H7: ACTEUR LYONNAIS DANS L’ESSOR DE LA STARTUP FRANÇAISE

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Plongez avec nous dans le secteur de l’incubation et de l’événementiel lyonnais à travers Sana Chennoufi ,responsable communication et Julien Marbouty, responsable des programmes au H7.

Voici leur interview.

Pourriez-vous nous expliquer quel est l’impact de la communication auprès de vos startups ?

La communication est essentielle pour H7. Plus on est connu, plus on peut aider les startups à se lancer. Ce qui est fondamental c’est notre notoriété et la clarté de notre message. Cela a un effet bénéfique puisque cela attire d’autres startups à venir chez nous pour être encadrées.

Être présent sur les réseaux sociaux est essentiel, c’est la stratégie digitale.

Mon rôle est de m’adresser aux médias pour qu’ils puissent relayer nos informations.

Comment vous est venu l’idée de ce concept qu’est H7 et quelles étaient vos ressources pour le projet ?

Ce n’était pas notre idée mais un projet de la métropole de Lyon pour promouvoir des startups lyonnaises. Le projet s’est lancé en avril 2019, après 1 an et demi de collaboration entre le président de H7, Cédric Denoyel et la métropole. C’est à ce moment-là que nous avons été engagés avec Julien, nous sommes là depuis le début.

Qu’est ce qui vous fait aimer votre métier ?

Je suis contente de mon travail, je vois le résultat et l’impact positif qu’il a sur les startups, ainsi que l’impact que celles-ci auront sur la société par leurs innovations.

Que faites-vous lorsqu’une startup que vous encadrez ne décolle pas ?

Tout d’abord, il faut savoir qu’en France 80% des startups ne dépassent pas les 3 ans, chez nous ces chiffres sont de 15 à 20%. Cette différence s’explique par la sélection que nous faisons pour réduire les risques à travers l’identification de ce qui peut marcher ou non. De plus, ce qui distingue nos startups des autres, c’est l’accompagnement qu’on leur apporte. Lorsqu’une de nos startups ne décolle pas, nous avons certes une part de responsabilité mais pas entièrement, sinon ce serait dur pour notre mental. *rires*

Quelles sont les plus grosses entreprises qui sont passées par H7?

Je pense à 3 grosses startups en particulier.  Smash est le “Wetransfer” français. C’est du transfert de fichiers volumineux, sans publicité ni limite de poids.

Ensuite, Tshoko est une agence de design sonore. Ils sont chargés de créer l’ambiance chez des professionnels, cabinets médicaux ou Lush par exemple.

La dernière startup à laquelle je pense est WeCount, une plateforme  technologique pour mesurer et réduire ses émissions de CO2.

C’est un bon exemple pour montrer que les nouvelles entreprises doivent être en accord avec la crise écologique. C’est aussi un de nos critères pour accompagner nos startups, nous veillons à ce qu’elles aient un impact positif sur la société et l’environnement.

Comment se démarquer dans le secteur des incubateurs-accélérateurs?

Je dirais qu’il faut, pour commencer, un “terreau favorable”, une équipe énergique et créative. De plus, chaque structure a sa spécialité : sport, alimentation, culture et santé. Notre spécificité, c’est la diversité.

On se différencie dans la créativité, on se demande “Est-ce que ça a déjà été fait ?”

Groupe 1: Eliott Barbier, Myrtille Laurent-Bourioux, Leïla Bacqué, Auriane Andral-Tigrain, Mathieu Favaretto, Charlotte Baby, Emma Priem, Faustin Brun

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