EQ18 – SO PRESS

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Simon Capelli-Welter, journaliste chez SO PRESS, nous accueille afin de nous présenter les différentes formes de presse. Ce média indépendant a pris forme en 2003 dans un appartement parisien avec uniquement six journalistes. L’idée initiale du journal était « ce qu’on aimerait bien lire serait plus différent donc autant le faire nous-même ».

En outre, les six journalistes avec différents cursus étaient liés et le sont toujours par la formule des 3 H qui sont l’Humour, l’Humanisme et l’Histoire. SO PRESS garde ses aspects initiaux qui sont la polyvalence et l’indépendance.

L’ASPECT POLYVALENT DE SO PRESS

SO PRESS s’inscrit dans le mouvement des journaux avec une multitude de choix éditoriaux. Society abordant un aspect plus culturel tandis que So Foot est centré sur le monde du football.

Le média possède notamment une boite de production qui lui permet de faire des interviews avec des artistes. Spotify s’est associé avec SO PRESS afin de réaliser des interviews avec des chanteurs tel que DAMSO.

L’objectif du journal est la polyvalence : chacun des journalistes doit avoir rédiger dans chaque magazine dans le soucis de se remplacer le cas échéant.

Joachim, reporter chez SO PRESS depuis sa création, nous a présenté son métier. Selon lui, un bon reportage doit raconter une histoire en ayant tous les points de vue. Ainsi, il est nécessaire de faire ressentir aux lecteurs l’atmosphère de son projet. Sa spécialité est les sujets liés à la drogue et au trafic. En outre, il faut « trouver la bonne distance entre le soi et le monde » et « il faut laisser parfois le reportage venir à nous ». Pour finir, ce dernier nous a prodigué de précieux conseils pour réaliser un reportage de qualité.

L’ASPECT POSITIF ET CONTRAIGNANT DE L’INDÉPENDANCE DE SO PRESS

L’univers indépendant de SO PRESS se différencie des autres médias. Ce journal essaye de rester fidèle à ses principes initiaux mais il est difficile de ne pas se soumettre à certaines marques.

En effet, Jean Marie, chef de la publicité de SO PRESS nous explique que 70% du financement d’un média de presse est représenté par la publicité. Toutefois, l’équipe garde en tête leur ADN qui est de mettre le lecteur au cœur de leur raisonnement. C’est pour cela qu’ils ne feront jamais de publicité sur le nucléaire, par exemple.

Violaine VERNIOL,
Noémie GARCIA,
Pierre-Victor VABOIS,
Timothée FORGET.

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