Jean-Batiste Cocagne, portrait d’un rédacteur dédié à RCF

Le jeune coordinateur de la rédaction RCF (la radio chrétienne francophone ), nous a accueilli pour une visite ce mercredi 18 septembre 2019 dans les locaux de la radio. 

C’est lors de cette rencontre, et dans le cadre du tour-emedia, que nous avons eu l’opportunité de pouvoir interviewer Jean Baptiste Cocagne dans le studio d’enregistrement « à la française ». Il nous a parlé notamment de son parcours professionnel, qui après des études générales et un diplôme à science po, l’a mené par hasard en 2012 à Rome, au sein de radio Vatican où il a exercé en tant que journaliste et reporter.  

Le début d’une vocation

Ce poste au sein de radio vatican lui a donné l’opportunité d’assister en direct à la renonciation du pape Benoit XVI, qu’il qualifie d’ « événement historique ». Evénement qui lui donne une toute autre vision de la radio, pour laquelle il avait au départ quelques retenues.

Par la suite, il décide de prolonger son CDD initialement de 6 mois à 3 ans. Ces 3 années lui ont permis de se spécialiser dans le métier de journaliste radio et de se découvrir une vocation.  

Un enchainement logique

La suite logique, bien qu’involontaire après son déménagement à Lyon pour des raisons personnelles, fut d’intégrer la RCF où il travaille à ce jour, et ce depuis septembre 2015.  

Venant d’une famille catholique, qui l’a fait «  baigner » dans le monde de la radio depuis toujours, avec des diffusions quotidiennes de France Inter et radio Fourvière, il précise cependant que ça n’a jamais été son : « objectif journalistique de rester dans les médias catholiques  ». 

Décryptage de l’échange

Lors de cet entretien, nous avons pu découvrir un professionnel du journalisme détendu et ouvert à l’échange, ayant un discours transparent et assumé notamment concernant des sujets délicats voire tabous touchant le monde religieux, plus précisément la chrétienté. Tels que les problèmes d’abus sexuels au sein de l’église, notamment le procès du cardinal Barbarin ayant eu lieu le 7 mars 2019 qu’il qualifie de : « réalité douloureuse ».  

On le sent dans son discours très impliqué dans son métier, avec la volonté de défendre et de maintenir les valeurs sociales et communautaires qui sont propres à la RCF. C’est d’ailleurs dans cette optique qu’il privilégie la solidarité aux « infos paillettes » comme il les qualifie, que traitent les médias classiques. 

Son dévouement et son implication lors de cette rencontre, nous confirme notre envie de travailler plus tard dans les médias et nous a permis de découvrir un professionnel aux valeurs humaines avec pour vocation d’informer le peuple. 

Pour voir l’interview dans son intégralité, cliquez sur le lien ! https://youtu.be/Vx8Voyc1gFY

Groupe 4 Arnaud GAUTHIER, Fiona CARREAU, Nina VAUTIER, Ilan COUPET, Mathieu DENTRESSANGLE, Anaïs LEAUSTIC, Noussourati ZAKARIA

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