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Les pubs ciblées : comment connaît-on les attentes des utilisateurs ?

Les pubs ciblées : comment connaît-on les attentes des utilisateurs ?

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Au sein de l’entreprise de communication Big Happy, les data analyst ont pour mission de décrypter nos données internet afin de comprendre nos envies. Comment s’y prennent-ils ?
Bérénice Bezard-Falgas, data analyst et cheffe de projet dans cette même entreprise, explique les étapes qu’elle suit afin de connaître les attentes présentes et futures des internautes.  

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Au coeur de la presse profesionnelle – J2 ISCPA Paris

Au coeur de la presse profesionnelle – J2 ISCPA Paris

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En cette matinée du mardi 24 septembre, nous avons eu la chance de visiter les locaux de Pyc Média, un groupe spécialisé dans l’information professionnelle et situé dans le 18e arrondissement de Paris. Nous avons été accueillis par Bastien Cany, directeur de la rédaction, qui nous a expliqué ce qu’est et comment fonctionne Pyc Média.

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PYC Média , la presse qui informe les professionnels depuis 1936. (J3 ISCPA PARIS)

PYC Média , la presse qui informe les professionnels depuis 1936. (J3 ISCPA PARIS)

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PYC média est un média spécialisé dans l’information professionnelle constitué d’un service dédié au journalisme, au marketing et au commercial. L’un de leur titre les plus connu est « L’Usine Nouvelle ».

Échanges avec Bastien Cany, Directeur de la rédaction et Sarah Haumont, Journaliste Junior.

1. Qu’est ce qu’on attend d’un journaliste aujourd’hui ?

Bastien Cany : « A l’heure actuelle, un journaliste doit savoir travailler son agilité au niveau des médias et des formats. On attend de plus en plus de la part des nouveaux entrants, cette capacité de passer du print au web voir à la vidéo. En fait, on cherche des gens avec une personnalité journalistique développée, véritablement investie dans leur travail. »

2. Quelle est la journée type à PYC média ?

Bastien Cany : « Ce qui fait le quotidien d’un journaliste, c’est le temps long. Nous ne sommes pas dans l’immédiateté. En somme, nous recherchons des formats qui vont durer dans le temps comme avec l’audiovisuel pour diffuser des enquêtes médias, numériques et d’actualités. Ce type de recherche est courant pour un journaliste dans le milieu de la presse professionnelle pour composer avec aisance sur les sujets. »

3. N’est-il pas trop difficile de changer de secteur ?

Sarah Haumont, journaliste : « Pour moi, il faut savoir sortir de sa zone de confort. C’est important d’être multimédia ! A la base je suis journaliste vidéo, c’est ce que j’aime le plus. Mais maintenant, je dois rédiger 25 pages par mois. Donc, aujourd’hui je fais plus de presse écrite que de vidéos et finalement, on apprend avec le temps à aimer écrire ! »

4. Être journaliste représente beaucoup de contraintes ?

Sarah Haumont : « C’est des contraintes sur la vie personnelle, oui c’est sûr. Moi je suis jeune et je n’ai pas d’enfant. Je dis ça car souvent on vit en décalage. Il ne faut pas avoir peur de se lever tôt et de se coucher tard ! Parfois, on doit partir longtemps, je pars bientôt quatre jours en Allemagne. En réalité, c’est les meilleurs moments quand on rencontre des gens et découvre des endroits. Aussi, dans le journalisme il faut s’intéresser à tout. Je dois traiter des sujets que je ne connais absolument pas à l’origine. Par exemple, quand je suis arrivée, j’ai dû aller à l’INSEP (centre de formation des sportifs) sans connaître celui que j’allais interviewer. »

5.L’évolution des médias vous inquiète-t-elle ?

« Depuis l’apparition des médias numériques, la population se désintéresse de plus en plus des journaux classiques. Ainsi, “entre 2010 et 2020, le chiffre d’affaires de la publicité a diminué de 31%”. Cependant, même si certaines innovations désavantages la profession d’autres l’aide. En effet, l’intelligence artificielle s’avère utile notamment « lors de retouches de photo ». Il faut donc savoir s’adapter à son époque, ce qui est un enjeu considérable. »

En quelques mots PYC Média, qu’est-ce que c’est ?

Bastien Cany : « Cela représente deux millions d’emails envoyés par an, deux mille quatre cents annonceurs qui nous font confiance, quinze marques d’informations et cinquante salariés. »

GIORGI Lucie, GINESTE Héloïse, FONTAINE Camille, GUIBERT Antoine,  HENRIQUES Gabin, Groupe 3

PYC MÉDIA ! LE MÉDIA À DESTINATION DES PROFESSIONNELS.

https://youtu.be/OX5ngQLT7rM?si=7hhcRJdUPRINqQYx

 

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G1 TOULOUSE : Picsprod Visuals, les engrenages d’une production audiovisuelle .

G1 TOULOUSE : Picsprod Visuals, les engrenages d’une production audiovisuelle .

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Chapô : Raphaël PICCIN  co-fondateur de Picsprod a invité dans les locaux de son entreprise deux groupes d’étudiants en première année de journalisme à l’ISCPA . Accompagné d’Orane BRAME chargée en production et ses 10 autres employés ont pu expliquer l’envers du décor du monde de la production audiovisuelle et leurs méthodes de travail.

 

Quelle sorte de production êtes-vous le plus amené à produire ?

Orane BRAME, chargée de production chez Picsprod :  » 70% des productions que nous sommes amenés à produire sont pour des entreprises , cependant nous sommes aussi amenés à créer des clips publicitaires et à participer à l’organisation et la captation d’évènements en tout genre. Ce type de productions sont dites à « court-terme », il est possible aussi de travailler sur des formats plus longs comme des courts métrages, mais cela reste occasionnel. Le fait de créer des longs métrages est évidemment le graal, c’est le but de toutes personnes chargées en production. »

 

Quels matériels utilisez-vous pour filmer vos productions ?

Raphaël PICCIN : Co-fondateur et directeur de production de Picsprod,  » Filmer avec un IPhone débridé reste le plus pratique et le plus économique , en effet sur les différents appareils présentés il est le moins couteux et le plus simple à utiliser. Nous avons aussi la possibilité de filmer à l’aide d’un appareil photo accompagné d’un stabilisateur, ceci permet une mobilité et une qualité d’image stupéfiante. Il nous arrive aussi d’utiliser une caméra statique de cinéma, elle est imbattable en terme de qualité d’image cependant elle n’est pas pratique et permet plutôt de filmer des plans fixes. Pour finir nous avons la possibilité de filmer des plans avec des drones, ce qui permet d’obtenir des plans de haut, voir même de filmer une ville vue du ciel. Mais l’outil principal reste l’ordinateur, il est utilisé par l’ensemble des collaborateurs, de l’étape une de la production, jusqu’à celle des retouches finales et de l’envoi du projet. »

 

Quelle est l’étape la plus importante d’une production audiovisuelle ?

Raphaël PICCIN : Co-fondateur et directeur de production de Picsprod : « Toutes les productions passent par des retouches visuelles et audios , chacune des productions doivent être retouchées, notamment le son avec des ajouts d’effets sonores si besoin. Mais aussi au niveau du visuel, « le cinéma c’est la lumière », il est alors très important de modifier la lumière s’il y a des problèmes de contre-jour ou que l’image est trop sombre. Il est aussi possible de modifier les couleurs d’un objet pour y attirer l’attention ou au contraire le rendre moins captivant. Enfin la retouche peut permettre de modifier la netteté d’une image pour la rendre plus claire ou à l’inverse la flouter. »

 

 

 

Bastien DAYDE, Ilan GRISOLIA, Lola BERDOS, Vincent Dellaux, Ilona Mollard, Camille Gillet-Labrit

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“Une vidéo, c’est surtout ce que vous ne voyez pas” Groupe 2

“Une vidéo, c’est surtout ce que vous ne voyez pas” Groupe 2

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Raphaël PICCIN et Rémi Lombard ont cofondé Picsprod en 2013, une société de production audiovisuelle. Ces passionnés qui travaillaient déjà dans ce domaine, dirigent désormais une équipe de 11 personnes à temps plein. Lors d’une visite des locaux situés à Ramonville, nous avons pu poser quelques questions à Raphaël Piccin.

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De l’anonymat à l’audimat

De l’anonymat à l’audimat

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Le média France Bleu, l’un des pionniers de la radio en France, et ses 44 stations locales ont su trouver leur place et s’installer dans le paysage radiophonique. Comment donc ce réseau s’est-il inscrit dans le top 50 des médias radio les plus écoutés en France ?

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BigHappy : L’IA au service des entreprises de tous secteurs

BigHappy : L’IA au service des entreprises de tous secteurs

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Dans une immersion au sein de l’entreprise Big Happy, une agence spécialisée dans l’accompagnement des entreprises, nous avons découvert comment elle utilise l’IA et la data. Ces outils permettent de mieux comprendre le marché et d’aligner l’offre avec les attentes des clients. 

Les outils technologiques se sont multipliés ces dernières années, avec un objectif : optimiser le temps de travail. Cela améliore l’efficacité, ce qui entraîne des revenus plus élevés, un développement plus rapide et une meilleure réputation pour les entreprises. 

L’importance de la data et de l’IA 

Chez Big Happy, comprendre les besoins des clients est une priorité. « Avant de faire une recommandation, il faut comprendre », explique Victor Gajan. La data et l’IA sont des outils essentiels. Elles permettent de collecter et d’analyser rapidement une grande quantité d’informations, offrant des conclusions utiles beaucoup plus vite qu’un humain. 

La data est devenue essentielle pour ceux qui souhaitent saisir rapidement les comportements des consommateurs et les tendances du marché. Que ce soit pour analyser les besoins d’un client ou améliorer un produit, ces technologies fournissent des informations précises. 

Des solutions adaptées à tous les secteurs 

Les experts en data chez Big Happy développent des solutions personnalisées pour chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur. « Les entreprises commencent à nous repérer et viennent vers nous », dit Cédric Laffont, directeur artistique. Des grandes sociétés comme Air France ou le Crédit Agricole utilisent leurs services pour adapter leurs offres. 

Grâce à l’IA, Big Happy aide ses clients à prendre des décisions éclairées. Cela leur permet de développer des stratégies précises et d’ajouter de la valeur. En même temps, cela renforce leur relation avec les clients. Les données aident non seulement à mieux comprendre les attentes des consommateurs, mais aussi à ajuster rapidement les offres face aux changements du marché.

Groupe n°4 ISCPA Toulouse Pablo, Oriane, Julian, Léa, Lou, Romane