“La bonne étoile” de Pierrick Merlet, de l’ISCPA à La Tribune

Aujourd’hui, Pierrick Merlet, chef d’édition au journal toulousain La Tribune, partage avec les étudiants de première année de l’ISCPA de Toulouse son évolution en tant que journaliste, et son intérêt pour l’économie.

« Il ne faut pas hésiter à partir de très bas pour aller très haut »

Pierrick Merlet explique avoir découvert un “journalisme utile” au cours de ses études. Comme la majorité de ses camarades, il se destine à une carrière de journaliste sportif télévisé. Pourtant, il affiche un intérêt pour le monde de l’économie, le menant aujourd’hui au poste de chef d’édition à La Tribune. Plus jeune, il perçoit le journalisme comme étant un cercle fermé et idyllique. Il finit par s’apercevoir après 6 ans de métier au sein de ce journal, qu’il s’agit d’un métier à part, comme il en existe tant d’autres, avec un rythme de travail varié. Cependant, il tient à souligner l’importance d’un bon réseau de contacts qui se nourrit au cours d’une vie. Effectivement, connaître certaines personnes s’avère indispensable. Le journaliste économique explique en toute franchise que, en dépit de sa “bonne étoile”, le travail et la détermination restent primordiaux dans ce métier. Il faut savoir saisir les opportunités, y compris les moins attrayantes.

« Je ne me sens pas emprisonné dans un sujet »

déclare Pierrick Merlet lorsqu’il lui est demandé la manière dont il imagine son futur en tant que journaliste. Selon lui, l’économie est un champ vaste qui permet de traiter de multiples sujets. Parmi eux, le journaliste cite le sport avec la rénovation du stade de Toulouse, et la santé en temps de crise sanitaire. Pierrick Merlet se déclare globalement satisfait car il a la possibilité de traiter de sujets divers grâce à l’économie du quotidien sans restriction. Cependant, il exprime qu’à la suite de la digitalisation des médias, il pourrait être amené à se diriger vers un contenu entre économie et politique dans l’optique des élections présidentielles de 2022. Cette opportunité lui permet de se diriger vers un format plus long pour un sujet plus complet.

Groupe 1

Marie Aebi, Florent Pauquet, Roman Wojtanowski, Léïne Touala, Léa Bézes, Eléa Dziubakewicz

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