Mogador, l’envers du décor

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On les voit partout. Dans la rue, dans le métro, sur nos téléphones,… les affiches de la comédie musicale du Roi Lion se faufilent dans nos vies. Mais ce n’est pas anodin pour un spectacle d’une telle ampleur. 

Plus de deux cents personnes travaillent sur ce spectacle. Entre les acteurs, les techniciens, les costumières, les décorateurs et d’autres petites mains oubliées, il en faut du monde pour atteindre le succès. Alors comment une institution telle que le Théâtre Mogador s’est adaptée pour relever pareil défi ? 

Mobilisation totale

Tout d’abord, il a fallu fermer la salle. En effet, quand on se décide à accueillir un spectacle pareil, il faut trouver la place pour fabriquer les décors, les adapter à la scène, etc. Afin de permettre l’échange de décors entre les tableaux, la scène a dû être rehaussée de quarante centimètres, laissant ainsi la place à des rails. De même, le théâtre a fait le choix de ne pas avoir de bande son et de privilégier l’orchestre. Difficile de se loger dans un espace modifié pour laisser plus de place aux spectateurs. Installés sous la scène, les musiciens suivent le chef d’orchestre grâce à une caméra, ce dernier étant le seul visible. 

Une salle grandiose

En parlant de visibilité, au Théâtre Mogador, pas question de s’asseoir derrière un poteau. Ici, la visibilité réduite n’existe pas et ne permet pas de profiter de places à un tarif réduit. Mais tous les portefeuilles sont servis, tout en étant sûr de ne rien rater du spectacle. Par ailleurs, le spectacle n’est pas seulement sur scène. En entrant dans le Théâtre Mogador, les dorures et les œuvres d’art offrent un avant-goût de la salle. 1 600 personnes peuvent prendre place ici, mais aussi profiter des divers salons lors de l’entracte ou d’événements particuliers.

Rédacteurs : Groupe 7
Emmy THOMAS-GATEL
Shwetha PIRABAHARAN
Charlotte LABARBE
Mathis ANDRÉ

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