Alors que se clôt la première semaine du tour e-media, le groupe 3 a pu interroger Caroline Girardon, journaliste pour 20minutes depuis 2011. Elle a eu l’opportunité de partir en Colombie pour effectuer un reportage de cinq jours.
Alors que se clôt la première semaine du tour e-media, le groupe 3 a pu interroger Caroline Girardon, journaliste pour 20minutes depuis 2011. Elle a eu l’opportunité de partir en Colombie pour effectuer un reportage de cinq jours.
Diplômé en 1995 de IPJ à Paris, David Thomas est un journaliste passionné de sports depuis sa jeunesse. Dès le début de sa carrière, il souhaite se consacrer à plusieurs fonctions du métier afin d’accroître ses connaissances. Cela va donc très vite le faire évoluer dans le monde professionnel et lui permettre d’atteindre ses objectifs tant convoités.
Indépendant dans le monde de la web communication, Thomas Ruffier nous a reçu dans les locaux de la Cordée, un espace de coworking lyonnais.
Rencontre avec Mélanie Bidaud, chargée de communication externe au sein du groupe APICIL. Elle présente en détail l’activité de ce groupe.
Après avoir expérimenté la télévision, la presse écrite, ou encore l’événementiel, Marie Zamaroczy, directrice de l’antenne toulousaine de Fun Radio et RTL2 décrypte pour le tour E-Media les rouages de la radio locale.
Charles Gougeon directeur associé de l’entreprise Evenementis nous fait part du fonctionnement et des points forts de son entreprise, notamment l’engagement de cette dernière en matière d’écologie.
S’engager sur la voie de l’écologie est depuis quelques temps une nécessité pour une entreprise qui veut prétendre à figurer en bonne place dans le milieu économique national comme mondial. Effet de mode peut-être, prise de conscience collective certainement, l’écologie fait et fera partie du monde de l’entreprise de demain. L’entreprise Evenementis l’a compris et elle a déjà intégré à travers son fonctionnement, ou encore ses projets, les piliers de l’écologie que sont le recyclage et la récupération.
Médaillé d’argent par l’entreprise Ecovadis qui accompagne les entreprises et va se charger de régulariser la RSE (responsabilité sociétale des entreprises), Evenementis s’est vue confirmée la pertinence de son action. Leur politique commence avec le matériel utilisé. Durant les évènement ce matériel sera après utilisation redistribuer dans des associations tel que celles dédiées aux artistes et bien d’autres encore. Les décors durant les évènements par exemple sont eux aussi redistribués et non détruit. Tout un système est mis en place pour justement éviter le gaspillage et la problématique de la destruction de matériaux. Cette entreprise préconise aussi les services locaux, des artistes locaux, un peu à la manière des circuits courts présents aujourd’hui dans la grande distribution. Lorsque l’événement se déroule par exemple dans la ville de Toulouse, il est important de s’associer à la ville et ses acteurs. Evenementis pourrait être une entreprise d’évènementiel qui montre l’exemple ? Ceci est fort possible au regard de leur démarche.
Dans le même état d’esprit, nous avons affaire à une entreprise digitale, c’est-à-dire qu’il n’y a aucun gaspillage papier e photocopie ou affiche car la totalité se fait directeur via leur site web, ou encore les réseaux sociaux. L’entreprise montre que de simple petits détails peuvent être bénéfique à l’environnement sans avoir un gros impact sur leur entreprise.

Evenementis s’engage, et elle a besoin de partenariat digne de son nom. Le mouvement très connu Anti-Gaspi va naturellement trouver sa place dans sa logique de développement. Ce service va mettre au profit des clients des produits de qualités et écartés des circuits de distribution traditionnel à des prix beaucoup plus raisonnable que d’autres. C’est à travers ses engagements qu’Evenementis prouve son réel investissement dans l’écologie.
Malgré tout, ce n’est pas l’élément principal. La démarche de l’entreprise Evenementis sous-entend énormément de compromis. Leur engagement est « personnel » et donc ils ne peuvent pas l’imposer à leurs clients. Les choses doivent se faire naturellement c’est-à-dire sans forcer la main. Même si dans les choix des lieux pour les évènements l’entreprise préconise ou du moins tente de préconiser des établissements engagés dans ce même mouvement, elle n’impose rien. En matière d’environnement la pédagogie et l’exemplarité reste la solution.
Cette entreprise prouve qu’il est bel et bien possible de développer une stratégie commerciale sans sacrifier l’environnement. A n’en pas douter Evenementis a un coup d’avance !
A l’occasion du Tour e-média organisé par l’ISCPA, Charles Gougeon, directeur associé de l’agence Toulousaine Evenementis, agence fondée en 2003, parle de son rapport particulier au métier d’évènementiel.
« On est un peu les chefs d’orchestres et on doit savoir porter tous les corps de métier »

Evenementis rassemble plusieurs secteurs d’activités tels que la création d’application, la production de contenu ou encore le lancement de produit, comment et pourquoi avoir choisi cette diversification ?
« Nous sommes une équipe de huit employés étant capables de faire de la communication digitale, de la production de contenu ou la création d’application, effectivement, mais cela doit quand même toujours se rapporter à l’évènementiel. Nous ne faisons pas de relation presse, ni de communication. Si demain nous recevons une demande concernant l’élaboration d’un site internet pour une société quelconque, nous ne le ferons pas. Alors oui, nous sommes formés pour faire des sites internet sur mesure mais uniquement dédiés à l’évènementiel. En faisant ça nous refusons du business, nous choisissons nos clients et ça reste quand même difficile de tout faire et de tout faire bien. »
Est ce que justement l’entreprise s’est toujours concentrée uniquement sur l’évènementiel, ou dès le départ elle s’est ouverte à plusieurs secteurs d’activité ?
« Dès le départ. En fait, pour nous, nous sommes pas là pour faire que de la logistique mais aussi pour pouvoir promouvoir un concept. Il faut être capable de le mettre en image et de le vendre au client. Il aura besoin de voir pour être convaincu et c’est la raison pour laquelle nous sommes en mesure, sur un évènement, de faire toute sa charte graphique. Nous notre partie pris, c’est qu’effectivement si un client cherche une salle, nous saurons évidement l’aiguiller dessus mais ce n’est pas notre job. Par contre s’il vient vers nous pour faire une soirée décalée de fin d’année, nous, on va être en mesure de vous proposer quelque chose de grandiose. Il nous faut du visuel, de la charte graphique pour finalement la mettre en forme. Si nous évoquons un concept mais qu’il n’y a pas de matière, la personne en face de vous ne pourra pas le visualiser. »
Toutes les entreprises d’évènementiel ne sont pas aussi polyvalentes, c’est une volonté d’Evenementis pour se démarquer et pour attirer la clientèle ?
« Oui et ça marche. Quelqu’un qui prend juste un concept et qu’il dit qu’il pourra peut être faire ci, ou qu’il pourra peut être le faire comme ça, c’est beaucoup trop abstrait. Il faut que les gens arrivent a toucher du doigt dès le début ce qu’il va être représenté, c’est la raison pour laquelle nous faisons tout ce qui est vidéo, design, et en fait, tout est sur mesure !
Nous sommes sans cesse mis en compétition et pour réussir ces compétitions nous devons nous en donner les moyens. »
Groupe n°10,
Sarah MORGADO, Lena ALBERT, Théo CARRERE, Enzo PFEIFER, Mathilde FAUVERT