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Adrien Lechevalier : au cœur de la banque 2.0

Adrien Lechevalier : au cœur de la banque 2.0

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Adrien Lechevalier est le Community Manager (ou CM) du Crédit Agricole Toulouse 31 depuis mars 2018. Il raconte la place particulière de son métier dans un monde bancaire en constante évolution d’un point de vue de la communication.

Bien loin de l’univers froid et austère cliché de la banque, c’est dans un bureau type open space à l’atmosphère détendue qu’officie Adrien Lechevalier depuis près d’un an et demi. Souriant, il explique qu’être le Community Manager d’une institution bancaire n’est pas de tout repos. Il s’agit en effet selon ses dires d’un « nouveau métier pour les banques qui (en) ont compris tout l’intérêt » assez récemment.

C’est par le biais de ce métier que se créée aujourd’hui « une fidélisation et même une conquête » de la clientèle. La relative jeunesse du métier implique de devoir faire des efforts, ne serait-ce que pour montrer les bénéfices que l’on peut tirer des réseaux sociaux à une direction toujours à l’affût de nouvelles opportunités de développement.

«L’engagement, c’est ma guerre  »

L’engagement, voilà le maitre-mot d’Adrien Lechevalier. Parvenir à capter l’attention des utilisateurs des réseaux sociaux est absolument crucial pour un Community Manager, a fortiori dans un milieu à première vue pas très attirant pour le grand public. C’est pourquoi il faut s’efforcer d’adoucir l’image de la banque.

Des stratégies de communication très précises se développent, et ce pour chaque réseau social. Sur Facebook, Adrien Lechevalier souhaite montrer « une banque cool » à grands renforts de jeux-concours ou de références à l’actualité en Haute-Garonne. Sur Instagram les cibles prioritaires sont « les 18-30 ans », ainsi « tout ce qui ne touche pas les jeunes, je n’en parle pas», confie-t-il, guilleret. En revanche sur LinkedIn, il veut à tout prix « développer la marque employeur […] (pour) attirer les nouveaux talents ».

Une stratégie bien rodée, qui paye

Les chiffres ne mentent pas, et ceux d’Adrien Lechevalier sont excellents. Avant son arrivée à temps plein courant 2018, les publications sur les comptes du Crédit Agricole Toulouse 31 – principalement sur Facebook – recueillaient une faible audience. Aujourd’hui « c’est près de 500 000 vues par mois sur les posts de nos réseaux sociaux ! » s’enthousiasme-t-il.

Les banques sont donc entrées de plein pied dans le monde de la communication à l’heure des réseaux sociaux. Cela a permis à des personnes comme Adrien Lechevalier de mettre leurs compétences au service du monde bancaire pour, peu à peu, faire changer l’image qu’a le grand public de ce milieu. Il reste du chemin à faire, mais ce passionné ultra-connecté ne peut être qu’enthousiaste.

Groupe 5 ISCPA Toulouse

Léana, Loane, Liselotte, Enzo, Dorian et Jade

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Stéphane Camin : journaliste aux bonnes ondes

Stéphane Camin : journaliste aux bonnes ondes

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Rencontre avec un homme voyageur, gastronome et bon vivant, aimant son métier de journaliste tout en le transmettant aux étudiants de l’ISCPA Toulouse. Stéphane Camin journaliste radio depuis plus de vingt ans a un rythme de vie bien chargé !

Réveil à 4h pour une arrivée à 4h40 aux locaux NRJ de Toulouse. Il recueille les informations émises pendant la nuit et organise son flash info. Il intervient toutes les demi-heures dans le 6-9 régional en relation directe avec Manu Levy, animateur national. Ses productions ne doivent pas dépasser les 2m50 et il utilise un logiciel qui lui permet de minuter son flash info. Il reconnaît tout de même que ce peu de temps accordé à l’antenne peut s’avérer frustrant. Pour se différencier, le journaliste préfère aborder des sujets plus positifs à l’inverse de la presse écrite, souvent, plus généraliste dans ses informations.

Il ne faut pas oublier que NRJ est une radio musicale qui a pour but de divertir ses auditeurs. Donc, pas de politique abordée au sein de la rédaction  » on ne veut pas traiter de la politique parce que ce n’est pas notre créneau à nous » dit, lui même, Stéphane Camin. D’autant plus qu’un manque de temps considérable s’impose. En effet il n’a ni la possibilité d’interroger toutes les figures politiques françaises ni de donner son avis à ce sujet.

Le passionné aux différentes casquettes

Stéphane, est un homme actif ! Il apprécie tout particulièrement se rendre sur le terrain, communiquer avec le public et transmettre son savoir aux jeunes journalistes. Car, effectivement, celui-ci est polyvalent. En plus d’être un journaliste aguerri travaillant à NRJ depuis 1996, il est aussi intervenant dans l’école de journalisme et communication ISCPA de Toulouse et ce, depuis 2016. Proche de ses étudiants, il leur inculque ses valeurs notamment grâce à sa fameuse règle du « travail sérieux, sans se prendre au sérieux ». Inspiré par son professeur d’histoire et géographie, Stéphane Camin s’est appuyé sur ce qu’il a appris de celui-ci, dans le but de transmettre son savoir à des étudiants à travers ses expériences personnelles.

Attentif au monde qui l’entoure, il se cultive grâce à ses nombreux voyages qu’il partage sur son blog où il conte ses aventures durant ses diverses expéditions. Il y communique aussi sa passion pour la gastronomie française ainsi que les séries télévisées pour lesquelles il s’est récemment attaché. En tant que journaliste, celui-ci pense nécessaire de toujours garder son envie d’informer le monde quoi qu’il fasse et c’est pour cela qu’il n’hésite pas à livrer ses bons plans à ses abonnés. Stéphane se montre très présent sur les réseaux sociaux sur lesquels il partage sa vie. Le présentateur radio les considère comme un bon moyen de montrer ses compétences et ses passions.

Groupe 8 : Fanny Gayraud, Thomas Duran, Audrey Fosse, Hugo Martin, Louane Jean.

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Graphiste, un pilier dans le monde de la communication

Graphiste, un pilier dans le monde de la communication

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Nous avons pu rencontrer Marie Viersou, graphiste « print » mais aussi digital. Elle travaille pour ICOM – l’agence de communication responsable basée à Toulouse – depuis mai 2012. Au sein de l’entreprise, Marie est chargée de produire les supports visuels des campagnes de communication.

À partir du « brief », informations nécessaires à la réalisation du futur projet (sujet, budget, support, souhait du client) déposé par le chef de projet, elle peut entamer la phase d’exécution afin de mettre en forme le bon vouloir du client. Pour cela, elle applique les méthodes propres à l’agence ICOM, c’est à dire un accompagnement du client dans la réflexion de son projet. Avec la méthode alchimie, méthode de création participative et coopérative qui place le client au centre de la réflexion, elle fait en sorte de trouver des connexions entre leurs attentes et leurs besoins. Le design thinking s’appuie ensuite sur 3 principes : la conscience, le bon-sens et la cohérence. Ces principes lient 4 piliers de la méthode qui consiste à prendre en compte : les spécificités du produit ; son impact environnemental ; son impact sur les mentalités ; son accessibilité. Elle utilise enfin la méthode « Legos Serious Play © » qui consiste à libérer la créativité par le jeu, inspirée évidemment des fameux jeux Lego©.

Par la suite, elle monte les différentes maquettes qu’elle va proposer au client à l’aide de différents outils comme la Publication Assistée par Ordinateur (PAO) avec des logiciels comme Adobe Creative Suite, InDesign ou encore Photoshop. Quand une maquette est validée par le client, la réalisation peut alors commencer.

Son processus créatif

Ses compétences lui permettent de réaliser divers supports à imprimer tels que des brochures, des dépliants, des affiches. Elle œuvre également au travers de la création d’identité avec notamment la conception de logo et de charte graphique.

Pour cela elle travaille de concert avec Cédric Morvan Directeur Drtistique pour l’agence ICOM qui s’occupe de valider la réalisation du projet. Elle travaille aussi en équipe avec d’autres graphistes afin d’avoir un recul et différents points de vue sur son travail. Néanmoins elle cherche à se perfectionner dans le digital pour élargir ses compétences, se fixer de nouveaux objectifs, s’adapter aux nouvelles tendances et technologies.

Elle confie avoir un intérêt pour d’autres secteurs. « Il y a d’autres domaines qui m’intéressent et j’essaie d’aller pêcher d’autres formations. La photo c’est quelque chose qui me plait bien, de temps en temps ils me mettent sur de petits reportages et des événements. »

Les qualités d’un graphiste

Enfin, selon elle, un graphiste doit montrer une certaine ouverture d’esprit, de la curiosité, de l’écoute, savoir travailler en équipe, savoir s’adapter au client et savoir garder une certaine neutralité dans son travail artistique.

Groupe 4 : Emeline – Léa – Jill – Eliot – Marco – Elisa

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Rémi Denjean : doigts carrés du web du TFC

Rémi Denjean : doigts carrés du web du TFC

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Avec plus de 470 000 abonnés sur Twitter, le Toulouse Football Club pointe au 7ème rang des clubs français au nombre de followers. Un petit exploit lorsque l’on sait que le club est passé tout proche de la relégation ces dernières saisons et dans une région où le rugby fait office de sport phare. La clef ? Un community manager capable d’auto-dérision.

Ce CM, c’est Rémi Denjean, entouré d’une équipe éditoriale dont il est en charge. À la fin de son Master en Ingénierie et Management des Organisations Sportives à l’IAE de Toulouse, il a intégré le Toulouse Football Club en 2008. Avec comme mission la prise en charge de la politique de mécénat du club et la création d’une structure juridique dédiée à son encadrement : la Fondation TFC. Deux ans et demi plus tard, il devient le responsable de la fondation.

En juillet 2012, souhaitant élargir ses domaines de compétence notamment vers les métiers de la communication, il prend en charge la gestion des réseaux sociaux du TFC travaillant avec les équipes de TFC TV. Un an plus tard, il a la responsabilité des contenus éditoriaux, notamment digitaux, avec comme problématique l’élaboration d’une nouvelle charte éditoriale web.

Passionné de sport et notamment de football, fan du TFC depuis petit, il estime avoir eu la chance d’apprendre sur le tas ce rôle de CM et d’interagir avec la communauté de supporters. Comme il le dit lui même « ce qui est intéressant pour moi c’est de faire partager sa passion à travers les contenus que l’on peut créer ».

Le premier club à avoir sa chaîne Dailymotion

Par essence, le TFC est un club « digital » depuis de nombreuses années. Le « téfécé » a par exemple été l’une des premières équipes sportives professionnelles à s’appuyer sur un site officiel. Le premier système de billetterie en ligne a été lui aussi mis en place au Stadium. C’est également le premier compte de club de Ligue 1 Conforama actif sur Twitter mais aussi le premier club à avoir sa chaîne Dailymotion. Très vite, le club a compris que les réseaux sociaux allaient être des supports importants pour toucher son public cible.

Ainsi, en plus d’être pointu sur l’actualité du club et de ses différents équipes, il produit du contenu ludique, efficace et original. Il a décidé de mettre en place une tonalité différente, une stratégie qui démarque le club en s’adaptant aux contenus des réseaux sociaux et aux attentes des internautes. Et pour cela, le TFC choisit de faire sourire. Ainsi ils ont produit une vidéo en janvier, pour les vœux de l’année 2017, année des 80 ans du club, les joueurs et l’entraîneur se sont greffés moustaches, maillots vintage, nuques longues et coupes mulet. Des coups de com’ comme celui-ci, le club en est devenu le spécialiste.

 

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Arthur Tirat : « écrire pour tout le monde, c’est écrire pour personne »

Arthur Tirat : « écrire pour tout le monde, c’est écrire pour personne »

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Journaliste multimédia en charge des sports à La Dépêche du Midi depuis mai 2018, Arthur Tirat raconte son métier, son parcours et nous éclaire sur l’impartialité des journalistes sportifs.

C’est lors du stage en entreprise de quatrième qu’Arthur a découvert sa passion pour le journalisme. Il nous confie avoir développé cette passion aux côtés de « (son) oncle, lui-même journaliste », avec qui il a appris les rudiments du métier avant même d’entrer au lycée. Après plusieurs expériences, dont plus de deux ans au sein de L’Express en tant que journaliste vidéo, il retourne à Toulouse pour officier au service des sports de La Dépêche du Midi.

Pourtant Arthur n’est pas exclusivement formé comme journaliste sportif, cela aurait d’ailleurs été une grosse erreur selon lui. Il se qualifie plutôt de joker. Un joker dont le domaine de prédilection reste le sport, en particulier la couverture de l’actualité des grands clubs de la région (TFC, Stade Toulousain…), mais capable de couvrir n’importe quel sujet. La polyvalence est selon lui essentielle au métier de journaliste, un métier de passionnés.

Journaliste ou fan, il faut faire un choix

De l’aveu d’Arthur, lorsque son club de cœur évolue, il est difficile de rester strictement impartial. « Je préfère toujours voir le TFC gagner », confie-t-il. Pourtant il faut savoir raison garder, et c’est ce qu’il s’efforce de faire, regrettant que certains de ses homologues « bondissent et crient » en tribune de presse lorsque leur équipe prend l’avantage. La rigueur professionnelle d’Arthur l’empêche de se comporter en supporter, même si l’on peut se douter qu’un but de Max-Alain Gradel lui procurera la même ferveur qu’à un fan en gradins.

C’est donc tout logiquement qu’Arthur refuserait une offre venant d’un club professionnel, car selon lui les journalistes officiant dans de telles structures sont davantage des communicants. Il tient à garder son indépendance, à pouvoir poser les fameuses « questions qui fâchent » qui sont bien souvent les préférées du lectorat de La Dépêche.

Parler de tout, avec tout le monde

Arthur aime écrire pour ceux qui aiment le lire. Cela explique son retour à Toulouse, car dans les grands quotidiens nationaux comme L’Express « on écrit pour tout le monde, donc on écrit pour personne », nous dit-il. Son compte Twitter est le symbole de cet échange direct avec les fans. Il y suit – entre autres – les coulisses du mercato du TFC, un sujet pour lequel le grand public n’est pas forcément passionné mais qui intéresse ses quelques 850 followers.

Être journaliste sportif enfin, c’est savoir se diversifier. Arthur n’y voit pas d’inconvénients, puisqu’il a couvert la Coupe du Monde de basket aussi bien que le Tour de France. Sa polyvalence lui a permis de traiter de tels sujets, même si forcément dans ces cas-là « on a pas toujours les entrées ou les contacts ». Arthur aime transmettre sa passion à ses lecteurs fidèles, et on peut sans trop s’avancer dire que ces derniers aiment le lire. Comme dans le sport, l’échange et le partage sont des aspects primordiaux du journalisme sportif.

Groupe 5 ISCPA Toulouse
Léana, Loane, Liselotte, Enzo, Dorian et Jade

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Mobile Factory, un leader numérique

Mobile Factory, un leader numérique

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La Mobile Factory, filiale du groupe Sopra Steria est depuis quelques années l’une des leaders en matière de solutions digitales. Spécialisée dans les applications mobiles destinées aux entreprises, la Mobile Factory et ses 40 000 collaborateurs se situent dans le top 10 européen et est le leader français de solutions digitales.

A l’échelle de l’hexagone, la startup filiale de Sopra Steria a créée l’application BforBank. Mais aussi celles de grands groupes à l’international comme pour McDonald’s Chine et Australie. Les membres de la Mobile Factory travaillent actuellement pour Airbus. Leur projet actuel est de faciliter la vie des compagnons, nom donné à ceux qui travaillent pour le groupe. Pour améliorer leur compétitivité, ils mettent en place des applications afin de clarifier les programmes de chacun. En remplacement du papier, obsolète et pollueur, la startup met en place un programme. Chacun des compagnons pourra avoir accès à ses missions simplement en interrogeant son téléphone.

« On travaille pour les gens et on délivre des expériences pour nos clients »

Pour Nicolas Fouin, responsable de la Mobile Factory, l’un des principaux problèmes de sa structure, et de la majorité des entreprises du numérique, est le recrutement. Le secteur du digital est en constante recherche d’ingénieurs, si bien qu’une majorité des diplômés d’école d’ingénieurs ont déjà un contrat avant la fin même de leurs études. Sopra Steria n’échappe pas à la règle, et le groupe possède des antennes à Nantes et Paris. Le but est de se développer, mais aussi de recruter les meilleurs ingénieurs dans plusieurs endroits de France, et ainsi devancer les concurrents.

Pour veiller au bien-être de ses employés, la Mobile Factory compte en son sein un Chief Happiness Officer, qui veille au bonheur au travail et à la bonne ambiance . Depuis le 1er janvier, un coach en développement personnel intervient également pour permettre aux salariés d’être plus à l’aise en public, de mieux s’exprimer et de gagner en éloquence.

Tout est donc mis en œuvre dans la Mobile Factory pour avoir un environnement de travail sain. Une bonne solution pour des collaborateurs et des clients heureux. « On travaille pour nos collaborateurs » dixit Nicolas Fouin. Une vision qui permet à la jeune startup de Sopra Steria d’envisager le futur avec sérénité. Avec une idée en tête : « On travaille pour les gens et on délivre des expériences pour nos clients ».

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

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François Carbonnel, au service de la région

François Carbonnel, au service de la région

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Rencontre et échange avec François Carbonnel, Responsable communication citoyenne et en stratégies médias de la région Occitanie. Ce rendez-vous qui a eu lieu lundi 23 septembre dernier s’est déroulé au siège de cette institution, à Toulouse.

Pour arriver à ce poste avec de telles responsabilités, François Carbonnel à dû gravir les échelons.  Il a débuté ses études supérieures en 1995 en effectuant un DUT Infocommunication à l’Université Paul Sabatier à Toulouse, puis il a été admis à l’UPEC deux ans plus tard. Un parcours qui semble logique. Cependant, le responsable en communication citoyenne et en stratégies médias de la région Occitanie a su constamment s’améliorer pour occuper aujourd’hui un poste indispensable au fonctionnement de notre région.

François Carbonnel a ensuite intégré le Conseil Général de la Haute-Garonne, puis à été directeur de cabinet à la Mairie de Muret. Par la suite il s’est engagé auprès des communes du Tarn en tant que Directeur communication à la Communauté. Il a également collaboré avec le Conseil Départemental de la Haute-Garonne, pour enfin obtenir le poste qu’il occupe aujourd’hui. C’est alors une attache particulière que François Carbonnel a développé tout au long de sa carrière en se consacrant au fonctionnement des villes ou des départements autour de Toulouse , sa ville étudiante.

Le rayonnement de la région, son devoir

Depuis octobre 2017, François Carbonnel dirige une équipe de douze personnes. Son objectif, promouvoir la région via des campagnes publicitaires présentes  dans toute l’Occitanie. Par exemple, des affiches sur les transports en communs ou encore des panneaux publicitaires sur le bord des routes. Toutes les publicités sont accès sur le paysage occitan, afin de promouvoir une région riche en patrimoine.

En effet, 20% des sites français classés à l’UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization, soit l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) proviennent de la région. Une des raisons supplémentaires pour laquelle François Carbonnel a  une attache particulière pour l’Occitanie. Passionné par son travail, c’est un homme très investi. Il n’hésite pas à le montrer, comme sur ses réseaux sociaux par exemple : « Toulouse est la ville de ma vie ».

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

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Marie Charrière et la communication d’influence

Marie Charrière et la communication d’influence

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Marie Charrière travaille depuis 5 ans à l’agence Déqué en tant qu’associée d’Anouk Déqué, fondatrice de l’agence. Elle a à son actif plus de vingt ans de carrière dans le monde des relations presse. Il faut savoir que Marie Charrière pratique la communication hors médias et plus précisément la communication d’influence. Elle assure alors un développement sur les réseaux sociaux, en tant que community manager. En revanche l’associée d’Anouk Déqué admet avoir une préférence pour le contact humain et ne privilégie pas le contact virtuel.

Avant cela, Marie Charrière a étudié le droit, la science politique ainsi que la magistrature. C’est d’après ses mots « par hasard » qu’elle se retrouve dans le monde de la communication. Elle avait effectué un stage dans une des agences du secteur, où elle a été ensuite embauchée. Elle a dès lors commencé à travailler à Lyon en 1995 notamment dans la presse écrite. Puis, elle a rejoint l’agence Welcome à Paris en 1998. Enfin, elle a collaboré avec Anouk Dequé dans l’agence Dequé en 2014.

 

« Les médias ont évolué, c’est à moi de m’intéresser aux nouveautés technologiques »

 

Durant son parcours, Marie Charrière s’est occupée de la version digitale du Monde ( LeMonde.fr ) , et a vécu l’évolution des médias : « Les médias ont évolué, c’est à moi de m’intéresser aux nouveautés technologiques ». Elle nous a confié qu’elle trouvait ce métier de plus en plus riche grâce à cette évolution. C’est pour cette raison que Marie Charrière nous conseille vivement de nous construire dès aujourd’hui une image à travers les réseaux sociaux. Twitter, Instagram ou encore LinkedIn sont de véritables outils de travail.

C’est effectivement via les réseaux sociaux que Marie Charrière et l’agence Dequé collaborent avec des influenceurs, c’est à dire des personnes qui ont réussi à se construire cette image en mettant en évidence leurs passions et leurs activités personnelles ou professionnelles, qui permettent d’influencer le quotidien de différents utilisateurs qui les suivent entant qu’abonnés . Et ce n’est pas un nombre de « followers » colossal qui est requis car ce qui compte pour l’agence, c’est la proximité des personnes qui va alors instaurer une confiance. Cette confiance en l’influenceur permettra à lui et à l’agence d’attirer un public fidèle et attentif.

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Conseil Régional : objectif écolo et citoyen

Conseil Régional : objectif écolo et citoyen

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Chef de file des compétences écologiques et citoyennes, entre rencontres et innovations, le Conseil Régional d’Occitanie s’investit toujours davantage dans ces domaines. Au sein du Conseil Régional, la préservation de la région , la satisfaction de ses habitants et l’avenir de la planète sont des sujets majeurs qui reviennent sans cesse.

Afin de parfaitement remplir sa mission, le Conseil Régional espère œuvrer au mieux pour le bien de ses citoyens et de la planète. Pour ce faire, la région favorise les astuces écologiques comme  «le parc d’éoliennes photovoltaïque, la métallisation, la production de vins bio ou les réseaux ferroviaires». Par exemple, elle a investi prioritairement dans les transports en commun, jugés moins polluants que les voitures. La Région Occitanie a également décidé d’améliorer les petites lignes de train, qui sont « 60 % du réseau ferroviaire ». De cette façon, la région continue de privilégier une diminution de pollution sonore et atmosphérique, tout en répondant au besoin des citoyens. Il n’est peut-être plus qu’une question de temps avant que ceux-ci ne fonctionnent à 100 % grâce aux énergies renouvelables.

« Maintenir une proximité entre citoyens »

Dans le but de répondre au mieux aux désirs de sa population, la région Occitanie souhaite jouer la proximité avec les habitants. Par exemple, le Conseil Régional organise des moments de rencontre avec les citoyens « pour qu’ils puissent faire entendre ce qu’ils pensent ». Ces instants sont précieux car ils permettent de faire germer des idées et de faire évoluer la communication entre résidents et bureau régional.

D’après Fanny Thevenoud, la directrice adjointe de la communication du Conseil Régional l’idée de mettre des visages sur des secteurs d’activités, comme le commerce local ou l’agriculture, enrichit la proximité de citoyen à citoyen. Ce concept forme une originalité et, peut-être même, une authenticité propre à la région Occitanie. Déjà appliqué sur les ordinateurs de la région, dits « lordi région », où va-t-on pouvoir encore retrouver cette inspiration familiale ?

Groupe 1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane