Catégories Media
RCF, une radio accessible à tous

RCF, une radio accessible à tous

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Ce mercredi, c’est RCF Lyon qui ouvre les portes de ses locaux aux étudiants en Bachelor 1ere Année de communication et journalisme de L’ISCPA dans le cadre du Tour E-Média.

Catégories Autre
P2 – Cent pour Cent Quatre!

P2 – Cent pour Cent Quatre!

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Danseurs, acteurs, jongleurs, vendeurs ou simple visiteurs…            Bienvenue au 104!

Impressionnés par cet espace si dense et chaleureux, nous découvrons un lieu alliant arts et cultures, où s’entremêlent des expositions artistiques, des espaces libres, des salles de spectacles, un service de restauration, une galerie contemporaine, ainsi qu’un service d’échange de vêtements et de livres.

Catégories Annonceur
Nicolas Fouin, innovateur digital

Nicolas Fouin, innovateur digital

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Diplômé de l’Icam, une école d’ingénieurs , Nicolas Fouin est depuis quatre ans responsable de la Mobile Factory à Toulouse, société spécialisée dans la création d’applications. Passionné par son métier, ce dernier a su grimper les échelons et faire de la Mobile Factory une Start up française reconnue par les plus grands.

« Les applications mobiles doivent être sexy » insiste Nicolas Fouin. L’objectif est de rendre l’application simple d’utilisation et agréable visuellement. Par son utilisation, le client doit également constater le développement de son business. Avec Airbus comme premier client, la Start-up a réalisé une dizaine d’applications permettant aux salariés d’augmenter leur productivité. En effet, la création de « Ok Airbus » permet aux ouvriers de bénéficier d’une assistance vocale. Celle-ci leur indique le planning à suivre en temps et en heure sans besoin d’interrompre leur travail. Bien que le respect de l’avis des clients reste, pour Nicolas Fouin, primordial, il se permet quelques fois de les convaincre de s’ouvrir à de nouveaux projets. C’est par ailleurs ce que souligne la devise de la société : « We work for our People and we deliver Experiences for our Customers ». Comme le démontre le slogan, la plupart des projets sont réalisés en anglais afin que l’entreprise puisse ouvrir son spectre à l’international.

Les coulisses de la conception

L’équipe utilise une méthode innovante afin de cerner au mieux les attentes de ses clients. Ainsi elle se fond le plus possible dans le quotidien de ces derniers. Grâce à ce jeu d’interviews, les collaborateurs de la Mobile Factory se rendent mieux compte des besoins de chaque utilisateur. En effet, que ce soit pour B for Bank ou Thales Alenia Space, les enjeux demeurent différents.
Après cette immersion dans l’entreprise, vient la réalisation de la maquette. Suite à cela et à l’approbation de la société, le lourd travail de codage débute. C’est une méthodologie qui doit être suivie à la lettre car l’élaboration de l’application s’échelonne sur plusieurs semaines et se découpe en cycles. Les équipes se doivent donc d’être efficaces dans sa conception. Le client voit ainsi les avancées régulières du projet et peut, à tout moment, souhaiter que des changements soient faits lorsque l’idée initiale lui semble quelque peu perdue…

G1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane

Catégories Media
La Dépêche : plus qu’un journal, une industrie

La Dépêche : plus qu’un journal, une industrie

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Paru pour la première fois le 2 octobre 1870, le journal la Dépêche, groupe de presse français situé à Toulouse fêtera l’an prochain ses 150 ans. Journal quotidien et indépendant, ce dernier couvre l’actualité au niveau régional mais aussi national et international.

A ses débuts, ce journal donnait des nouvelles du front durant la guerre de 1870 contre la Prusse. En 1925, il est reprit par la famille Baylet et devient une entreprise familiale. Au fil des années, la Dépêche a su s’adapter aux nouvelles technologies, notamment avec l’arrivée du digital et s’engager dans un changement papier/web obligatoire. Cependant, dans cette entreprise, le papier reste un élément clé auquel on reste attaché. « J’aimais bien le papier et son rythme » nous dit Sébastien Marcelle, désormais… responsable web. La dépêche a à coeur de garder ce quotidien authentique, avec un support papier disposant d’une odeur et d’un bruit unique, accessible et compréhensif de tous.

« Un journal, ce ne sont pas que des journalistes, c’est aussi une énorme usine »

Une fois l’information traitée, vient le moment de l’impression sur ce support si attachant, le papier. C’est toute nuit qui est nécessaire à la publication du journal, afin qu’il soit distribué dans les points presse, dès l’aube. Tout commence par l’heure de bouclage de la rédaction d’articles aux alentours de 22h30. Ensuite se mettent alors au travail les ouvriers du livre. Certains sont en charge de récupérer les plaques en aluminium sur lesquelles les textes sont gravés, lorsque techniquement la page est prête, pour ensuite les fixées aux rotatives. Pendant que d’autres, à l’étage inférieur, vérifient les cent premiers exemplaires, pour s’assurer que la photo ne soit pas floue par exemple. Lorsqu’un lecteur achète la Dépêche, il ne voit que l’information présente sur le papier. Il n’imagine pas tout le travail d’impression qu’il y a derrière. « Ça boucle le côté industriel car derrière un grand nombre d’ouvriers sont mobilisés » insiste Sébastien Marcelle. Et enfin, une fois tous les journaux imprimés, ils sont regroupés par paquets de cinquante et sont envoyés aux différents abonnés et points presse. Ainsi quotidiennement ce sont plus de 250.000 journaux qui sont distribués dans 10 départements.

G1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane

Catégories Media
La Dépêche du Midi, véritable usine journalistique

La Dépêche du Midi, véritable usine journalistique

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La Dépêche du Midi appartient à la famille Baylet depuis plus de 70 ans. Plus de 300 personnes la composent aujourd’hui, à Toulouse. Le mardi 24 Septembre, au soir, les apprentis journalistes de l’ISCPA Toulouse ont visité le site et échangé avec Sébastien Marcelle.

Deux parties distinctes dans le bâtiment font de ce groupe une véritable usine. L’étage de la rédaction, façon « open space », grouille de journalistes. Ils se répartissent en pôles : vidéo, photographie, sport, collaboration avec TF1, Midi Olympique,…etc. Une véritable fourmilière! C’est ici que les deux cahiers du journal voient le jour (général et local), soit plus de 40 pages quotidiennement. La direction orchestre tout cela chaque jour lors de la conférence de rédaction. La rédaction de chaque article se fait avant les heures de bouclages ; le but étant l’acheminement des journaux en temps donnés, dans toute la région Occitanie. Par ailleurs, le groupe a réussi à s’adapter malgré l’émergence du journalisme web ces dernières années, notamment avec son site web ainsi qu’un pôle dédié.

Cependant, la grandeur du groupe et sa forte progression (version gratuite et payante, qui aborde tous les sujets…) font que, pour Sébastien Marcelle,  « on ne sait plus sur quel pied danser ».

Les rotatives, l’industrie du journal

Placées au sous-sol du site toulousain, les machines représentent le support physique du groupe. Elles impriment en continu, en noir ou en couleur. Par ailleurs, elles nécessitent le mélange de quatre encres : cyan, jaune, magenta et noir. Elles fonctionnent toutes les nuits dans un bruit incessant accompagnées des hommes sans lesquels le journal ne pourrait être publié. En effet, ce sont ces immenses machines qui vont donner vie au journal. D’autre part le papier utilisé en grande quantité par les rotatives se trouvent stockées dans un gigantesque entrepôt.

Enfin, l’importance des machines est telle, qu’une salle contenant le « musée » a été réalisée. On peut y apercevoir certains exemplaires utilisés au siècle précèdent… toute une histoire !

Groupe 2 : Carla Tarantino, Sarah Caron, Romain Agard, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

 

Catégories Agence
Anouk Déqué, 30 ans de communication

Anouk Déqué, 30 ans de communication

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Depuis 30 ans, l’Agence Anouk Déqué se démarque dans le monde de la communication. Cette agence a su adapter ses services aux nouveaux outils arrivés à travers les années.

 

En 1988, année de création de l’agence, tous les journalistes n’avait pas de téléphone portable, et les moyens de communication n’étaient donc pas les mêmes que ceux d’aujourd’hui La communication se faisait à l’époque principalement par fax, car les mails n’avaient pas encore étés inventés. La presse écrite était le média le plus fort, et Internet n’existait pas. Les rencontres se faisaient dans la « vie réelle » et n’étaient que des relations physiques . Aujourd’hui les relations sont dématérialisées grâce aux mails et Internet. Pourtant rencontrer les gens reste important. Les réseaux sociaux constituent de nouveaux moyens pour contacter les journalistes et se démarquer des autres. Dès 1988 il a donc fallu, pour l’agence, s’adapter à l’arrivée de nouveaux médias et  aux nouveaux formats et contenus éditoriaux. Il y a eu un besoin d’évolution de ses savoirs et de ses compétences au quotidien.

« On n’achète pas, on convainc. »

L’Agence Anouk Déqué a été créée en 1988 et compte en son sein actuellement 11 collaborateurs. Elle ne fait pas de publicité envers les entreprises, mais va les aider à se développer et à être influentes. L’agence collabore principalement avec les journalistes mais aujourd’hui de nouveaux arrivants, les influenceurs, viennent déséquilibrer les codes d’antan. Les méthodes utilisées avec ceux-ci ne seront pas les mêmes qu’avec les professionnels du métier.

L’influence se veut capable de toucher les publics. La publicité est aujourd’hui «has been» selon l’agence. Avec les influenceurs, pas besoin de communiqué de presse ni de dossier de presse. Il faut  leur donner envie d’en parler, ils ont besoin d’un visuel. L’agence travaille aujourd’hui avec des nano-micro influenceurs : des personnes avec moins d’abonnés, mais une communauté plus fidèle, qui vient vivre une expérience. Anouk Déqué travaille aujourd’hui avec des instagrammeurs, youtubeurs, bloggers et twittos.

L’idée de l’agence est de faire évoluer les relations presse avec une devise simple : « On n’achète pas, on convainc. » et un maître mot : la bienveillance. C’est dans ce but que l’agence s’est dotée d’une exclusivité : la veille médiatique. Une salle pleine d’écrans sur lesquels des collaborateurs épient les différents médias et réseaux afin d’anticiper et d’avoir les nouvelles en direct, et donc en avance sur les autres.

 

Groupe 2 : Carla Tarantino, Sarah Caron, Romain Agard, Yohan Lemaire, Elioth Salmon