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Le Crédit Agricole : une communication audacieuse

Le Crédit Agricole : une communication audacieuse

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Banque nationale depuis 1894, le Crédit Agricole entretient une relation de proximité avec ses clients. Ils se tournent ainsi vers les nouvelles technologies tout en conservant un lien traditionnel avec ses
fidèles mais aussi ses futurs clients.

Grâce à l’innovation de la technologie, les réseaux sociaux ont pris une grande place dans le service communication du Crédit Agricole. Cette entreprise comporte 40 Community Manager dans chaque région de France, ce qui est une de leur force majeure.

Afin d’obtenir des informations, un robot a été mis en place sur le site internet du Crédit Agricole. Dans certaines agences, un autre robot avait été mis à disposition des clients lors de leur arrivées. Un moyen technologique crée dans le but de tenir les clients de la banque informés.

Une appli jeune a été crée pour que la banque puisse être proche de ses jeunes clients, afin de répondre plus facilement à d’éventuelles questions.

Différentes stratégies pour chaque réseau social

Développer le capital sympathie est un de leur but principal. Différentes stratégies de communication sont utilisées pour chaque réseau social. Facebook est le théâtre de jeux-concours et de posts sur l’actualité régionale. Sur Instagram et Snapchat, l’audience est limitée à un jeune public alors que sur Twitter, la partie communication est beaucoup plus concentrée sur le contact professionnel. La communication y est plus institutionnelle.

Un système est utilisé afin d’accéder au nombre d’interactions sur chaque réseau social, ce compte rendu est par la suite redirigé vers les supérieurs afin de leur faire comprendre l’influence des réseaux sociaux grâce à des chiffres concrets.

Une communication plus « traditionnelle »

Présent sur plusieurs événements, le Crédit Agricole permet aux start-ups mais également aux entreprises d’avoir une visibilité plus grande. La Tubecon et Le Bikini en sont des exemples. « Le village » et « Les cafés de la création » sont des créations locales du Crédit Agricole, élément essentiel à la relation client. Cela leur permet de développer la marque employeur et de fidéliser les clients. Des événements internes sont mis en place comme des inaugurations regroupant partenaires et clients. Des stands, des plaquettes, des flyers mais bien plus encore sont les atouts principaux d’une communication entre les clients potentiels et cette banque.

Un développement pour une meilleure relation client

Le Crédit Agricole n’est pas seulement une banque. Il agit également dans le secteur immobilier et dans le secteur de l’emploi. Les clients se sentent donc accompagnés. Les clients potentiels découvrent quant à eux une entreprise qui se développe constamment et qui est à l’écoute de ses clients.

Groupe 5 ISCPA Toulouse
Jade, Léana, Loane, Liselotte, Dorian, Enzo.

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Nicolas Fouin, un virtuose de l’informatique

Nicolas Fouin, un virtuose de l’informatique

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Nicolas Fouin, a un parcours scolaire impressionnant et une carrière passionnante. En effet depuis 2010, il travaille chez Sopra Steria, société digitale partenaire d’Airbus. En œuvrant pour une telle société, les challenges sont au rendez-vous et il a su les relever.

Nicolas Fouin a étudié à l’institut catholique d’Arts et Métiers (ICAM) de 2005 à 2010 afin de devenir ingénieur généraliste. Il fait sa dernière année en génie informatique et fini 3e sur une promotion de 100 ingénieurs. Il produira deux mémoires de fin d’études en 2009. Le premier avait pour sujet la robotisation d’un procédé industriel sur les portes d’avion des BOEING 787. Ce projet consiste à développer un programme pour les robots KUKA opérant dans les chaines de montages de ces dernières.

Le deuxième mémoire traite du développement d’une interface de travail collaboratif « Ruby on Rails ». Il a dû développer des « plugins » pour l’application web Redmine (outil web de travail collaboratif).

Enfin, pour son stage de fin d’études en 2010, Nicolas développe une application SAP (Systems, Applications and Products for data processing) pour Airbus. Ce genre d’application consiste à relier les différents services d’une entreprise (comptabilité, finances, marketing, ressources humaines…) sur la base d’une configuration client/serveur. Mais il ne s’arrête pas là puisque en 2013 il va créer une application pour la ville de Toulouse à l’occasion de « l’Open Data » organisé par celle-ci. L’application bus 31 qu’il réalise, est semblable à celle de Tisséo que l’on connait aujourd’hui.

L’aventure Sopra commence

Nicolas démarre sa carrière en tant que responsable de projet et consultant sur les applications SAP. Il travaille sur une autre application SAP pour Airbus destiné à la gestion des stocks de pièces détachées. Il a également pour mission d’encadrer un projet offshore en Inde avec quatre ingénieurs indiens. Il gère un autre projet SAP toujours pour Airbus mais autour des problématiques de « Big Data » spécifiques à l’A350.

En 2015 en acquérant le titre de chef de projet Mobile, il devient chef des applications mobiles. Il a sous sa responsabilité des équipes qui vont de 3 à 20 ingénieurs mobiles et est également « Scrum Master ». Un « Scrum Master », c’est selon l’expression de Nicolas « le collaborateur qui va repasser derrière votre travail pour vérifier que vous répondez bien aux attentes du client et qui va vous embêtez si vous n’avez pas fait correctement votre travail ». En 2015, il devient chef de la « Mobile Factory » chez Sopra. Désormais il manage une équipe entièrement dédiée à la création d’applications mobiles pour les clients.

Son rôle au cœur de la « Mobile Factory »

En travaillant dans cette division, il a eu l’occasion de mettre au point avec son équipe plusieurs applications mobiles principalement pour Airbus. Avec ses collaborateurs, il a par exemple dû créer une application afin que tous les employés puissent accéder au planning de la semaine plus facilement et de manière plus claire. Avec l’application FIP, « Future Integrated People » chaque employé a maintenant son planning accessible depuis son smartphone. Ce projet a rapporté 110.000€.

Un autre gros projet fut l’application « Pilot Training », prototype d’une version plus avancée à venir et réservée à Airbus. Cette application a été inventée pour les pilotes afin de leur permettre de s’entrainer entre deux vols sur des scénarios et actions récurrentes du métier. Si le prototype s’élève à seulement 25.000€, le contrat décroché avec Airbus par la suite, s’élève lui, à 1.300.000$.

Elisa – Léa – Eliot – Marco – Jill – Emeline

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Sopra Stéria, entreprise toulousaine de l’E-nnovation

Sopra Stéria, entreprise toulousaine de l’E-nnovation

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En 2015, les entreprises Sopra et Stéria, qui partagent l’objectif de pouvoir répondre aux besoins des clients par des services innovants, prennent la décision de fusionner et ainsi de donner naissance à Sopra Stéria. L’entreprise française, située dans les environs de Colomiers, propose à ses clients de les accompagner dans leur transition vers le numérique.

Quatre ans après la fusion qui a donné naissance à Sopra Stéria, l’entreprise de services numériques peut se targuer d’une place de leader européen dans la transition numérique. Aujourd’hui incontournable, cette dernière se place dans le top 10 européen et top 2 français des entreprises aux plus gros chiffres d’affaires.

Désormais, l’entreprise dispose de plus de 40.000 salariés, dispersés un peu partout en Europe. Et, pour attirer la main d’œuvre la plus qualifiée du marché, et ainsi satisfaire les attentes de ses clients, elle a ouvert deux agences à Nantes et à Paris.

La naissance d’une filiale connectée

Mais derrière ces résultats se cache aussi et surtout la Mobile Factory, une start-up de Sopra Stéria axée sur le développement d’applications mobiles. Entre autres exemple, l’application mobile BforBank a été entièrement conçue par l’équipe restreinte de la filiale.

Le processus de réalisation d’une application suit un schéma précis. D’abord s’opère une rencontre avec le client, durant laquelle ce dernier expose ses souhaits, et l’équipe propose des solutions. Vient ensuite la phase où les développeurs de la Mobile Factory s’immergent totalement dans l’entreprise, au contact de plusieurs métiers. C’est seulement à ce moment que le développement de l’application prend son départ, ponctué régulièrement de rendez-vous avec le client pour vérifier que les équipes suivent bien la charte établie.

L’une des spécialités de la Mobile Factory : les applications dites « B to B » (comprendre « Business to Business »), destinées à une communication interne au sein d’une entreprise. À ce jour, l’un de leurs plus gros clients reste Airbus, l’entreprise d’assemblage aéronautique implantée à Blagnac. À de nombreuses reprises, le géant toulousain de l’aéronautique a fait appel à la Mobile Factory pour rendre ses unités plus productives, à l’aide d’applications intuitives et pratiques. Parfois donc, pour décrocher ces contrats face à la nombreuse concurrence, l’entreprise s’essaye à des secteurs qui lui sont encore inconnus comme la réalité augmentée ou virtuelle. « Nous sommes très attentifs au développement de nos ingénieurs et, en cascade, on sait qu’on délivre de belles expériences à nos clients. »

Retrouvez notre visite en vidéo :

Enora LE LOUARN

Kessy SOULAT

Thomas ANDRE

Salomé COUREAU

Luce RICHARDOT

Mathis FESSARD

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Rémi Denjean un cyber-passionné au TFC

Rémi Denjean un cyber-passionné au TFC

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Passionné et créatif, le Community Manager du TFC devient le porte-étendard du club. De la création de vidéos humoristiques aux portraits des joueurs, en passant par le traitement des images, Rémi et son équipe font preuve d’innovation pour assurer l’image du club.

En effet, le jeune communicant souhaite partager sa passion au travers de ses contenus. Il déclare notamment « Je veux montrer ma chance de vivre l’expérience de l’intérieur ». Il réalise cela via les réseaux sociaux, les marques et les partenariats. Chacun d’eux ont une importance pour permettre aux supporters de tout âge du TFC de trouver un contenu qui leur correspond. A travers des tweets « chambreurs » et autres caméras cachées, l’équipe de communication du Toulouse Football Club axe sa démarche sur un ton humoristique.

Cependant, il varie également les méthodes de communication. Tout n’est pas uniquement axé sur l’humour. Il faut également rendre crédible le TFC, auprès d’entreprises. « Nous souhaitons innover pour chaque événement ». C’est ainsi, qu’en jouant de toutes ces méthodes, anciennes et nouvelles, l’image du club devient adéquate en chaque situation. C’est donc dans cette recherche permanente de contenus que Rémi s’est construit au cœur du club, révélant ainsi son travail comme étant essentiel pour le TFC et sa notoriété. Cet apport étant réciproque, car le communicant réalise dans son métier une véritable vocation.

Une passion née plus jeune

Mordu de football, Rémi Denjean a toujours eu la volonté de travailler dans le domaine du sport depuis son adolescence. Il est maintenant en fonction depuis 11 ans au Toulouse Football Club. Ce sont les aspects humains et formateurs du club qui l’ont convaincu de travailler pour ce dernier.

Il désire alors transmettre l’envie aux générations futures de participer à la vie sportive de Toulouse. C’est donc par son travail qu’il tend la main à des enfants, des professionnels, ou des supporters, créant ainsi un lien privilégié entre la vie interne du club et celles de ses fans.

Une formation complète 

Diplômé d’un Master en Ingénierie et Management des Organisations Sportives à l’IAE de Toulouse, Rémi devient titulaire au TFC. Son objectif : développer une structure juridique dédiée à l’encadrement du club. Il créa alors avec son équipe la fondation d’entreprise du TFC. «Personnellement, je ne suis pas issue d’une formation journalistique, j’ai appris mon métier sur le tas ». Déterminé et porté par l’amour de son club sportif favori, Rémi Denjean connaît une évolution ascendante au sein du club. Évoluant dans le domaines de la communication, il prend le poste de gestion des réseaux sociaux du TFC et occupe désormais le poste de Community Manager.

Groupe G6 : Justine Cazaux, Léa Duvaleix, Coralie Nzue Nzengue, Lucas Laberenne, Vincent Pellegrino, Virgile Guilhamet

 

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« La Mobile Factory » et Airbus : décollage imminent.

« La Mobile Factory » et Airbus : décollage imminent.

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Rencontre avec l’équipe de « La Mobile Factory », filiale du groupe Sopra Steria basé à Toulouse, en charge du développement d’applications mobiles.

En 2019, la majorité des grands groupes souhaitent posséder leur propre application. C’est ici qu’intervient « La Mobile Factory », start-up du groupe Sopra Steria. Sollicitée par nombres de multinationales comme McDonalds et Airbus, l’entreprise tente de se développer dans le territoire.
Nicolas Fouin, responsable Mobile Factory, explique que le projet phare du début d’année 2019 fut le développement d’une application pour Airbus. Le but était de transformer un immense planning papier totalement obsolète en une application claire et ergonomique. Ce projet a nécessité l’implication de quatre personnes pendant deux mois pour la version Android, la version IOS étant toujours en développement. L’application a rencontré un vrai succès auprès des opérateurs d’Airbus, si bien que le président directeur général et ses adjoints l’utilisent. D’après Nicolas, « cela rajoute une pression supplémentaire car ceux sont des cibles ‘’critiques’’ du fait de leur position ». La moindre erreur peut avoir des conséquences sur la société. En parallèle de ce planning informatisé, La Mobile Factory développe un assistant vocal: « OK Airbus », inspiré par le dispositif déjà existant « ok google ». Cette technologie permet à chaque employé de s’informer sur ses tâches uniquement à l’aide de sa voix, lui permettant ainsi de continuer son travail sans pour autant utiliser son téléphone.

Le simulateur mobile pour la formation : « Une première mondiale »

Actuellement, la Mobile Factory continue de se démarquer avec la création du premier simulateur de vol mobile destiné à la formation des pilotes. Suite à un appel d’offre d’Airbus, elle obtient le contrat en réalisant un prototype pour un coût de 25 000 euros. Il permet notamment aux pilotes d’accéder à une cinquantaine de leçons depuis leurs smartphones. Le simulateur propose de nombreux scénarios de vols durant lesquels les pilotes appliquent leurs connaissances théoriques. L’innovation étant le maître mot de La Mobile Factory, les développeurs proposent en plus de ce simulateur un mode bluetooth. Il permet au pilote et à son copilote de s’exercer en coopération, chacun pouvant voir en temps réel les gestes de l’autre. Cette innovation répond à la difficulté de former rapidement de nouveaux pilotes. De plus, il permet la réduction drastique des coûts de formation. Malgré la relation privilégiée avec Airbus, Nicolas Fouin admet qu’il n’est pas fermé a un potentiel partenariat avec des concurrents comme Boeing.

G1 : Théo, Bastien, Eléonore, Manon, Emma, Floriane

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TFC, entre innovation et histoire 

TFC, entre innovation et histoire 

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Le Mardi 17 septembre 2019, les étudiants de l’ISCPA ont pu pénétrer les coulisses de l’illustre stadium de Toulouse, le TFC. La plus grande enceinte sportive de la ville comptabilise sept groupes de fervents supporters depuis près de 40 ans. Le TFC a également été témoin de nombreux changements en son sein. 

Le TFC, fondé en 1937 est implanté depuis 1970 dans l’enceinte du stadium comprenant 32500 places et a connu de nombreuses améliorations.

Tout d’abord, au niveau de la pelouse avec l’installation de souffleries situées tout autour du terrain il y a 3 ans afin de maintenir une température idéale et favoriser la pousse de la pelouse.

Egalement un travail de luminothérapie a été mis en place pour les parties à l’ombre afin de conserver un état irréprochable sur tout le terrain. Ces avancées ont alors permis au club une reconnaissance national par rapport à la qualité de sa pelouse.

De plus, le TFC dispose de plusieurs espaces rénovés pour y accueillir les visiteurs et les 500 entreprises partenaires dont les principales sont affichés dans l’enceinte du stadium. Au dernier étage se situe l’espace presse accessible aux journalistes et aux chaînes de télévisions afin de retransmettre et retranscrire les rencontres. De nombreuses loges dont celle du président du club offrent  une vue imparable sur le stade et donc un autre regard sur les matchs.  Grâce à ces espaces privés, les nouveaux clients ou ceux en devenir seront certains de vivre un en nouvelle expérience.

T.F.C, Toujours Fidèles au Club

Ce stade à la pointe de la technologie est également chargé de l’histoire du club toulousain.

Impossible par exemple, de rater le 11 de légendes affiché aux murs du vestiaires. Y sont représentés de grands grands joueurs tel que Fabien Barthez, Wissam Ben Yedder ou encore André-Pierre Gignac. Il faut savoir également que ce « 11 » a été choisit par les supporters lors d’un vote organisés par le club.

Cette proximité entre les supporters et les joueurs, entretenue par le club depuis dès années lui confèrent une telle fidélité auprès du grand public.

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Carrière au TFC, la réalisation d’une passion

Carrière au TFC, la réalisation d’une passion

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Boris Laffargue est arrivé en 2003 au sein du TFC et est aujourd’hui en charge du développement de la marque.  Pour Boris, responsable marketing au TFC, il exerce un  « métier-passion ».  En effet, il a construit sa carrière en mêlant les deux domaines qu’il affectionne le plus : le sport et les outils de la communication.

Il obtient effectivement son DUT en communication en 2000, à l’IUT Communication de Toulouse. Au cours de ses deux années de formation il est convaincu que cette voie est celle qu’il doit emprunter pour dessiner son avenir professionnel.

Plus tard, il poursuivra sa formation en se focalisant sur le sport, en passant même par l’obtention d’un diplôme d’Etat lui conférant le titre d’entraineur sportif. Cependant, ce n’était pas la carrière à laquelle il se prédestinait et a donc choisi en 2003, d’intégrer le Mécénat du TFC qui se présente comme une fondation permettant de présenter plusieurs programmes dédiés à différentes actions comme le « TFC Lab » ou le « TFC Kids ». Il y a fait ses « preuves » pour ensuite évoluer au sein de ce club historique.

Un métier en perpétuelle évolution

En effet, 3 ans après son arrivée il a occupé le poste de Responsable Médias Digitaux dont les missions principales s’articulaient autour du développement des outils de communication officiels du TFC, l’optimisation de la qualité des contenus produits, l’augmentation de l’audience sur les supports et enfin la monétisation de cette nouvelle audience (ex : web TV). Et depuis l’année 2011, il occupe le poste de Responsable Marketing et Médias dont la mission principale est le développement de toutes les recettes sportives.

Il s’intéresse également aux temps forts de la saison afin de déterminer la ou les période(s) idéale(s) pour la réalisation d’une opération. En années cumulées, on obtient un total de 16 ans au sein de la structure emblématique toulousaine.

On comprend alors aisément que passion, patience et dévouement sont les maîtres mots pour assurer une évolution aussi impressionnante que celle de Boris Laffargue dans les métiers de la communication.

 

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Le TFC : du monde dans les tribunes… numériques !

Le TFC : du monde dans les tribunes… numériques !

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Soucieux de son public, le TFC surfe sur la vague des réseaux sociaux pour le plus grand plaisir de ses supporters. Twitter , Facebook , Instagram et bien d’autres sont en effet les moyens de communication privilégiés de ce club précurseur ayant senti l’explosion du digital dans la communication.

En effet le club cumule à lui seul des centaines de milliers de followers . La majorité sont sur les réseaux sociaux et cela depuis 1983

« La question du jour », posé aux supporters sur Facebook  prouve l’engagement du club envers les fans.

 « Nous sommes les n°1 »

Boris Laffargue , responsable marketing de TFC nous a confié que le club fut le premier à atteindre les 100 000 followers sur Twitter.

La FIFA a nommé le club en violet 7ème club formateur au monde en terme de jeunes recrues – futurs professionnels .

Audi, Volkswagen et d’autres sponsorisent le club et permettent des offres de parrainages pour le plus grand bonheur du douzième Homme.

https://twitter.com/borislaffargue/status/1171125788600651776

Le club offre aussi un accès pour laisser s’exprimer ses fans ! 

Depuis 1983, les supporters s’organisent eux aussi  en club pour marcher aux côtés du TFC. « Supporters des violets » fut le premier à voir le jour en 1983 , ils possèdent même une page Facebook !

Le TFC, une grande famille

Le respect et la compassion sont primordiaux au sein de ce club. L’exemple le plus marquant est celui de Brice Taton :

2009, Brice Taton, grand supporter du TFC  fut violemment agressé le 17 septembre à Belgrade, il trouva la mort suite à ses blessures. 

Le club ne le laissa pas tomber et lui  fit le privilège d’écrire son nom sur les bâches du stadium. 

Les Valeurs du club sont aussi fondamentales. Si l’ami supporter publie un tweet ou bien s’exprime de façon raciste sur les réseaux sociaux ou en public, il se verra banni.

Reste maintenant au club à faire passer ses supporters numériques de l’écran aux tribunes.

 

G8 : Fanny Gayraud, Audrey Fosse, Louane Jean, Thomas Duran, Hugo Martin