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Une Nouvelle ère pour le TFC

Une Nouvelle ère pour le TFC

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Le 20 Juillet 2020 le club de football Toulousain, a été racheté par la société d’investissement américaine « RedBird ». Le nouveau président Damien Comolli fait donc preuve de beaucoup d’ambition.

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APICIL : UNE VISION HUMAINE DE LA COMMUNICATION

APICIL : UNE VISION HUMAINE DE LA COMMUNICATION

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C’est non loin des quais de Saône, au sein des locaux d’Apicil, que Dorothée PHELIP nous a exposé l’histoire de l’entreprise ainsi que la manière dont celle-ci conçoit la communication interne.

« PROTÉGER ET SERVIR »

APICIL est un groupe français de protection sociale fondé en 1938. A la troisième place au classement des groupes de protection sociale, Apicil est et a toujours été un acteur majeur de la protection sociale en France. A l’heure actuelle, l’entreprise opère dans trois domaines : la santé et la prévoyance, l’épargne et les services financiers ainsi que la retraite complémentaire. Par ses activités, Apicil engendre un chiffre d’affaires moyen de 3,2 milliards d’euros tout en accompagnant plus de 47 038 entreprises.  Dans cette organisation, la communication interne consiste à transmettre les résultats, les informations à l’ensemble du personnel afin de pérenniser la cohésion et que tous les salariés « soient sur un même niveau d’information ».  Dans cette idée, le journal interne « Com’Nous » est rédigé mensuellement. 

L’ASPECT HUMAIN, UN PILIER DE L’ENTREPRISE

Ce qui est flagrant chez Apicil, c’est l’aspect humain. Il est extrêmement pris en compte au sein de la communication. En effet, presque toutes les actions communicatives internes tournent autour de cet aspect. Que ce soit par la structure de l’entreprise qui se veut mutualiste et paritaire, que ce soit par des actions menées au cœur de l’entreprise. Tout est fait pour intégrer et mettre sur un pied d’égalité les employés du groupe. Par exemple, l’entreprise a effectué l’an passé une action sociale en reversant à leurs clients quelques 16 millions d’euros afin d’œuvrer dans certaines causes du moment. C’est par ailleurs un autre point fort de l’entreprise : être constamment à l’écoute des problématiques actuelles.

« UNE ENTREPRISE QUI SUIT SON TEMPS »

Lorsqu’une entreprise traverse le XXème siècle, il est primordial pour cette dernière de se réinventer et d’être en permanence en accord avec les avancées sociétales. Pour se faire, Apicil ne cesse d’innover les directives sociales au sein de l’entreprise. Cela s’illustre notamment par la présence féminine au sein du groupe, qui compte en moyenne deux femmes pour un homme. Également, l’entreprise effectue diverses campagnes en interne. La dernière en date vient mettre en valeur le talent des employés plutôt que leur origine et  leurs différences. “Votre talent n’a pas d’apparence physique”, comme ils disent. D’autre part, en plus de posséder un état d’esprit contemporain, Apicil est tout autant moderne d’un point de vue technique. Effectivement, l’utilisation des dernières technologies et plus particulièrement des réseaux sociaux est un point essentiel de leur stratégie de communication. 

Finalement, Apicil représente la parfaite expression d’une communication interne pertinente et innovante, tant dans son rapport à la société que dans son rapport à la gestion salariale.

Groupe 4 :Hugo Vincent, Thomas Santos Antao, Baptiste Chuzeville, Alexia Piro, Manon Roche, Cléo Martin, Alexandre Maronde et Aurélie Diaz.

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Adrien Lechevalier : au cœur de la banque 2.0

Adrien Lechevalier : au cœur de la banque 2.0

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Adrien Lechevalier est le Community Manager (ou CM) du Crédit Agricole Toulouse 31 depuis mars 2018. Il raconte la place particulière de son métier dans un monde bancaire en constante évolution d’un point de vue de la communication.

Bien loin de l’univers froid et austère cliché de la banque, c’est dans un bureau type open space à l’atmosphère détendue qu’officie Adrien Lechevalier depuis près d’un an et demi. Souriant, il explique qu’être le Community Manager d’une institution bancaire n’est pas de tout repos. Il s’agit en effet selon ses dires d’un « nouveau métier pour les banques qui (en) ont compris tout l’intérêt » assez récemment.

C’est par le biais de ce métier que se créée aujourd’hui « une fidélisation et même une conquête » de la clientèle. La relative jeunesse du métier implique de devoir faire des efforts, ne serait-ce que pour montrer les bénéfices que l’on peut tirer des réseaux sociaux à une direction toujours à l’affût de nouvelles opportunités de développement.

«L’engagement, c’est ma guerre  »

L’engagement, voilà le maitre-mot d’Adrien Lechevalier. Parvenir à capter l’attention des utilisateurs des réseaux sociaux est absolument crucial pour un Community Manager, a fortiori dans un milieu à première vue pas très attirant pour le grand public. C’est pourquoi il faut s’efforcer d’adoucir l’image de la banque.

Des stratégies de communication très précises se développent, et ce pour chaque réseau social. Sur Facebook, Adrien Lechevalier souhaite montrer « une banque cool » à grands renforts de jeux-concours ou de références à l’actualité en Haute-Garonne. Sur Instagram les cibles prioritaires sont « les 18-30 ans », ainsi « tout ce qui ne touche pas les jeunes, je n’en parle pas», confie-t-il, guilleret. En revanche sur LinkedIn, il veut à tout prix « développer la marque employeur […] (pour) attirer les nouveaux talents ».

Une stratégie bien rodée, qui paye

Les chiffres ne mentent pas, et ceux d’Adrien Lechevalier sont excellents. Avant son arrivée à temps plein courant 2018, les publications sur les comptes du Crédit Agricole Toulouse 31 – principalement sur Facebook – recueillaient une faible audience. Aujourd’hui « c’est près de 500 000 vues par mois sur les posts de nos réseaux sociaux ! » s’enthousiasme-t-il.

Les banques sont donc entrées de plein pied dans le monde de la communication à l’heure des réseaux sociaux. Cela a permis à des personnes comme Adrien Lechevalier de mettre leurs compétences au service du monde bancaire pour, peu à peu, faire changer l’image qu’a le grand public de ce milieu. Il reste du chemin à faire, mais ce passionné ultra-connecté ne peut être qu’enthousiaste.

Groupe 5 ISCPA Toulouse

Léana, Loane, Liselotte, Enzo, Dorian et Jade

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Rémi Denjean : doigts carrés du web du TFC

Rémi Denjean : doigts carrés du web du TFC

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Avec plus de 470 000 abonnés sur Twitter, le Toulouse Football Club pointe au 7ème rang des clubs français au nombre de followers. Un petit exploit lorsque l’on sait que le club est passé tout proche de la relégation ces dernières saisons et dans une région où le rugby fait office de sport phare. La clef ? Un community manager capable d’auto-dérision.

Ce CM, c’est Rémi Denjean, entouré d’une équipe éditoriale dont il est en charge. À la fin de son Master en Ingénierie et Management des Organisations Sportives à l’IAE de Toulouse, il a intégré le Toulouse Football Club en 2008. Avec comme mission la prise en charge de la politique de mécénat du club et la création d’une structure juridique dédiée à son encadrement : la Fondation TFC. Deux ans et demi plus tard, il devient le responsable de la fondation.

En juillet 2012, souhaitant élargir ses domaines de compétence notamment vers les métiers de la communication, il prend en charge la gestion des réseaux sociaux du TFC travaillant avec les équipes de TFC TV. Un an plus tard, il a la responsabilité des contenus éditoriaux, notamment digitaux, avec comme problématique l’élaboration d’une nouvelle charte éditoriale web.

Passionné de sport et notamment de football, fan du TFC depuis petit, il estime avoir eu la chance d’apprendre sur le tas ce rôle de CM et d’interagir avec la communauté de supporters. Comme il le dit lui même « ce qui est intéressant pour moi c’est de faire partager sa passion à travers les contenus que l’on peut créer ».

Le premier club à avoir sa chaîne Dailymotion

Par essence, le TFC est un club « digital » depuis de nombreuses années. Le « téfécé » a par exemple été l’une des premières équipes sportives professionnelles à s’appuyer sur un site officiel. Le premier système de billetterie en ligne a été lui aussi mis en place au Stadium. C’est également le premier compte de club de Ligue 1 Conforama actif sur Twitter mais aussi le premier club à avoir sa chaîne Dailymotion. Très vite, le club a compris que les réseaux sociaux allaient être des supports importants pour toucher son public cible.

Ainsi, en plus d’être pointu sur l’actualité du club et de ses différents équipes, il produit du contenu ludique, efficace et original. Il a décidé de mettre en place une tonalité différente, une stratégie qui démarque le club en s’adaptant aux contenus des réseaux sociaux et aux attentes des internautes. Et pour cela, le TFC choisit de faire sourire. Ainsi ils ont produit une vidéo en janvier, pour les vœux de l’année 2017, année des 80 ans du club, les joueurs et l’entraîneur se sont greffés moustaches, maillots vintage, nuques longues et coupes mulet. Des coups de com’ comme celui-ci, le club en est devenu le spécialiste.

 

Groupe 8 : Fanny Gayraud, Hugo Martin, Audrey Fosse, Thomas Duran, Louane Jean.

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Mobile Factory, un leader numérique

Mobile Factory, un leader numérique

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La Mobile Factory, filiale du groupe Sopra Steria est depuis quelques années l’une des leaders en matière de solutions digitales. Spécialisée dans les applications mobiles destinées aux entreprises, la Mobile Factory et ses 40 000 collaborateurs se situent dans le top 10 européen et est le leader français de solutions digitales.

A l’échelle de l’hexagone, la startup filiale de Sopra Steria a créée l’application BforBank. Mais aussi celles de grands groupes à l’international comme pour McDonald’s Chine et Australie. Les membres de la Mobile Factory travaillent actuellement pour Airbus. Leur projet actuel est de faciliter la vie des compagnons, nom donné à ceux qui travaillent pour le groupe. Pour améliorer leur compétitivité, ils mettent en place des applications afin de clarifier les programmes de chacun. En remplacement du papier, obsolète et pollueur, la startup met en place un programme. Chacun des compagnons pourra avoir accès à ses missions simplement en interrogeant son téléphone.

« On travaille pour les gens et on délivre des expériences pour nos clients »

Pour Nicolas Fouin, responsable de la Mobile Factory, l’un des principaux problèmes de sa structure, et de la majorité des entreprises du numérique, est le recrutement. Le secteur du digital est en constante recherche d’ingénieurs, si bien qu’une majorité des diplômés d’école d’ingénieurs ont déjà un contrat avant la fin même de leurs études. Sopra Steria n’échappe pas à la règle, et le groupe possède des antennes à Nantes et Paris. Le but est de se développer, mais aussi de recruter les meilleurs ingénieurs dans plusieurs endroits de France, et ainsi devancer les concurrents.

Pour veiller au bien-être de ses employés, la Mobile Factory compte en son sein un Chief Happiness Officer, qui veille au bonheur au travail et à la bonne ambiance . Depuis le 1er janvier, un coach en développement personnel intervient également pour permettre aux salariés d’être plus à l’aise en public, de mieux s’exprimer et de gagner en éloquence.

Tout est donc mis en œuvre dans la Mobile Factory pour avoir un environnement de travail sain. Une bonne solution pour des collaborateurs et des clients heureux. « On travaille pour nos collaborateurs » dixit Nicolas Fouin. Une vision qui permet à la jeune startup de Sopra Steria d’envisager le futur avec sérénité. Avec une idée en tête : « On travaille pour les gens et on délivre des expériences pour nos clients ».

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon

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Nicolas Fouin, au service du digital

Nicolas Fouin, au service du digital

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Sopra Steria est une entreprise française de services du numérique et est le leader européen de la transformation digitale. L’entreprise se situe à Colomiers. Les  apprentis journalistes de l’ISCPA Toulouse ont ainsi pu échanger avec Nicolas Fouin, le responsable de Mobile Factory.

Nicolas Fouin a effectué une prépa pour intégrer l’école d’ingenieur ICAM (Institut Catholique d’Arts et Métiers) où il s’est formé sur un cursus de 5 années. Puis il a rejoint Sopra Steria en tant que stagiaire sur la technologie SAP, un logiciel qui a pour but de contrôler toutes les grandes fonctions de l’entreprise. Durant son stage, il a été chargé d’encadrer des ingénieurs indiens en faisant du codage afin de les aider. Tous ses efforts ont payés, puisqu’il est aujourd’hui à la tête de Mobile Factory depuis 4 ans.

Nicolas Fouin souhaite élaborer des «super projets »

Cependant son poste est exigeant. L’entreprise a développé des applications de banques (Be for bank, présente seulement en ligne) ainsi que des applications pour faciliter la façon de travailler d’ Airbus. Ainsi, il n’a pas le droit à l’erreur sous peine de perdre ses « gros » clients.  L’ingénieur est spécialisé dans les applications mobiles. Pour cela,  lui et ses coéquipiers se doivent d’avoir la capacité d’augmenter leur bagage technique. Il s’agit alors d’utiliser au maximum les nouvelles technologies, comme la X-réalité par exemple. En effet dans l’entreprise, Nicolas Fouin et ses collaborateurs consacrent 20% de leur temps à la veille ou encore à la Recherche et Développement.

En plus de ces efforts, il doit s’atteler au recrutement. Le digital manque de main d’œuvre. D’après ses propros, « il y a une pénurie sur le marché de l’ingénieurie informatique ». De plus, être ingénieur chez Sopra Steria, c’est également convaincre les clients et savoir gagner des contrats (perte d’argent sur un projet en vue de bénéfice sur le prochain). Une aisance orale est également requise. Pour cela, les employés peuvent solliciter un coach afin de développer leur posture de consultant. Cela aide à remporter plus facilement de futurs contrats.

Groupe 2 : Romain Agard, Sarah Caron , Carla Tarantino, Yohan Lemaire, Elioth Salmon