Sébastien Marcelle : “J’ai toujours été addict à l’information”

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Journaliste depuis 2003 à La Dépêche du midi, Sébastien Marcelle partage sa passion pour l’actualité et son métier à l’occasion de cette édition 2020 du Tour E-media.

Formé avec une autre façon d’écrire, le journaliste de 43 ans passionné d’actualité, de presse et d’information, a dû s’adapter à travailler sur le web. Néanmoins il confie préférer son premier amour : le journal papier et la radio. L’aspect humain dans la presse papier, acheter son journal, découvrir les manières d’écrire et toutes ses petites choses qui révèlent la passion de Sébastien Marcelle pour l’authenticité du journalisme et de ses moyens de diffusion de base. « J’ai toujours été addict à l’information, à l’actualité », précise le journaliste. Il lui trouve aussi le côté reposant que l’on ne trouve plus sur les journaux du net où la source d’information est intarissable et parfois fausse.

Un homme passionné au service de l’actualité.

La Dépêche, décrite comme “une ruche” par Sébastien Marcelle, responsable desk web du célèbre quotidien, est un véritable tourbillon d’idées avec ses 200 journalistes. Chargé de coordonner l’équipe du desk web et d’organiser la gestion au quotidien, il a su adapter sa culture du papier pour la mettre au service du web. Ce journaliste d’expérience a pu évoluer avec ses 17 ans de fidélité à la Dépêche ainsi qu’en parcourant plusieurs postes. La volonté d’informer, de garder le contact humain pour se renseigner et rechercher les dernières actualités pour « être les plus rapides et les plus vifs » font, pour Sébastien Marcelle, la dimension passionnante de ce métier.

Une passion qui se réinvente

Le journalisme étant un domaine où tout évolue très vite, Sébastien Marcelle précise que se réinventer à chaque révolution technique est une nécessité. Passer donc d’une écriture papier à une écriture web a été une nécessité pour le journaliste, apprentissage qu’il définit comme “écrire pour Google”. Le web reste tellement présent qu’il est inévitable de devoir se former et apprendre à développer des nouvelles compétences. De nouveaux mots ont obligatoirement émergé tels que “référencement”, “DATA” et autres nouveaux supports incitant à apprendre continuellement au cours de sessions de formations. Selon Sébastien Marcelle, l’essor du web ne met cependant pas de côté « le charme « que beaucoup trouvent encore à la presse papier. Plus encore ils se complètent.

Groupe 9 : Madeline Verneuil, Lucie Guillet, Quentin Elorza, Noah Thouery, Célia Noël

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