Catégories Institution
Fanny Thevenoud, communicante engagée pour sa région

Fanny Thevenoud, communicante engagée pour sa région

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Rencontre avec Fanny Thevenoud, directrice adjointe de la communication en charge du pôle info-presse au sein de la région Occitanie / Pyrénées Méditerranée. Pour une région comme l’Occitanie, possédant autant de ressources, le secteur de la communication travaille pour attirer de nouveaux touristes et investisseurs et ainsi permettre son développement, c’est le marketing territorial.

Fanny Thevenoud est en charge de la relation avec les médias et de la gestion des réseaux sociaux. Au service de la région depuis plus de dix ans, elle a débuté en tant qu’attachée de presse. Son implication son expérience lui ont permis d’être promue au poste de responsable du service presse en octobre 2015. Elle s’occupe, entre autres, de valoriser les initiatives citoyennes récoltées au moyen de consultations. Fanny utilise alors l’exemple du sujet climatique et explique que chaque citoyen peut soumettre un projet. Suite à un vote en ligne, ce projet peut obtenir une subvention de la Région. Depuis janvier 2017, elle est également directrice adjointe de la communication en charge du pôle information. Son équipe s’emploie a communiquer autour des élus régionaux et des initiatives. De plus, Fanny gère les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Instagram) de la région et répond aux questions des internautes.

« Une fusion dure à porter »

Depuis le premier janvier 2016 et la loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République), les anciennes régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ont fusionnées. La réussite de cette transition a nécessité une charge de travail supplémentaire de la part de tous les fonctionnaires régionaux. « J’ai l’impression de travailler pour un Etat. », confie Fanny Thevenoud. Avec une superficie supérieure à 13 pays européens, l’étendue et la diversité du territoire demandent un travail plus conséquent. La principale difficulté est de mettre en relation tous les acteurs. «Il ne faut pas compter ses heures, de plus, les réseaux sociaux ne s’arrêtent pas le weekend. » plaisante-t-elle. Plus de trois ans après la fusion, Fanny estime que la transition est une réussite et se dit fière d’y avoir contribué. Cependant, la gestion de la communication autour d’un si grand territoire demandera toujours autant d’investissement.

Groupe 1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane

Catégories Media
Sébastien Marcelle : entre passion du web et amour du papier

Sébastien Marcelle : entre passion du web et amour du papier

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Journaliste généraliste depuis 2003 au sein de La Dépêche du Midi, Sébastien Marcelle a connu, et connaît encore, la pénible et progressive transition de l’imprimé vers le numérique. Aujourd’hui uniquement tourné vers la partie web du quotidien, il reste pourtant un fervent défenseur du traditionnel journal papier, chaque jour plus menacé par l’expansion d’Internet.

« Qui, parmi vous, achète tous les jours des journaux en kiosque ? ». C’est la question qui installe immédiatement la gêne. D’ailleurs, parmi le groupe d’étudiants que reçoit Sébastien Marcelle, aucun ne lève la main. Même si la réponse ne semble pas l’étonner, on peut sentir une sorte de désolation dans son regard. En regardant cette future génération de journalistes, il paraît savoir qu’elle ne connaîtra pas l’engouement de la lecture d’un journal qui a été entièrement travaillé, depuis sa conception jusqu’à sa production.

C’est avec une certaine pointe de nostalgie, donc, que le journaliste parle de l’époque où il écrivait pour la version physique du quotidien. « Ce qui me plaisait dans ce métier, c’était que je fabriquais un produit. » Mais c’est surtout son rythme de travail qui a changé. Depuis qu’il travaille dans la section web de La Dépêche, il est constamment sur le qui-vive. Son rôle ne se limite plus, comme auparavant, à simplement rédiger un ou deux articles par jour. Désormais, tous ses papiers doivent être actualisés à mesure que les événements progressent, afin de garantir la fraîcheur de l’information proposée.

« J’avoue ne plus trop savoir sur quel pied danser »

Sébastien Marcelle confie pourtant qu’il utilise très souvent la technologie, même en dehors de ses horaires de travail. Dans les transports en commun aux heures de pointes, pendant ses heures de pause ou le soir chez lui, il consulte régulièrement les articles publiés sur le net, au point que la lecture d’un journal papier soit devenue chose rare.

Toute la journée, d’ailleurs, il est l’un de ceux qui rédigent les articles qui seront publiés sur le site internet et les réseaux sociaux de La Dépêche. La toile lui est semblable à une encyclopédie gigantesque, qui accumule une quantité énorme d’informations, mises à jour en temps réel. Pour lui, l’outil est devenu indispensable, d’autant qu’il permet aux rédactions de se faire une idée de la quantité, de la provenance et des centres d’intérêt de leur lectorat.

Groupe 3 : Thomas ANDRÉ, Kessy SOULAT, Enora LE LOUARN, Salomé COUREAU, Luce RICHARDOT, Mathis FESSARD

Catégories Media
Sébastien Marcelle, journaliste atypique

Sébastien Marcelle, journaliste atypique

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Aujourd’hui responsable web au sein de la rédaction de la Dépêche du midi à Toulouse, Sébastien Marcelle évoque sa passion pour le journalisme. Et met le doigt sur les changements qu’il a vécu dans ce merveilleux métier .

L’histoire de Sébastien est atypique. Elle est celle d’un garçon fraîchement diplômé en agronomie qui en voyant une annonce de stage de journaliste agricole se lance dans une aventure inconnue. Mais ce n’est pas vraiment par hasard, puisqu’il a toujours aimé le monde des médias. Durant ses jeunes années, il lisait beaucoup de journaux et écoutait la radio. Ce stage fut donc pour le jeune homme une vraie révélation. Il dit lui-même “On était un peu payé pour se balader, raconter ce qu’on voyait et rencontrer des gens ce qui n’était pas le plus déplaisant ». Après cette découverte, direction Montpellier et un master en journalisme scientifique. Puis comme tous futurs journalistes, Sébastien réalise de multiples piges pendant 1 an pour des journaux scientifiques et agricoles. Mais il est vite rattrapé par son envie d’actualité et veut se tourner vers le journalisme généraliste. Pris de passion pour ce métier après différents stages réalisés en agence, presse et radio, Sébastien travaille à la Dépêche depuis 2003. Depuis 16 ans, il a beaucoup voyagé géographiquement parlant, de Montauban à Auch en passant par Castres. Ce journal régional lui a permis d’enrichir sa formation en parcourant de nombreuses rédactions. Ce parcours aussi atypique que formateur continue, ici, dans les locaux de la Dépêche du midi à Toulouse où il est désormais responsable web.

“A la fois étendard depuis 150 ans et en même temps un peu boulet …”

Issu d’une génération plutôt basée sur la presse, Sébastien a vécu le changement papier/web au plus près de l’action. Il a néanmoins pu s’adapter rapidement car Sébastien fait partie d’une génération assez à l’aise avec l’informatique. A tel point qu’aujourd’hui il est en charge d’évangéliser les plus anciens. Il explique, martèle, presque au quotidien l’importance du web aujourd’hui pour un journal tel que la Dépêche. Pour lui “le web a quelque chose de très excitant, on est toujours les doigts dans la prise” comme le dit l’expression mais qui peut aussi “être fatigant et  donner le tournis.” Ici à la Dépêche, le journal représente un coût monstrueux. Cela rapporte très peu par rapport à son coût de production et peut donc presque paraître comme un lourd boulet à tirer. Pour Sébastien il y aura toujours cette pointe de nostalgie en abordant le sujet de la presse écrite. Ce qui était pour lui “la fabrication d’un produit” a aujourd’hui évolué. Il faut aller plus vite, toujours publier pour plaire au plus grand nombre. Mais ce changement était très intéressant à vivre car Sébastien a réellement pris en compte deux manières de travailler différentes.

Groupe 2 : Sarah – Carla – Roamin – Elioth – Yohan

Catégories Institution
Une communication au service de son patrimoine

Une communication au service de son patrimoine

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Depuis la fusion en 2016 entre les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, la nouvelle région Occitanie, s’évertue à promouvoir son patrimoine par le biais d’une communication importante.

L’Occitanie, deuxième plus grande région de France possède de nombreuses caractéristiques qui font d’elle l’une, si ce n’est la région, la plus attractive du territoire français. D’une très grande superficie elle regorge de monuments et son poids démographique déjà très important ne cesse de croitre puisque chaque année elle attire 58 000 nouveaux habitants. Étant la première région dans le taux de création d’entreprises et dans la recherche avec près de 30000 chercheurs, elle dispose d’un dynamisme non négligeable incarné par la jeunesse de ses citoyens. En effet, un tiers des habitants de notre chère région a 25 ans ou moins ce qui positionne l’éducation comme le 1er poste d’investissement régional.  Mais ce qui fait la particularité de l’Occitanie c’est la diversité de son héritage. Comme le révèle l’UNESCO6 monuments Occitans sont classés dans la liste du patrimoine à protéger. 

Objectif ? Devenir une région du top 10 européen !

Pour promouvoir le patrimoine de la région, le conseil régional possède un pôle information qui gère les relations avec la presse, mais aussi les réseaux sociaux et les actualités sur le site web. En ce qui concerne l’évolution des moyens de communication, la région Occitanie gère parfaitement ces nouveaux outils. Sa ligne éditoriale repose sur une temporalité plus rapide, avec une actualité plus directe, et un ton plus léger que l’actualité institutionnelle. Cette information a pour but de valoriser les citoyens, mais surtout le territoire afin d’augmenter le tourisme par le biais de vidéos promotionnelles. L’idéal pour la région n’étant pas un tourisme de masse mais bien de qualité pour préserver l’environnement et ainsi s’inscrire dans la durée.

Ce pôle édite également un magazine, avec un format à temporalité plus longue. Ecrit par des journalistes il valorise la région et ses habitants, avec des portraits et des articles qui décryptent de manière plus approfondie les sujets. Ces deux formes de communication ne s’adressent pas au même public. Alors que les réseaux sociaux sont conçus pour un public plus jeune et connecté, le magazine, distribué dans 2,9 millions de boîtes aux lettres, s’adresse à tous et notamment aux populations plus âgées. 

L’ambition : depuis la fusion, l’Occitanie met tout en œuvre pour promouvoir son « nouveau » territoire et ainsi se créer une identité propre née du mariage de deux régions historiquement distinctes. 

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

Catégories Annonceur
Nicolas Fouin, au service du digital

Nicolas Fouin, au service du digital

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Sopra Steria est une entreprise française de services du numérique et est le leader européen de la transformation digitale. L’entreprise se situe à Colomiers. Les  apprentis journalistes de l’ISCPA Toulouse ont ainsi pu échanger avec Nicolas Fouin, le responsable de Mobile Factory.

Nicolas Fouin a effectué une prépa pour intégrer l’école d’ingenieur ICAM (Institut Catholique d’Arts et Métiers) où il s’est formé sur un cursus de 5 années. Puis il a rejoint Sopra Steria en tant que stagiaire sur la technologie SAP, un logiciel qui a pour but de contrôler toutes les grandes fonctions de l’entreprise. Durant son stage, il a été chargé d’encadrer des ingénieurs indiens en faisant du codage afin de les aider. Tous ses efforts ont payés, puisqu’il est aujourd’hui à la tête de Mobile Factory depuis 4 ans.

Nicolas Fouin souhaite élaborer des «super projets »

Cependant son poste est exigeant. L’entreprise a développé des applications de banques (Be for bank, présente seulement en ligne) ainsi que des applications pour faciliter la façon de travailler d’ Airbus. Ainsi, il n’a pas le droit à l’erreur sous peine de perdre ses « gros » clients.  L’ingénieur est spécialisé dans les applications mobiles. Pour cela,  lui et ses coéquipiers se doivent d’avoir la capacité d’augmenter leur bagage technique. Il s’agit alors d’utiliser au maximum les nouvelles technologies, comme la X-réalité par exemple. En effet dans l’entreprise, Nicolas Fouin et ses collaborateurs consacrent 20% de leur temps à la veille ou encore à la Recherche et Développement.

En plus de ces efforts, il doit s’atteler au recrutement. Le digital manque de main d’œuvre. D’après ses propros, « il y a une pénurie sur le marché de l’ingénieurie informatique ». De plus, être ingénieur chez Sopra Steria, c’est également convaincre les clients et savoir gagner des contrats (perte d’argent sur un projet en vue de bénéfice sur le prochain). Une aisance orale est également requise. Pour cela, les employés peuvent solliciter un coach afin de développer leur posture de consultant. Cela aide à remporter plus facilement de futurs contrats.

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

Catégories Media
Pascal Pallas : dans la peau d’un rédacteur en chef

Pascal Pallas : dans la peau d’un rédacteur en chef

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Pascal Pallas est un parangon de dévotion. Journaliste de métier devenu rédacteur en chef, il officie depuis janvier 2015 à Actu Toulouse. Pédagogue, il détaille son parcours atypique, les multiples facettes de son poste et les défis auxquels le média qu’il dirige est confronté au quotidien.

Sans langue de bois, Pascal Pallas se qualifie lui-même de « très mauvais exemple ». En effet son parcours est inhabituel puisqu’il n’a jamais intégré d’école de journalisme. Pourtant il est aujourd’hui rédacteur en chef d’Actu Toulouse, un média jeune mais qui fait déjà figure de référence dans l’actualité locale de la Ville rose.

Pascal Pallas se rappelle de sa formation qui a débuté sur les bancs du collège durant « un stage, à 14 ans » qui lui a beaucoup plu. À partir de ce moment-là il s’est destiné à être journaliste, multipliant les piges dans « un quotidien local » et officiant « en correspondance en parallèle de (s)es études ».

« Aujourd’hui je n’écris quasiment plus »

De son propre aveu, le métier de journaliste a toujours été « une vocation ». Pourtant c’est aujourd’hui en tant que rédacteur en chef qu’officie Pascal Pallas. Bien loin de l’image d’Épinal que l’on peut se faire de ce métier, il explique qu’il est davantage un gestionnaire. Son but est de parvenir à « animer son équipe pour arriver à faire fonctionner son titre ».

Ainsi tous les jours, Pascal Pallas est confronté à de multiples difficultés. Un rédacteur en chef est en première ligne lorsque des lecteurs ont des remontrances à faire, « hier j’ai du gérer deux demandes de retrait d’article sur le web ! » s’exclame-t-il. Fidéliser un public dans le monde médiatique à l’ère des réseaux sociaux est essentiel. Pascal Pallas veille donc, chaque jour, à « faire en sorte que son équipe continue d’intéresser son lecteur ». Un travail prenant donc, même pour un passionné, mais captivant.

Faire vite, mais toujours bien

Un média comme Actu Toulouse fonctionne avant tout grâce à sa couverture quotidienne de l’actualité locale et régionale. Les réseaux sociaux ayant été un moteur de développement, il a fallu s’adapter à une nouvelle manière de traiter l’information. Il faut fournir beaucoup, continuellement, et ne rien omettre pour séduire le lectorat.

Pour autant, d’après Pascal Pallas « l’information doit prévaloir sur tout le reste ». La couverture de l’actualité parfois brûlante ne doit pas se faire au détriment de la véracité des faits. Comme il le dit si bien, être rédacteur en chef « c’est de la volonté », mais aussi beaucoup de passion. À mi-chemin entre les postes de community manager et de chef d’équipe, Pascal Pallas n’en demeure pas moins un journaliste passionné, ce qu’il a au fond toujours voulu être.

Groupe 5 ISCPA Toulouse : Léana, Loane, Liselotte, Enzo, Dorian et Jade

Catégories Annonceur
Le Crédit Agricole : une communication audacieuse

Le Crédit Agricole : une communication audacieuse

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Banque nationale depuis 1894, le Crédit Agricole entretient une relation de proximité avec ses clients. Ils se tournent ainsi vers les nouvelles technologies tout en conservant un lien traditionnel avec ses
fidèles mais aussi ses futurs clients.

Grâce à l’innovation de la technologie, les réseaux sociaux ont pris une grande place dans le service communication du Crédit Agricole. Cette entreprise comporte 40 Community Manager dans chaque région de France, ce qui est une de leur force majeure.

Afin d’obtenir des informations, un robot a été mis en place sur le site internet du Crédit Agricole. Dans certaines agences, un autre robot avait été mis à disposition des clients lors de leur arrivées. Un moyen technologique crée dans le but de tenir les clients de la banque informés.

Une appli jeune a été crée pour que la banque puisse être proche de ses jeunes clients, afin de répondre plus facilement à d’éventuelles questions.

Différentes stratégies pour chaque réseau social

Développer le capital sympathie est un de leur but principal. Différentes stratégies de communication sont utilisées pour chaque réseau social. Facebook est le théâtre de jeux-concours et de posts sur l’actualité régionale. Sur Instagram et Snapchat, l’audience est limitée à un jeune public alors que sur Twitter, la partie communication est beaucoup plus concentrée sur le contact professionnel. La communication y est plus institutionnelle.

Un système est utilisé afin d’accéder au nombre d’interactions sur chaque réseau social, ce compte rendu est par la suite redirigé vers les supérieurs afin de leur faire comprendre l’influence des réseaux sociaux grâce à des chiffres concrets.

Une communication plus « traditionnelle »

Présent sur plusieurs événements, le Crédit Agricole permet aux start-ups mais également aux entreprises d’avoir une visibilité plus grande. La Tubecon et Le Bikini en sont des exemples. « Le village » et « Les cafés de la création » sont des créations locales du Crédit Agricole, élément essentiel à la relation client. Cela leur permet de développer la marque employeur et de fidéliser les clients. Des événements internes sont mis en place comme des inaugurations regroupant partenaires et clients. Des stands, des plaquettes, des flyers mais bien plus encore sont les atouts principaux d’une communication entre les clients potentiels et cette banque.

Un développement pour une meilleure relation client

Le Crédit Agricole n’est pas seulement une banque. Il agit également dans le secteur immobilier et dans le secteur de l’emploi. Les clients se sentent donc accompagnés. Les clients potentiels découvrent quant à eux une entreprise qui se développe constamment et qui est à l’écoute de ses clients.

Groupe 5 ISCPA Toulouse
Jade, Léana, Loane, Liselotte, Dorian, Enzo.

Catégories Agence
Une start-up aux méthodes de travail innovantes

Une start-up aux méthodes de travail innovantes

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Une start-up se doit de se démarquer dans le secteur professionnel, pour cela la Mobile Factory a mis en place une méthode de travail originale. Celle ci se base sur l’accompagnement du client dans le processus de création d’application, ainsi que sur l’immersion des ingénieurs en entreprise.

La start-up la Mobile Factory interne au groupe Sopra Steria (entreprise de services numériques), développe des solutions informatiques pour accélérer le business de certaines entreprises. Les ingénieurs informaticiens confectionnent et développent des applications mobiles commandées par les clients. Ils collaborent notamment avec Airbus, mais aussi avec des groupes comme Mcdonald ou BforBank.

Des conditions de travail atypiques

L’équipe de la Mobile Factory évolue dans un environnement de travail épanouissant au niveau personnel et professionnel. En effet les ingénieurs disposent d’un coach en développement personnel qui les accompagne au quotidien pour les aider à progresser sur leur savoir être et leur posture professionnelle.

Une employée oeuvre également pour la bonne ambiance en organisant des soirées, barbecues et « chocoteck » (échanges entre les employés sur l’actualité technologique autour de chocolatines). De plus 20% du temps de travail des ingénieurs est consacré à des veilles et de la recherche en développement.

Un accompagnement dans le processus de création

Les ingénieurs de la Mobile Factory appliquent une méthode de travail basée sur l’accompagnement du client dans le développement d’une application. Chaque mois, le client observe l’avancée du projet et peut faire part de ses critiques constructives. Ceci pour optimiser le temps de travail et garantir la satisfaction du client.

D’autre part, lorsqu’ils reçoivent une mission, les ingénieurs s’immergent au sein de l’entreprise cliente pour mieux appréhender la conception du projet. En effet, début 2019, Airbus commande une application pouvant compresser en formant mobile les plannings de production des avions. L’équipe s’immergent alors dans l’entreprise pour mieux comprendre les tenants et aboutissants de la mission. Ceci leur a permis d’optimiser au maximum l’application et satisfaire à la fois les dirigeants et les employés.

Jill – Marco – Eliot – Elisa – Léa – Emeline

Catégories Annonceur
Nicolas Fouin, un virtuose de l’informatique

Nicolas Fouin, un virtuose de l’informatique

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Nicolas Fouin, a un parcours scolaire impressionnant et une carrière passionnante. En effet depuis 2010, il travaille chez Sopra Steria, société digitale partenaire d’Airbus. En œuvrant pour une telle société, les challenges sont au rendez-vous et il a su les relever.

Nicolas Fouin a étudié à l’institut catholique d’Arts et Métiers (ICAM) de 2005 à 2010 afin de devenir ingénieur généraliste. Il fait sa dernière année en génie informatique et fini 3e sur une promotion de 100 ingénieurs. Il produira deux mémoires de fin d’études en 2009. Le premier avait pour sujet la robotisation d’un procédé industriel sur les portes d’avion des BOEING 787. Ce projet consiste à développer un programme pour les robots KUKA opérant dans les chaines de montages de ces dernières.

Le deuxième mémoire traite du développement d’une interface de travail collaboratif « Ruby on Rails ». Il a dû développer des « plugins » pour l’application web Redmine (outil web de travail collaboratif).

Enfin, pour son stage de fin d’études en 2010, Nicolas développe une application SAP (Systems, Applications and Products for data processing) pour Airbus. Ce genre d’application consiste à relier les différents services d’une entreprise (comptabilité, finances, marketing, ressources humaines…) sur la base d’une configuration client/serveur. Mais il ne s’arrête pas là puisque en 2013 il va créer une application pour la ville de Toulouse à l’occasion de « l’Open Data » organisé par celle-ci. L’application bus 31 qu’il réalise, est semblable à celle de Tisséo que l’on connait aujourd’hui.

L’aventure Sopra commence

Nicolas démarre sa carrière en tant que responsable de projet et consultant sur les applications SAP. Il travaille sur une autre application SAP pour Airbus destiné à la gestion des stocks de pièces détachées. Il a également pour mission d’encadrer un projet offshore en Inde avec quatre ingénieurs indiens. Il gère un autre projet SAP toujours pour Airbus mais autour des problématiques de « Big Data » spécifiques à l’A350.

En 2015 en acquérant le titre de chef de projet Mobile, il devient chef des applications mobiles. Il a sous sa responsabilité des équipes qui vont de 3 à 20 ingénieurs mobiles et est également « Scrum Master ». Un « Scrum Master », c’est selon l’expression de Nicolas « le collaborateur qui va repasser derrière votre travail pour vérifier que vous répondez bien aux attentes du client et qui va vous embêtez si vous n’avez pas fait correctement votre travail ». En 2015, il devient chef de la « Mobile Factory » chez Sopra. Désormais il manage une équipe entièrement dédiée à la création d’applications mobiles pour les clients.

Son rôle au cœur de la « Mobile Factory »

En travaillant dans cette division, il a eu l’occasion de mettre au point avec son équipe plusieurs applications mobiles principalement pour Airbus. Avec ses collaborateurs, il a par exemple dû créer une application afin que tous les employés puissent accéder au planning de la semaine plus facilement et de manière plus claire. Avec l’application FIP, « Future Integrated People » chaque employé a maintenant son planning accessible depuis son smartphone. Ce projet a rapporté 110.000€.

Un autre gros projet fut l’application « Pilot Training », prototype d’une version plus avancée à venir et réservée à Airbus. Cette application a été inventée pour les pilotes afin de leur permettre de s’entrainer entre deux vols sur des scénarios et actions récurrentes du métier. Si le prototype s’élève à seulement 25.000€, le contrat décroché avec Airbus par la suite, s’élève lui, à 1.300.000$.

Elisa – Léa – Eliot – Marco – Jill – Emeline