Le nouveau campus d’Orange mise sur le bien-être de ses salariés

Entre conscience écologique et bien-être des employés, le campus Orange Tolosa apparaît comme une référence en matière de responsabilité sociétale des entreprises. Rencontre avec Delphine-Marie Péronne, directrice du site et Marion Azoulay, directrice pôle création .

 Pourquoi avoir choisi l’emplacement de Balma pour créer un campus et rassembler  les employés d’Orange de l’agglomération toulousaine ? 

Delphine-Marie Péronne: Les premiers besoins qui avaient été remontés par les salariés, c’était d’avoir un parc . Suite à cette demande, nous avons hésité entre plusieurs terrains. Celui de Balma nous permettait de construire un espace de travail diversifié et orienté vers l’écologie avec une gestion de l’énergie totalement digitalisée, ce qui était primordial pour nous ( les salariés peuvent gérer de manière optimale la lumière, la température, etc.)

Qu’avez-vous mis en place pour le bien-être de vos employés ? 

Delphine-Marie Péronne : De nombreuses installations ont été mises en place sur le campus (babyfoot, salle de sieste, équipements sportifs, rooftop…). Généralement les employés prennent 15 min sur leurs temps de travail pour se détendre. 

Quel rôle joue la nature au sein du Campus Orange Tolosa ?  

Delphine-Marie Péronne : l’intégration de la nature dans le cadre du travail fait partie de nos priorités. Nous avons par exemple de nombreux espaces verts, où il est possible de se promener, et nous avons planté plus de 300 arbres. Ces infrastructures permettent aux salariés d’évacuer le stress pouvant être ressenti avant une réunion ou un déplacement.

Quelles sont vos actions concrètes en faveur de la transition écologique ? 

Delphine-Marie Péronne: l’une de nos actions est le choix de nos partenaires en fonction de leur capacité à développer des actions RSE ( Responsabilité Sociétale des Entreprises). Par exemple, le restaurant du campus Orange Tolosa propose au maximum des produits bio et locaux. Ça fait partie de notre charte lorsqu’on travaille avec de nouveaux partenaires.

Marion Azoulay: Faire des évènements propres est l’un de nos fils rouges. La crise sanitaire a permis une émergence des évènements digitaux. Même si on ne peut pas encore calculer notre empreinte carbone, des évènements digitaux resteront toujours plus écologiques que des évènements physiques qui nécessitent le déplacement de 300 personnes en voiture. 

G7: Chandrani CARNE, Julie PUTZU, Sam KLEIN, Tara YATES, Florentin FRELAT, Timothey DOUMERC, Maëlle BARREAU 

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