Parlons Basket, un jeune média en plein essor

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Co fondateur de parlons Basket

Un an à peine après le lancement de son média, le co-fondateur de Parlons Basket, Julien Marchau, parle de son projet avec passion et dynamisme.

Parlons basket est un rendez-vous de passionnés avant tout.

L’idée part de deux amis fans de basket qui, en 2012, décident de créer une page Facebook à propos de leur passion commune. Fière de cette première démarche, ils souhaitent d’abord étendre cette initiative à tous les sports avant de se focaliser sur le basketball.

C’est en janvier 2018 qu’ils deviennent une entreprise dite « à froid », autrement dit ce n’est pas un média de terrain. Le média couvre essentiellement le basket Américain, bien que le basket français intéresse aussi l’équipe. « Le basket français est encore trop bridé contrairement aux états-unis où le droit à l’image est beaucoup plus souple », commente le fondateur.

Les contenus des articles sont variés, parfois technique ou parfois « people ». La stratégie est de parler des joueurs et d’autres informations concernant le monde du basket. Aujourd’hui Parlons Basket est le 3ème site français de basket, avec près 60 000 lecteurs par jours. Un chiffre pouvant monter jusqu’à 100 000 quand la saison bat son plein. Il existe également des périodes creusent pour le site notamment entre juin et octobre.

L’équipe est composée de 2 deux rédacteurs en chef, un pigiste, ainsi qu’un associé . Un projet d’étoffer l’équipe est également à l’ordre du jour.

Un chemin long

L’équipe de Parlons Basket possède un mode de subvention divisé en deux types de partenariats. D’un côté, le média démarche directement des annonceurs tel que Nike, pour proposer de la rédaction d’article. D’un autre côté, ils emploient des régies publicitaires qui interagissent avec des annonceurs pour leurs proposer des emplacements sur le site ( bannières, pop-up, feed…). Des natives (mini-pub) sont également proposées. Elles sont généralement plus rentables car les retours sur investissements sont plus simples à atteindre.

Toutes les publicités ne sont pas toujours acceptées par le média. Les propos étant souvent déplacés du principal sujet, à savoir le basket. En outre, le référencement par Google a permis une meilleure approche et ainsi de prendre le jeune média un peu plus au sérieux.

Le football n’est donc pas le seul sport qui attire. Le basket a sa communauté et s’affirme comme étant le principale concurrencent en matière de presse sportive

Groupe 7

Thibaut Eperdussin
Ester Barbosa
Amandine Leveneur
Grégoire Thomas
Eliot Dray
Stacy dikizeko
Julie Mallon
Juliette Puylaurent
Raphael Gendre

 

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