Dans un monde en constante évolution où l’innovation est devenue un facteur clé dans l’avancement, de nombreuses start-ups et entreprises émergent. C’est dans ce contexte que des agences comme la Why Not Factory interviennent.
Dans un monde en constante évolution où l’innovation est devenue un facteur clé dans l’avancement, de nombreuses start-ups et entreprises émergent. C’est dans ce contexte que des agences comme la Why Not Factory interviennent.
Le domaine de la communication est en constante évolution. Il faut donc renouveler les méthodes de la publicité pour toucher les nouvelles générations et l’agence IDCom l’a bien compris.
Actuellement située au 5 Boulevard de la Republique à Boulogne- Billancourt, Canal+ est une chaîne de télévision nationale française privée, axée sur le cinéma et le sport. Elle appartient à la Société d’Édition de Canal Plus, filiale du groupe Vivendi.
Situé à Boulogne-Billancourt, ce lundi matin nous avons découvert les locaux du Journal du Golf. Nous avons aussi pu rencontrer et discuter avec les journalistes du média.
Le Journal du Golf est un journal sportif, mensuel et gratuit fondé en 2004 par Frédéric Schmitt, puis racheté plus tard, par le groupe l’Equipe en 2007. Le mensuel traite comme sujet principal, le golf comme son nom l’indique et ce qui englobe cette pratique. C’est-à-dire que le média parle aussi des lieux où pratiquer le golf. Aujourd’hui, le Golf est le journal mensuel qui se vend le plus en France. En 2020, plus de 60 000 exemplaires se sont vendus. Le Journal du Golf est présent au cœur des événements sportifs. Les journalistes font de leur métier une tentative de retranscrire leurs émotions à leurs lecteurs.
Lors de notre matinée dans les locaux du Golf, nous avons beaucoup discuté avec les journalistes. Ils nous ont expliqué leur métier et ce qui les animait dans leur fonction. Martin Coulomb, rédacteur en chef adjoint du Journal du Golf, nous explique comment fonctionne l’équipe. Lorsqu’ils ont le temps, la dizaine de personnes que représente la structure se réunit lors d’une conférence de presse. Lors de cette conférence, ils décident du sujet central du numéro mensuel qui constituera le dossier principal. Ils regardent ensemble quand ont lieu les futurs grands évènement de golf comme la Ryder Cup. Chaque journaliste travaille par la suite sur son propre sujet. Puis, le chemin de fer est établi, le magazine fait entre 80 et 100 pages en incluant 40 pages de publicité. La maquette est établie et puis le directeur artistique vérifie le chemin de fer une fois que le travail est terminé. Deux dernières relectures sont effectuées. Une pour vérifier qu’il n’y a aucune faute et une pour être sûr que tout est en place avant de l’envoyer à l’imprimeur. Martin Coulomb nous explique, qu’il y a vraiment un emplacement bien précis à suivre ainsi qu’un nombre de signes limite à respecter. Pourquoi ? Et bien non seulement pour que tout puisse tenir sur la page ainsi que pour l’attractivité de l’article. L’aspect du magazine doit être alléchant pour tenir le lecteur en haleine et le pousser à lire la suite du magazine.
Article rédigé par Lana Ayroles, Enzo Faiderbe et Violette Gerogiannis.
Durant la soirée du mardi 21 septembre, nous avons eu la chance de pouvoir nous rendre sous les feux des projecteurs du plateau de Touche Pas à Mon Poste.
Cyril Hanouna introduit dans un premier temps, sur son plateau, Josiane Balasko, réalisatrice et comédienne. Elle nous parle de sa nouvelle pièce de théâtre Un Chalet à Gstaad, une comédie burlesque et satyrique sur la bourgeoisie. Hanouna profite de sa présence pour lui proposer son interview : « Je vous emmerde » où l’actrice doit répondre à ses questions ou bien envoyer balader l’animateur. Josiane Balasko, avec le sourire, décide de répondre à toutes les questions qui lui sont posées. Excepté celle qui lui demande pour qui compte-t-elle voter en 2022. Balasko préfère lui répondre avec humour : « Oulalalala. Je t’en merde hein. » Avec l’actrice Balasko sur le plateau, les chroniqueurs sont ravis de la présence de la comédienne et l’ambiance est détendue ce qui ne fut pas forcément le cas par la suite avec l’arrivée d’autres invités.
Au fur et à mesure que les minutes s’écoulent, le sujet de l’émission évolue et les invités changent. Hanouna accueille Marie-Estelle Dupont, psychologue qui tire la sonnette d’alarme: le coronavirus et ses variants ont des conséquences néfastes sur la santé psychiatrique et psychologique des adolescents et des enfants. La psychologue déclare : « Vers le mois de février, on a constaté vraiment une vague pédopsychiatrique. Un effondrement de la santé mentale et physique des enfants et même des tout petits. » Elle évoque aussi les cas de violences intrafamiliales et explique que cette situation n’est plus acceptable. Cette dernière propose de « foutre la paix aux enfants ». Face à elle, Gilles Verdez qui s’oppose à ses propos froncièrement. Tout comme la troisième invitée de la soirée, la porte parole de la République en Marche, Prisca Thevenot. Elle déclare comprendre les propos de Madame Dupont mais cependant, ne pas être en accord avec celle-ci. La porte-parole explique que selon elle, les gestes barrières ne sont une partie de plaisir pour personne mais qu’ils sont là par manque de choix. Thevenot explique que malheureusement, les enfants représentent une menace pour la transmission du coronavirus, notamment depuis l’existence des nouveaux variants.
Pour finir, le dossier du jour et quel dossier! Hanouna invite l’avocat Fabrice Di Vizio qui annonce sur son plateau, ou du moins… Gilles Verdez annonce que Maître Di Vizio se présente en Seine Saint-Denis, en critiquant, par ailleurs, son choix en déclarant : « Il habite à Rambouillet et il se présente en Seine Saint-Denis » de manière négative. Par la suite, Di Vizio éclate de stupeur en apprenant que la chroniqueuse Géraldine Maillet n’a pas fait de test PCR alors que Cyril Hanouna aurait affirmé à l’avocat que chaque chroniqueur se ferait tester avant sa venue. Suite à cette révélation, Di Vizio accuse les chroniqueurs de l’avoir invité pour se moquer de lui et fini par quitter le plateau après une bonne dizaine de minutes à ronchonner.
Article rédigé par Lana Ayroles, Enzo Faiderbe et Violette Gerogiannis.
Foncia est un groupe spécialisé dans l’immobilier, fondé en 1972 par le chef d’entreprise franco-suisse Jacky Lorenzetti.
Le tour E-media se termine par une visite de l’agence de publicité Brains Agency, appartenant au groupe IDECOM. Les aventuriers sont allés à la rencontre des professionnels de la communication, qui ont partagé des informations enrichissantes pour leurs études.
Une agence de Pub pour les écoles ?
Créée en 1994, la Brains Agency est chargée de promouvoir les établissements de l’enseignement supérieur. Elle compte parmi ses trente clients, des écoles de journalisme, d’ingénieur, et bien sûr, de communication telle que l’ISCPA. L’agence doit être à l’écoute de ces écoles, elle doit se baser sur leurs goûts, leurs choix, afin de proposer une campagne pertinente qui leur correspond. Il est nécessaire, de mettre en place une stratégie de communication efficace permettant d’attirer de nouveaux étudiants. Pour y parvenir, la Brains Agency doit s’adapter à sa cible, qui a beaucoup évolué ces vingt-six dernières années. Désormais, la vie des jeunes de 15 à 24 ans, est rythmée par le monde digital. L’attention accordée aux formes traditionnelles de publicité telles que la télévision, les affiches, ou encore la radio, s’est affaiblie. La révolution numérique a ainsi, révolutionné le secteur de la communication, et de nombreux métiers ont été créés ces dernières années.
L’échange et la communication.
Dans les bureaux de la Brains Agency, les aventuriers ont eu l’opportunité de rencontrer des professionnels, puis d’avoir une image concrète des métiers de la communication. Ils ont été accueillis par la cheffe de projet, qui a pour rôle d’organiser toute la campagne publicitaire. Cette dernière, passionnée par son travail et très organisée, doit faire le lien entre le client, l’équipe et le prestataire. Pour mener à bien le projet, il est important de bien connaitre tous les métiers de l’équipe et de savoir gérer les nombreuses tâches. Or, les aventuriers ont surtout été surpris par le métier de traffic manager, qui s’occupe de la campagne digitale. En effet, ils ont enfin découvert comment fonctionnent les publicités sur Internet, c’est-à-dire comment et pourquoi elles apparaissent. Le trafic manager doit toucher la cible des établissements de l’enseignement supérieur, en mettant en avant leur publicité sur les sites et les réseaux sociaux, grâce à des outils numériques tels que l’achat de mots clés.
Justine, Tanguy,Julia, Gaelle
Entreprendre n’a jamais été aussi facile ! C’est ce que nous montre le Why Not Factory qui vous permet de donner naissance à vos idées tout en vous accompagnant jusqu’à leur réalisation.
Avec plus de 3 millions de clients, Foncia est le leader européen de l’immobilier. Mais quels sont les derrières de sa communication ?