Voilà déjà une décennie que Clutch révèle au grand public les secrets de la ville rose. Créé en 2012, le magazine a su en quelques années se transformer en une référence du milieu culturel toulousain. Il célèbre sa 100ème édition pour son dixième anniversaire ce mois-ci.
Le lundi 26 septembre, une visite a été organisée par l’ISCPA afin d’enrichir son Tour e-media. Nous sommes allés dans les locaux de Streetpress, site web français d’information de la gauche radicale, consacré à l’investigation et à la culture urbaine.
Lors de cette visite nous avons été reçu et accompagné par Mathieu Molard, rédacteur en chef du site internet. Au travers de cette visite, notre équipe s’est intéressée aux différents médias que Streetpress utilise, mais aussi à une partie de ses lecteurs, les jeunes.
Présence sur les médias digitaux
Lors de la visite, Mathieu Molard nous a expliqué les médias qu’utilisent Streetpress dans son processus de fabrication de l’information. Nous allons donc retrouver le site internet streepress.com avec des articles, la chaine YouTube Streetpress et ses 286 000 abonnés dans laquelle on retrouve des reportages ainsi que des long formats comme des documentaires. Le média tient également un compte Instagram Streetpress suivi par 51 000 personnes. Sont régulièrement postées des vidéos courtes parlant « d’enquêtes, d’histoires et d’impact » comme l’indique si bien sa bio.
Si Streetpress décide de rester sur ces médias, et ne pas s’aventurer à la radio ou à la télévision, c’est parce qu’au sein de Streetpress, les employés ne sont pas nombreux, et que ça n’est pas leur spécialité. « Ils n’ont donc pas les compétences requises pour cela », selon Mathieu Molard.
Les jeunes lecteurs du média
Suite à notre entretien avec Mathieu Molard, nous avons retenu que Streetpress continue de capter des jeunes. Premièrement, parce que les articles qu’ils postent sur leur site internet sont gratuits. Mais aussi parce qu’ils sont présents sur Youtube et Instagram, des réseaux sociaux majoritairement utilisés par des jeunes. Le but de Streetpress est de rendre l’information accessible aux jeunes, raison pour laquelle leur contenu est gratuit. Selon le rédacteur en chef de Streetpress, si leur contenu était payant l’âge moyen du lecteur augmenterait et le média aurait une certaine appartenance sociologique, c’est-à-dire qu’ils perdraient les gens de milieux populaires.
Enfin, nous comprenons que Streetpress est un média qui s’imprègne énormément des médias digitaux, afin de laisser à leurs lecteurs un accès gratuit. Raison pour laquelle la fabrication de leurs informations est notamment suivie par des jeunes.
Alexandre MEITE
Bérénice SEURONT
Precious EZIORAH
Solène TELMART
Aujourd’hui, lundi 26 septembre, nous avons pu visiter les locaux de TF1 dans le cadre du Tour e-media. Chaîne de référence depuis la division de l’ORTF en 1974, la Télévision française 1 a dû se confronter à un enjeu capital : conserver son audience tout en évoluant avec son temps.
Ce mercredi 28 septembre, toujours dans le cadre du Tour e-media, nous avons eu l’occasion de découvrir l’entreprise de production Summertime, née il y a seulement deux ans. Située dans le Xe arrondissement, cette entreprise qu’on ne sous-estime qu’à peine développe des projets cinématographiques, aidée de son associé Karé Productions, société de production qui a pu réaliser des longs-métrages reconnus tel que La lutte des classes (2019).
Dans le cadre du Tour e-media, nous avons eu la chance de nous rendre dans les locaux de La Poste à Issy-les-Moulineaux et de rencontrer son directeur marketing opérationnel, Eric Delaisement. Il nous a éclairés sur les différentes stratégies marketing de La Poste et du rapport de l’entreprise au monde moderne.
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Backstage Production est une société de production audiovisuelle qui développe du contenu digital, c’est-à-dire de l’accompagnement et de la création de contenus pour des chaînes YouTube, comme celle de Kev Adams par exemple.
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