Géographe de formation, Jean-Louis Rioual a été contraint de se réorienter professionnellement. Il postule dans une radio locale pour parler de sa passion, la musique mais sera finalement confronté à l’univers du journalisme…
« On y prend goût et on devient accro »
Les rencontres, c’est ce qui va le motiver à explorer ce métier qui est devenu, au fil du temps, sa passion. C’est dans la radio, chez France Culture et ARTE Radio web, puis dans des magazines touchant à la nature qu’il s’épanouira le plus. Aujourd’hui, il est le délégué général du Club de la Presse de Lyon créé par les journalistes du Progrès en 1976.
Le club fait partie de la presse quotidienne régionale (PQR), monopolisée par Le Progrès, mais ne produit pas de contenus journalistiques. Le Club de la Presse est, comme il le décrit un « lieu de débat fédérateur », animé par différents événements, ateliers, différentes conférences de presse et formations.
Jean-Louis Rioual a également joué un rôle important dans la mise en place des Têtes Chercheuses, un prix d’entreprenariat en journalisme ayant pour ambition de faire émerger des projets d’entreprises journalistiques notamment des « pures players ».
C’est donc avec conviction que Jean-Louis Rioual insiste sur l’importance du digital dans la production de contenus journalistiques et de sa perpétuelle évolution dans une société novatrice. Selon lui, le digital permet de raconter différemment les faits et de produire un contenu novateur. Il parle alors d’une « déstructuration du récit » auparavant linéaire.
Groupe 08 : Hugo, Fiona, Emma, Clara, Carla, Antoine, Antonin, Aurélien
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