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Nicolas Fouin, innovateur digital

Nicolas Fouin, innovateur digital

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Diplômé de l’Icam, une école d’ingénieurs , Nicolas Fouin est depuis quatre ans responsable de la Mobile Factory à Toulouse, société spécialisée dans la création d’applications. Passionné par son métier, ce dernier a su grimper les échelons et faire de la Mobile Factory une Start up française reconnue par les plus grands.

« Les applications mobiles doivent être sexy » insiste Nicolas Fouin. L’objectif est de rendre l’application simple d’utilisation et agréable visuellement. Par son utilisation, le client doit également constater le développement de son business. Avec Airbus comme premier client, la Start-up a réalisé une dizaine d’applications permettant aux salariés d’augmenter leur productivité. En effet, la création de « Ok Airbus » permet aux ouvriers de bénéficier d’une assistance vocale. Celle-ci leur indique le planning à suivre en temps et en heure sans besoin d’interrompre leur travail. Bien que le respect de l’avis des clients reste, pour Nicolas Fouin, primordial, il se permet quelques fois de les convaincre de s’ouvrir à de nouveaux projets. C’est par ailleurs ce que souligne la devise de la société : « We work for our People and we deliver Experiences for our Customers ». Comme le démontre le slogan, la plupart des projets sont réalisés en anglais afin que l’entreprise puisse ouvrir son spectre à l’international.

Les coulisses de la conception

L’équipe utilise une méthode innovante afin de cerner au mieux les attentes de ses clients. Ainsi elle se fond le plus possible dans le quotidien de ces derniers. Grâce à ce jeu d’interviews, les collaborateurs de la Mobile Factory se rendent mieux compte des besoins de chaque utilisateur. En effet, que ce soit pour B for Bank ou Thales Alenia Space, les enjeux demeurent différents.
Après cette immersion dans l’entreprise, vient la réalisation de la maquette. Suite à cela et à l’approbation de la société, le lourd travail de codage débute. C’est une méthodologie qui doit être suivie à la lettre car l’élaboration de l’application s’échelonne sur plusieurs semaines et se découpe en cycles. Les équipes se doivent donc d’être efficaces dans sa conception. Le client voit ainsi les avancées régulières du projet et peut, à tout moment, souhaiter que des changements soient faits lorsque l’idée initiale lui semble quelque peu perdue…

G1 : Emma, Théo, Eléonore, Bastien, Manon, Floriane

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Toulouse Football Comm’, ou comment le foot devient une affaire de communication

Toulouse Football Comm’, ou comment le foot devient une affaire de communication

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Ce mardi 17 septembre, le community manager du TFC, Rémi Denjean, ainsi que le responsable marketing, Boris Laffargue, ont détaillé leurs techniques de communication pour séduire le plus de monde. Alors que la communication est en constante évolution, ils expliquent leurs stratégies pour émerger dans un milieu concurrentiel.

Rayonnant à l’échelle nationale, le Toulouse Football Club use de tous les moyens mis à sa disposition pour dynamiser sa communication. La pluralité des supports est due à la constante évolution des techniques de communication et d’information. En effet, en 2008 il y a eu l’explosion des réseaux sociaux avec Facebook comme pionnier suivi de Twitter et Instagram. Il est de ce fait primordial de s’adapter à ces nouvelles interfaces.

Comme le dit Rémi Denjean, le ton pris suivant les réseaux est important afin de parler au public. Malgré tout des moyens plus traditionnels persistent. La communication via les journaux, la télévision ou encore la radio continue toujours pour un public plus âgé qui n’est pas forcément sensible aux réseaux sociaux.

Toulouse, à jamais les premiers ?

Les techniques de l’information et de communication du club sont capitales pour l’essor de celui-ci. Il existe différents supports pour permettre la visibilité du TFC. Les réseaux sociaux sont devenus un atout majeur pour le jeune public. Cela nécessite donc de s’adapter précisément au public visé et d’appliquer leurs codes.

Différents supports sont mis en place pour permettre la visibilité du club. Le community manager décrit l’ambiance du compte Twitter comme « humoristique ». Sur Instagram en revanche, le ton est plus sérieux, avec des photos prises par des photographes certifiés afin d’avoir un rendu professionnel. Dans la conquête des réseaux sociaux, le TFC fut le premier à réunir les 100 000 followers sur Twitter. Cela grâce aux techniques innovantes, et au temps d’avance qu’avait l’équipe de communication du club.

Aujourd’hui, les différents comptes du club réunissent près d’un million d’abonnements. Nous sommes encore bien loin des millions de followers des plus grands clubs de football français ou internationaux, mais les bases du TFC sont solides. Comptant sur une équipe de passionnés, le club de la Ville Rose mène une politique de communication des plus efficaces, lui permettant de rester sur le devant de la scène médiatique.

Groupe 5 ISCPA Toulouse
Léana, Loane, Liselotte, Enzo, Dorian et Jade

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Julien Brunon, un journaliste très investit

Julien Brunon, un journaliste très investit

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Suite à la rencontre avec Julien Brunon, une idée de la stratégie journalistique du Toulouse football club (TFC) a émergé. En effet, en tant que journaliste sportif et reporter d’image au sein du club depuis 6 ans, Julien Brunon a expliqué le fonctionnement et les relations entre les différents médias et le club. Il est vrai que le club a opté pour un maximum de visibilité sur les réseaux afin d’attirer le plus de supporters et partenaires que possible. Le travail de Julien Brunon consiste justement à promouvoir la marque du TFC et non les joueurs spécialement.

Tout d’abord, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les joueurs restent libres de publier ouvertement les contenus qu’ils souhaitent tant que ces derniers ne sont ni offensants et ni injurieux.

Ensuite, le rôle de Julien consiste à filmer les joueurs durant leurs entraînements, durant les matchs et également après les matchs pour récolter leurs réactions à chaud. Il ne se concentre pas exclusivement sur les joueurs déjà en carrière professionnelle. Il mise également sur les jeunes joueurs qui font encore partis du centre de formation du TFC, certains sont à peine âgé de 15 ans. Grâce à son travail, on peut donc retrouver leur progression avant même qu’ils n’intègrent véritablement le TFC. Il est également chargé de l’actualité du club sur le site officiel de ce dernier se doit donc en ce sens de répondre aux attentes et questions des supporters du TFC.

Un journaliste, mais pas seulement

Un autre point fort dans le rôle qu’occupe Julien est sa relation aux joueurs qui est une véritable relation de confiance établie au fil des ans avec une ligne de conduite « si tu es clean avec les joueurs, tu gagnes leur confiance ». C’est donc ce qu’il fait avec l’attaché de presse du club, Martin Truchot-Prat en évitant de divulguer certaines informations sensibles comme un transfert de dernière minute, ou en les préparant pour les conférences de presse.

Enfin, fan de foot, Julien confie qu’il n’est pas impossible de le voir dans d’autres clubs dans le futur. Il aimerait tout de même rester, « dans l’Inside du club », essayer d’établir ailleurs les relations qu’il a à Toulouse avec les joueurs. Ces relations qui lui apportent une expérience différente et enrichissante, bien que le TFC ne soit pas un club international.

Léa, Emeline, Jill, Elisa, Eliot et Marco

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L’homme de l’ombre des médias du Tef’

L’homme de l’ombre des médias du Tef’

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En visite au Stadium Municipal de Toulouse, rencontre avec Martin Truchot-Prat, le responsable communication et presse du TFC. Le Nantais d’origine, formé au management du sport, a présenter le rôle qu’il occupe depuis 6 ans au sein du club de la ville rose.

Martin est l’un des nombreux maillons forts de la grande famille du TéFéCé. Son rôle est d’établir la politique globale de l’entreprise afin que les médias parlent le plus souvent du club et en bien si possible !  Martin s’occupe de toutes les sollicitations médiatiques que reçoivent ses joueurs, qu’elles soient pour la presse écrite, la radio ou la télévision. Aucune de celles-ci ne se feront sans son accord. De même, il essaie d’établir chaque semaine un calendrier des sorties dans la presse en fonction de la forme physique des joueurs.C’est lui qui va organiser toutes les interview prévues. Martin est également la liaison entre les médias et les joueurs de la ville rose. Avec son collègue journaliste au sein du club Julien Brunon, ils doivent promouvoir la marque TFC dans son intégralité et non pas juste l’équipe première à travers des sujets qu’ils choisissent notamment sur la fondation TFC ou le centre de formation du club. Et donc essayer de rendre la marque la plus cohérente possible par rapport aux objectifs fixés en début de saison.

Sa responsabilité : si un joueur est amené à répondre à un média, et qu’il commence à dire des choses qu’il ne faut pas dire, le problème viendra aux oreilles de Martin et non pas à celles des joueurs  Pour éviter ces problèmes, Julien Brunon et Martin Truchot-Prat mettent en place des formations pour les jeunes joueurs afin de leur permettre de bien répondre aux différentes sollicitations médiatiques. Le dernier exemple en date est celui du jeune Mathieu Gonçalves, 18 ans,qui pour sa première en Ligue 1 au Parc des Princes, n’a pas été au niveau attendu comme d’ailleurs l’équipe entière avec un score large en leur défaveur (4-0).

« Je me rends dans la zone mixte du Parc où beaucoup de journalistes me demandent de parler avec Gonçalves. C’est son premier match, il n’a jamais encore été confronté à la presse, en plus de très mal vivre je pense le fait d’avoir marqué contre son camp. Imaginez-vous à sa place, le mec a mis un but contre son camp, il lit les réseaux sociaux, c’est dur. Donc je vais voir le joueur, on en discute un peu, et à la fin on a pris la décision ensemble d’aller voir les médias. Il a réussi à avoir un discours que vous entendez tous les dimanches, mais certains le disent mieux que les autres. Il a réussi à affronter les médias, et aujourd’hui tout le monde dit : « le gamin il a fait une bourde, mais il s’assume ». Et ça c’est super important. On a réussi à lui donner confiance et il a réussi à affronter ça. »

« Moi mon rôle c’est de filtrer les relations entre les médias et les joueurs. »

Chaque jour est différent pour lui, et ce métier imprévisible ne lui permet pas de se projeter sur ce qu’il fera le lendemain. Chaque jour, vers 10h, il commence à accueillir les journalistes pendant l’entraînement. Il fait beaucoup de relationnel, discute avec eux. Il n’assiste pas aux entraînements, contrairement à son collègue journaliste Julien Brunon, sauf lorsque celui-ci est ouvert aux médias, mais intervient à la fin pour encourager les joueurs à se rendre aux différentes sollicitations médiatiques.

Les jours de matchs sont eux réglés comme des horloges, et c’est lui qui, aux mi-temps et fins de matchs, va chercher les joueurs qui se rendent en interview. « Le journaliste nous demande souvent un joueur, souvent celui qui a réalisé une mauvaise performance. Moi mon rôle c’est de filtrer les relations entre les médias et les joueurs, le club. Donc c’est important de connaître les joueurs. Il y a des joueurs qui aiment bien les médias, d’autres moins. C’est à nous de connaître les comportements et de nous adapter »

Groupe 2 – Sarah- Carla-Romain-Eliot-Yohan

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Journalisme et communication, relation indispensable au TFC

Journalisme et communication, relation indispensable au TFC

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Après la visite du Stadium, enceinte du Toulouse Football Club présidé par Olivier Sadran, rencontre et échange avec deux personnes importantes présentes au cœur du TFC : Martin Truchot-Prat, responsable communication et presse et Julien Brunon, journaliste reporter d’images au sein du club.  Malgré la différence de leur travail, c’est l’union des responsabilités de chacun qui va permettre une jonction parfaite entre les joueurs, le club et les médias.

La coordination de ces deux professionnels est en effet indispensable. Ce sont les deux seuls qui traitent directement avec les joueurs afin de gérer leur relation avec le monde médiatique. Martin Truchot-Prat et Julien Brunon conseillent et accompagnent les joueurs dans leurs rapports aux médias, ce qui crée une relation de confiance entre eux. Dans un même temps, ils apportent à la presse ce dont elle a besoin : interview des joueurs les plus en forme, afin que le club reste visible aux yeux du grand public et répondent aux attentes de la sphère footballistique (interviews, reportage, article, etc…) tout en gardant une bonne relation avec les médias (Cf L’EQUIPE et le PSG en 2018). Ils sont ainsi la voix médiatique du club.

De ce fait, Martin Truchot-Prat et Julien Brunon veillent à tout ce qu’il se dit et à tout ce qui est posté, dans un cadre de protection des joueurs, sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook,…). Ainsi, Julien et Martin vont mettre en avant les joueurs du moment – joueur ayant marqué lors du dernier match par exemple. Dans le même temps, ils vont préserver les joueurs qui sont dans une mauvaise période parce que blessés ou auteurs de prestations décevantes …

Deux métiers complémentaires… mais différents

En tant que journaliste reporter d’images, Julien Brunon s’occupe du site internet où il communique les informations officielles du club. Il s’agit pour lui de satisfaire le public et les supporters du club en répondant en toute transparence aux questions qu’ils se posent. En effet, les journalistes du TFC détiennent les véritables informations, fiables et surtout officielles du club. Cependant, des journalistes se présentent fréquemment pour obtenir des informations par rapport aux joueurs et aux nouveautés du club : ils sont alors accueillis par Martin Truchot-Prat.

De plus, le responsable de la communication conduit les joueurs jusqu’aux interviews, il les aiguille au maximum pour les aider à affronter les médias avec tact. Très présent auprès des joueurs, Martin Truchot-Prat organise  à leur attention plusieurs événements comme des shooting photos par exemple. Pour les joueurs, Martin Truchot-Prat est un repère essentiel dans leur vie professionnelle.

 

Groupe 2 : Carla Tarantino, Sarah Caron, Romain Agard, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

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Le TFC contrôle l’image qu’il véhicule dans les médias

Le TFC contrôle l’image qu’il véhicule dans les médias

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Mettre en lien les médias et le club, dont l’effectif professionnel, est l’objectif principal du responsable de la communication du Toulouse FC (TFC) Martin Truchot-Prat. Ce mardi 17 septembre, il explique que le but de son travail est de tout mettre en œuvre pour que les déclarations recueillies soient cohérentes avec la politique du club.

Martin Truchot-Prat est en lien direct avec l’entraineur. Cela lui permet de préparer au mieux les jours de match. C’est là que les joueurs sont le plus susceptibles de mal s’exprimer devant les journalistes, frustré par une mauvaise performance ou un remplacement par l’entraîneur. Le capitaine s’exprime souvent devant les journalistes. Préserver et préparer les jeunes joueurs est essentiel. Certains joueurs refusent catégoriquement de s’exprimer et d’autres, au contraire, le font avec plaisir. Bien choisir le sujet permet également d’éviter les maladresses et offre au public un sujet qui l’intéresse. Avec par exemple, en ce début de saison, les présentations des nouvelles recrues ou encore des articles sur le buteur en forme du moment. A contrario, les joueurs blessés ou en difficulté pour telle ou telle raison sont moins sollicités pour limiter les risques. L’attaché de presse peut refuser les demandes d’interview ou autres entretiens avec les médias.

Comment contrôler l’image ?

Afin de promouvoir la marque Toulouse FC, le responsable communication contrôle les déclarations. Ces dernières sont faites dans le cadre d’un reportage, d’une interview, mais aussi sur les réseaux sociaux. Pour cela, Martin Truchot-Prat travaille en collaboration avec Julien Brunon (journaliste du TFC) et avec une équipe de 4 à 6 personnes. Contrôler les déclarations n’est pas anodin. Il est très important pour un club de dégager une image positive. Pour cela, il est évident qu’obtenir des résultats sportifs est important. Pour parvenir aux objectifs définis en début de saison, une unité et une positivité sont nécessaires. C’est dans ce but que Martin et son équipe veillent à optimiser les productions médiatiques. Julien réalise du contenu pour le TFC et ses réseaux officiels. Ce qu’ils choisissent de montrer est en adéquation avec la politique du club et avec l’image que souhaite véhiculer le Toulouse Football Club.

G1- Emma  – Théo – Eléonore – Bastien – Manon – Floriane

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La journée type d’un journaliste du TFC

La journée type d’un journaliste du TFC

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Julien Brunon est le journaliste reporter d’images du club de football de Toulouse. Arrivé il y a cinq ans, après avoir obtenu son diplôme de journalisme, il révèle comment se présente sa journée de travail.

Un poste de journaliste au TFC est débordant de travail, tout comme devenir un bon joueur de foot. Le journaliste sait d’avance que ses journées ne sont presque jamais les mêmes. Elles se remplissent de réunions avec les délégués de médias, de déplacements sportifs lors des jours de matchs et d’interviews avec les joueurs. Julien note que les vidéos qu’il poste sur le web varient aussi en fonction des jours, « je vais parfois poster des clips d’échauffement ou de courtes vidéos de gestes marquants fait à l’entraînement. Parfois des interviews ».

Cependant, ce qui ne change pas, explique Julien c’est la lecture de la presse, tous les matins, afin de récupérer des informations pouvant circuler sur les joueurs : « ces informations sont bénéfiques pour que nous puissions prévoir les échanges entre les joueurs et les médias extérieurs » confie-t-il. Dans son rôle de cameraman, son but est de prendre les meilleurs angles de vue pour parfaire ses montages vidéos. Il décide également l’horaire de publication, afin de notifier un maximum de personnes et s’occupe aussi de résumer les matchs.

« C’est juste mon travail »

C’est en décrivant une journée au TFC que Julien dévoile un peu plus sa conception de journaliste reporter d’images. Il décrit son travail comme organisé et professionnel, « c’est très pointu mais je m’éclate » certifie-t-il. Son rapprochement avec les joueurs instaure une confiance et un respect mutuel. Il décrit ses joies ressenties lors des matchs de victoire, « cette victoire, tu peux vraiment la fêter » et les moments plus difficiles, lors des défaites : « personne, à ce moment là, ne souhaite venir parler au micro… », dit-il.

Julien décrit les valeurs de son métier qui lui paraissent indispensables, « nous veillons à protéger les joueurs. C’est très important pour nous et pour eux». Il cite quelques exemples où il a aidé les joueurs à se préparer à des interviews de médias extérieurs. Ainsi ils ne sont pas déstabilisés  « ce joueur n’était pas serein à l’idée de passer devant les caméras. Il est alors venu avec moi quelques minutes avant pour s’entraîner ». De plus, il veille à poser des limites et à ne pas se permettre de noter un joueur sur sa prestation.

Groupe 1