une fidélisation des clients. En contrepartie, les villes et les habitants vont posséder un acteur économique important dans leurs projets.

Retrouvez notre expérience d’un jour en vidéo :

Groupe G6 : Justine Cazaux, Léa Duvaleix, Coralie Nzue Nzengue, Lucas Laberenne, Vincent Pellegrino, Virgile Guilhamet

 

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Ni EDF, ni ERDF mais ENEDIS ! 

Ni EDF, ni ERDF mais ENEDIS ! 

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Le Mardi 24 Septembre, les étudiants de l’ISCPA ont eu l’opportunité de rencontrer Célia Autet et Marie Lubin, respectivement directrice de cabinet et de la communication, et chargée de communication au sein de la filiale du groupe EDF : Enedis. 

ENEDIS : Energie et Distribution

Enedis, anciennement ERDF est une société filiale du groupe EDF, sa mission principale est la distribution de l’énergie dans chaque foyer. En revanche, elle ne fait pas partie de la longue liste des fournisseurs que nous connaissons en France, comme Direct Energie, Total, Engie..

Enedis assure une mission de service public, en garantissant les développements et la modernisation du réseau électrique, en fournissant des dépannages 24h/24. Enedis se charge également des raccordements ainsi que des relevés des compteurs.

En somme, la mission d’Enedis est d’assurer la gestion et l’exploitation des réseaux électriques de distribution sur l’ensemble du territoire à tous les usagers quels que soient leurs fournisseurs.

Un parcours atypique

Célia Autet que nous avons rencontrée est en charge du pôle communication de l’entreprise depuis maintenant 3 ans.

Sa formation initiale est dans le domaine scientifique, plus précisément la biologie; nous sommes bien loin de la communication et du management.

Cependant, cette formation bien que spécifique n’a pas freiné Célia Autet dans l’évolution de sa carrière. Elle a été responsable d’agences clientèles pour ensuite devenir responsable des ressources humaines au sein du groupe EDH et est aujourd’hui directrice de cabinet et de communication chez la filiale du groupe. Elle explique avoir fait des formations internes et avoir eu plusieurs expériences dans différents corps de métier lui permettant d’avoir aujourd’hui cette faculté à être « multi-tâches ».

Cette rencontre nous a permis en tant qu’étudiant de constater la diversité des parcours qui peuvent conduire aux métiers qu’offre la communication.

En effet, la communication ce n’est pas seulement séduire pour vendre un produit, c’est aussi informer et diffuser. Et la mission de Célia c’est surtout montrer au grand public qu’Enedis, malgré qu’il soit méconnu du grand public est bien souvent au plus près de chez eux.

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La Région Occitanie et ses objectifs

La Région Occitanie et ses objectifs

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Les étudiants de l’ISCPA, ont eu le privilège le lundi 23 septembre 2019, de pénétrer au Conseil régional aux cotés de ses acteurs principaux afin d’en comprendre les enjeux et les missions.

En août 2015, est adoptée la loi « NOTRe », loi portant sur la nouvelle organisation territoriale de la République. Cette réorganisation confie de nouvelles compétences aux régions et vise à renforcer leurs compétences.

Le conseil régional de la région Occitanie émerge en 2016 suite à l’adoption de cette loi.

Pour donner naissance à celle que l’on connait aujourd’hui sous le nom de « Région Occitanie », fusionnent le Languedoc-Roussillon et les Midi-Pyrénées.

« La Région construit, entretient et fait fonctionner »

Avec la fusion des deux régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, la région Occitanie a désormais une superficie importante qui s’étend à plus de 72 000 km2, mais également un poids démographique conséquent avec une population d’environ 5 millions d’habitants.

Quand on sait que parmi ces 5 millions d’habitants, 1/3 a moins de 25 ans, on comprend aisément l’importance de la question de la jeunesse et de l’éducation dans la région.

Dominique Satge, Conseillère régionale et membre des commissions, revient sur les moyens mis en oeuvre par la région pour conserver une place prioritaire à l’enseignement et à la jeunesse.

Sur l’ensemble de la région est prévue la construction de 10 nouveaux lycées, 6 ont déjà été construits.

Au delà du bâtiment, la Région dispose de différents dispositifs afin d’intervenir aux cotés des jeunes, le plus connu d’entre eux est la carte jeune. Ce support numérique réunit de nombreuses aides financières pour faciliter l’accès à l’éducation avec par exemple, des manuels scolaires gratuit, des ordinateurs portables gratuits, des aides à la lecture ainsi que des aides pour un accès aux transports.

La Région se mobilise également au niveau de l’aménagement du territoire, c’est à dire l’aide aux communes et aux communautés d’agglomération afin de construire les infrastructures dont elles ont besoin. À ce sujet, la présidente Carole Delga est particulièrement attentive à l’égalité des territoires, il faut donner plus aux espaces les moins favorisés comme les zones rurales ou montagneuses.

Maintenir une proximité malgré la grandeur d’un territoire, possible ?

La Région s’attèle à maintenir la proximité avec les autres collectivités locales mais aussi avec les citoyens. Pour ce faire, la Région s’est « installée » avec une « Maison de la Région » dans tous les départements, qui est un point d’accès pour les acteurs économiques mais aussi pour l’ensemble des citoyens qui ont un accès direct avec les services de la Région.

La Région agit également pour le développement économique des TPE et PME en leur accordant des aides financières.

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TFC, entre innovation et histoire 

TFC, entre innovation et histoire 

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Le Mardi 17 septembre 2019, les étudiants de l’ISCPA ont pu pénétrer les coulisses de l’illustre stadium de Toulouse, le TFC. La plus grande enceinte sportive de la ville comptabilise sept groupes de fervents supporters depuis près de 40 ans. Le TFC a également été témoin de nombreux changements en son sein. 

Le TFC, fondé en 1937 est implanté depuis 1970 dans l’enceinte du stadium comprenant 32500 places et a connu de nombreuses améliorations.

Tout d’abord, au niveau de la pelouse avec l’installation de souffleries situées tout autour du terrain il y a 3 ans afin de maintenir une température idéale et favoriser la pousse de la pelouse.

Egalement un travail de luminothérapie a été mis en place pour les parties à l’ombre afin de conserver un état irréprochable sur tout le terrain. Ces avancées ont alors permis au club une reconnaissance national par rapport à la qualité de sa pelouse.

De plus, le TFC dispose de plusieurs espaces rénovés pour y accueillir les visiteurs et les 500 entreprises partenaires dont les principales sont affichés dans l’enceinte du stadium. Au dernier étage se situe l’espace presse accessible aux journalistes et aux chaînes de télévisions afin de retransmettre et retranscrire les rencontres. De nombreuses loges dont celle du président du club offrent  une vue imparable sur le stade et donc un autre regard sur les matchs.  Grâce à ces espaces privés, les nouveaux clients ou ceux en devenir seront certains de vivre un en nouvelle expérience.

T.F.C, Toujours Fidèles au Club

Ce stade à la pointe de la technologie est également chargé de l’histoire du club toulousain.

Impossible par exemple, de rater le 11 de légendes affiché aux murs du vestiaires. Y sont représentés de grands grands joueurs tel que Fabien Barthez, Wissam Ben Yedder ou encore André-Pierre Gignac. Il faut savoir également que ce « 11 » a été choisit par les supporters lors d’un vote organisés par le club.

Cette proximité entre les supporters et les joueurs, entretenue par le club depuis dès années lui confèrent une telle fidélité auprès du grand public.

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Carrière au TFC, la réalisation d’une passion

Carrière au TFC, la réalisation d’une passion

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Boris Laffargue est arrivé en 2003 au sein du TFC et est aujourd’hui en charge du développement de la marque.  Pour Boris, responsable marketing au TFC, il exerce un  « métier-passion ».  En effet, il a construit sa carrière en mêlant les deux domaines qu’il affectionne le plus : le sport et les outils de la communication.

Il obtient effectivement son DUT en communication en 2000, à l’IUT Communication de Toulouse. Au cours de ses deux années de formation il est convaincu que cette voie est celle qu’il doit emprunter pour dessiner son avenir professionnel.

Plus tard, il poursuivra sa formation en se focalisant sur le sport, en passant même par l’obtention d’un diplôme d’Etat lui conférant le titre d’entraineur sportif. Cependant, ce n’était pas la carrière à laquelle il se prédestinait et a donc choisi en 2003, d’intégrer le Mécénat du TFC qui se présente comme une fondation permettant de présenter plusieurs programmes dédiés à différentes actions comme le « TFC Lab » ou le « TFC Kids ». Il y a fait ses « preuves » pour ensuite évoluer au sein de ce club historique.

Un métier en perpétuelle évolution

En effet, 3 ans après son arrivée il a occupé le poste de Responsable Médias Digitaux dont les missions principales s’articulaient autour du développement des outils de communication officiels du TFC, l’optimisation de la qualité des contenus produits, l’augmentation de l’audience sur les supports et enfin la monétisation de cette nouvelle audience (ex : web TV). Et depuis l’année 2011, il occupe le poste de Responsable Marketing et Médias dont la mission principale est le développement de toutes les recettes sportives.

Il s’intéresse également aux temps forts de la saison afin de déterminer la ou les période(s) idéale(s) pour la réalisation d’une opération. En années cumulées, on obtient un total de 16 ans au sein de la structure emblématique toulousaine.

On comprend alors aisément que passion, patience et dévouement sont les maîtres mots pour assurer une évolution aussi impressionnante que celle de Boris Laffargue dans les métiers de la communication.

 

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Le TFC : du monde dans les tribunes… numériques !

Le TFC : du monde dans les tribunes… numériques !

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Soucieux de son public, le TFC surfe sur la vague des réseaux sociaux pour le plus grand plaisir de ses supporters. Twitter , Facebook , Instagram et bien d’autres sont en effet les moyens de communication privilégiés de ce club précurseur ayant senti l’explosion du digital dans la communication.

En effet le club cumule à lui seul des centaines de milliers de followers . La majorité sont sur les réseaux sociaux et cela depuis 1983

« La question du jour », posé aux supporters sur Facebook  prouve l’engagement du club envers les fans.

 « Nous sommes les n°1 »

Boris Laffargue , responsable marketing de TFC nous a confié que le club fut le premier à atteindre les 100 000 followers sur Twitter.

La FIFA a nommé le club en violet 7ème club formateur au monde en terme de jeunes recrues – futurs professionnels .

Audi, Volkswagen et d’autres sponsorisent le club et permettent des offres de parrainages pour le plus grand bonheur du douzième Homme.

https://twitter.com/borislaffargue/status/1171125788600651776

Le club offre aussi un accès pour laisser s’exprimer ses fans ! 

Depuis 1983, les supporters s’organisent eux aussi  en club pour marcher aux côtés du TFC. « Supporters des violets » fut le premier à voir le jour en 1983 , ils possèdent même une page Facebook !

Le TFC, une grande famille

Le respect et la compassion sont primordiaux au sein de ce club. L’exemple le plus marquant est celui de Brice Taton :

2009, Brice Taton, grand supporter du TFC  fut violemment agressé le 17 septembre à Belgrade, il trouva la mort suite à ses blessures. 

Le club ne le laissa pas tomber et lui  fit le privilège d’écrire son nom sur les bâches du stadium. 

Les Valeurs du club sont aussi fondamentales. Si l’ami supporter publie un tweet ou bien s’exprime de façon raciste sur les réseaux sociaux ou en public, il se verra banni.

Reste maintenant au club à faire passer ses supporters numériques de l’écran aux tribunes.

 

G8 : Fanny Gayraud, Audrey Fosse, Louane Jean, Thomas Duran, Hugo Martin

 

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Une NRJ débordante !

Une NRJ débordante !

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Dans la journée du Jeudi 19 Septembre, Stéphane Camin et Charlène Lopez-Velasco, journaliste et chef de publicité chez NRJ, ont présenté aux étudiants de première année de Journalisme et de Communication les dessous de leurs métiers et l’esprit d’entreprise. 

La radio privée NRJ anciennement « Nouvelle Radio Jeune » a su depuis 1981 s’imposer parmi les groupes privés les plus influents en France. On comprend le succès de la radio quand on est face à des professionnels qui font vivre l’entité grâce à leur passion. 

C’est le cas notamment de Stéphane Camin, journaliste radio chez le groupe NRJ depuis bien 23 ans, dont l’énergie n’a pas pris une ride. 

Souriant et dynamique, c’est à travers le conte de ses expériences que Stéphane Camin transmet l’amour qu’il a pour son métier, qui exige un rythme de vie effréné mais garantit des rencontres uniques. 

En effet, le journaliste radio se lève chaque matin aux aurores (4 heures du matin !) pour rejoindre le studio radio, sélectionner les informations qu’il souhaite mettre en lumière, et les réécrire pour les rendre à la fois concises et intéressantes. Le public auquel il s’adresse se situe entre 15 et 35 ans, l’information se doit alors d’être captivante. 

Lorsqu’il passe à l’antenne, il n’y est que pour 2 minutes et 50 secondes, et ne doit pas se trouver en dehors de ce champ. 

Toutes ses interventions se font en direct, alors pas droit à l’erreur ! 

Quand sa matinée d’information est terminée, il entame une autre partie de son métier, celle de reporter donc il se rend sur le terrain pour récolter témoignages et informations.  

« Quand on entend « NRJ » on pense radio. Radio oui, mais pas uniquement.» 

Charlène Lopez-Velasco, chef de publicité au sein de la régie publicitaire locale du groupe NRJ l’explique très bien. 

Les techniques de communication locale de la régie du groupe NRJ ne se concentrent pas toutes autour de la radio. 

La mission principale du chef de publicité est d’entendre les besoins de son client et d’établir par la suite une stratégie commerciale adaptée à ceux-ci. Les supports publicitaires pour répondre aux demandes des clients sont divers. Peuvent être utilisés : des liens sponsorisés, la promotion des ventes, la création d’évènements parallèles, l’animation de points de vente et également des passages publicitaires en radio. 

NRJ Global Régions proposent à la fois des solutions nationales et régionales, et ces solutions peuvent être digitales, évènementielles ou en radio c’est au chef de publicité de déterminer quels outils utiliser ou même combiner pour la réussite du projet de son annonceur. Le chef de publicité doit porter la casquette de démarcheur, de commercial mais aussi de conseiller, puisqu’il accompagne son client du début à la fin de sa campagne mais même après la fin de celle-ci afin de garantir. 

Catégories Annonceur
Nicolas Fouin, innovateur digital

Nicolas Fouin, innovateur digital

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Diplômé de l’Icam, une école d’ingénieurs , Nicolas Fouin est depuis quatre ans responsable de la Mobile Factory à Toulouse, société spécialisée dans la création d’applications. Passionné par son métier, ce dernier a su grimper les échelons et faire de la Mobile Factory une Start up française reconnue par les plus grands.

« Les applications mobiles doivent être sexy » insiste Nicolas Fouin. L’objectif est de rendre l’application simple d’utilisation et agréable visuellement. Par son utilisation, le client doit également constater le développement de son business. Avec Airbus comme premier client, la Start-up a réalisé une dizaine d’applications permettant aux salariés d’augmenter leur productivité. En effet, la création de « Ok Airbus » permet aux ouvriers de bénéficier d’une assistance vocale. Celle-ci leur indique le planning à suivre en temps et en heure sans besoin d’interrompre leur travail. Bien que le respect de l’avis des clients reste, pour Nicolas Fouin, primordial, il se permet quelques fois de les convaincre de s’ouvrir à de nouveaux projets. C’est par ailleurs ce que souligne la devise de la société : « We work for our People and we deliver Experiences for our Customers ». Comme le démontre le slogan, la plupart des projets sont réalisés en anglais afin que l’entreprise puisse ouvrir son spectre à l’international.

Les coulisses de la conception

L’équipe utilise une méthode innovante afin de cerner au mieux les attentes de ses clients. Ainsi elle se fond le plus possible dans le quotidien de ces derniers. Grâce à ce jeu d’interviews, les collaborateurs de la Mobile Factory se rendent mieux compte des besoins de chaque utilisateur. En effet, que ce soit pour B for Bank ou Thales Alenia Space, les enjeux demeurent différents.
Après cette immersion dans l’entreprise, vient la réalisation de la maquette. Suite à cela et à l’approbation de la société, le lourd travail de codage débute. C’est une méthodologie qui doit être suivie à la lettre car l’élaboration de l’application s’échelonne sur plusieurs semaines et se découpe en cycles. Les équipes se doivent donc d’être efficaces dans sa conception. Le client voit ainsi les avancées régulières du projet et peut, à tout moment, souhaiter que des changements soient faits lorsque l’idée initiale lui semble quelque peu perdue…

G1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane

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La Dépêche : plus qu’un journal, une industrie

La Dépêche : plus qu’un journal, une industrie

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Paru pour la première fois le 2 octobre 1870, le journal la Dépêche, groupe de presse français situé à Toulouse fêtera l’an prochain ses 150 ans. Journal quotidien et indépendant, ce dernier couvre l’actualité au niveau régional mais aussi national et international.

A ses débuts, ce journal donnait des nouvelles du front durant la guerre de 1870 contre la Prusse. En 1925, il est reprit par la famille Baylet et devient une entreprise familiale. Au fil des années, la Dépêche a su s’adapter aux nouvelles technologies, notamment avec l’arrivée du digital et s’engager dans un changement papier/web obligatoire. Cependant, dans cette entreprise, le papier reste un élément clé auquel on reste attaché. « J’aimais bien le papier et son rythme » nous dit Sébastien Marcelle, désormais… responsable web. La dépêche a à coeur de garder ce quotidien authentique, avec un support papier disposant d’une odeur et d’un bruit unique, accessible et compréhensif de tous.

« Un journal, ce ne sont pas que des journalistes, c’est aussi une énorme usine »

Une fois l’information traitée, vient le moment de l’impression sur ce support si attachant, le papier. C’est toute nuit qui est nécessaire à la publication du journal, afin qu’il soit distribué dans les points presse, dès l’aube. Tout commence par l’heure de bouclage de la rédaction d’articles aux alentours de 22h30. Ensuite se mettent alors au travail les ouvriers du livre. Certains sont en charge de récupérer les plaques en aluminium sur lesquelles les textes sont gravés, lorsque techniquement la page est prête, pour ensuite les fixées aux rotatives. Pendant que d’autres, à l’étage inférieur, vérifient les cent premiers exemplaires, pour s’assurer que la photo ne soit pas floue par exemple. Lorsqu’un lecteur achète la Dépêche, il ne voit que l’information présente sur le papier. Il n’imagine pas tout le travail d’impression qu’il y a derrière. « Ça boucle le côté industriel car derrière un grand nombre d’ouvriers sont mobilisés » insiste Sébastien Marcelle. Et enfin, une fois tous les journaux imprimés, ils sont regroupés par paquets de cinquante et sont envoyés aux différents abonnés et points presse. Ainsi quotidiennement ce sont plus de 250.000 journaux qui sont distribués dans 10 départements.

G1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane