G4_Toulouse capitale du flash info

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Des flashs info partent de Toulouse chaque jour vers les 220 radios clientes d’A2PRL (agence de presse de radio locale). Sylvain ATHIEL le directeur de l’agence de presse met en avant l’indispensabilité d’A2PRL pour les radios locales. Il l’affirme : « Le fait de nous confier l’information revient à une radio 4 fois moins cher que de payer des journalistes pour la déchiffrer ».

 

Certes, les économies que font les radios grâce à A2PRL ne sont pas négligeables. En revanche, on peut s’interroger sur l’exactitude d’une information produite à Toulouse mais qui est destinée à la Guadeloupe par exemple. Comment les 27 journalistes d’A2PRL peuvent-ils correctement analyser l’information locale de la Guadeloupe s’ils n’y travaillent pas ? Le métier de journaliste consiste à attester de faits concrets, pour faire du local, une présence sur le terrain semble évidente. Or, aujourd’hui d’autres outils permettent d’avoir une réelle source d’information pour être au courant de l’actualité. Les réseaux sociaux peuvent constituer une source d’information (à manier avec prudence).

Une optimisation des services à la hauteur des auditeurs.

6 millions d’auditeurs écoutent le même flash info produit par A2PRL. Elle propose un flash généraliste sur des informations au national et à l’international qui est vendu aux différentes radios. Cette audience record s’obtient grâce à l’addition de tous les auditeurs qui écoutent le flash sur leur radio locale.

A2PRL propose également des offres sur mesure pour les radios. Avant de produire les flashs, les deux partis vont se mettre d’accord sur une stratégie éditoriale. Les journalistes affiliés aux radios vont se renseigner sur la zone de diffusion pour répondre aux attentes des clients. Un journaliste présent à Toulouse faisant des flashs à Bordeaux se doit de connaitre parfaitement les uses et coutumes de la région.

Le fonctionnement de A2PRL

Dans les locaux d’A2PRL on retrouve des journalistes qui déchiffrent l’info 24H/24. Mais c’est entre 7 et 9 heures du matin que les radios ont leur pic d’audience. Il est donc nécessaire d’avoir un maximum de journalistes présents pour produire davantage.

La difficulté est dans la construction et la rédaction de flash. En effet il va produire 4 flashs pour 4 radios différentes en une heure. Une fois les flashs terminés, les scripts sont envoyés dans le système afin de pouvoir les lire dans les cabines d’enregistrement. Lors de l’enregistrement, il reste environ 15 minutes avant la dead line.

Luna GUTTIEREZ, Quentin TONEATTI, Domicile PERPÈRE, Chloé GAZUR, Kalista NARBONNE, Salomé FERRÉ.

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